Vous êtes ici: Accueil » ARTICLES » SPIRITUALITÉ » Canalisation - Médiumnité » LA CHIMIE DE LA CONSCIENCE

LA CHIMIE DE LA CONSCIENCE

À l’heure où le long métrage à sensation, 2012, sort sur les écrans mondiaux, et où tous les esprits s’interrogent sur la véracité de cette date fatidique, annoncée par le calendrier Maya comme étant la fin des temps, beaucoup se posent également la question suivante. La conscience humaine pourra-t-elle accomplir collectivement ce saut quantique tant redouté ou attendue pour atteindre enfin la paix et l’harmonie ? Encore faudrait-il s’entendre sur la notion de conscience, sur ses différents mécanismes, composantes et sur la chimie qui s’effectue au sein de notre cerveau pour la générer…

L’objectif central d’« Intégration II – Le mystère de la glande pinéale – La Chimie de la Conscience » consiste précisément à se concentrer globalement sur le rôle essentiel, et majoritairement occulté par la médecine et ses spécialités, joué par l’antenne principale de la cons-cience primordiale humaine : la glande pinéale. Cet ouvrage dévoile à la fois les compréhensions actuelles la concernant, mais aussi celles, plus méconnues, relatives à ses divers dérivés de synthèse endogènes et à ses mécanismes biochimiques complexes, dont résulte une réaction métabolique : la chaine tryptophane, synthétisée grâce à la molécule de la conscience, la sérotonine, et à son précurseur, la tryptamine. Ainsi contre toute attente, l’épiphyse (ou la glande pinéale) représente littéralement une mini-usine à composés hautement psychoactifs, dont la réactivation permet de tendre vers le seul éveil spirituel véritablement authentique et peu connu : l’éveil paradoxal ou le quatrième état.

Si le premier ouvrage de la série Intégration, « Intégration I », se focalise sur l’ensemble des composantes et données métaphysiques, concernant la progression originelle de la conscience primordiale divine et humaine, « Intégration II » relève davantage de recherches et d’interrogations personnelles en découlant. Il est d’ordre principalement scientifique et toujours rédigé en partenariat avec Procyon.

Pour rappel – et pour ceux qui n’auraient pas encore lu « Intégration I -, les Consciences fé-minines de Procyon » appartiennent à un monde, une humanité, une réalité parallèle proche de la nôtre. En revanche, elles détiennent près de 700 ans d’avance sur notre civilisation en termes d’éveil de la conscience. Procyon (Canis Minoris) constitue l’étoile la plus brillante de la constellation du Petit Chien et la huitième plus lumineuse du ciel nocture, située à 11,4 années lumière de notre système solaire.

Les Consciences féminines de Procyon me contactèrent pour la première fois dans le courant de l’année 2002. Elles forment un groupe unifié, homogène et elles s’expriment en une seule voix et conscience. Notre mode de communication repose sur une méthode originale, qui se démarque totalement du traditionnel channeling  et s’apparente davantage à un téléchargement informatique extrêmement rapide, pour ne pas dire instantané.

Synthétiquement, elles nous invitent à entreprendre, dès à présent, l’assimilation de milliers d’années d’évolution dans la matière au sein de notre univers, consacrées principalement à l’exploration de la dualité dans son ensemble. L’aboutissement final repose sur l’Intégration de cette expérience unique en son genre, notamment grâce à la guérison de notre âme, à la libération de notre cœur et à la réactivation de notre glande pinéale.

À l’exception du dernier sujet, la plupart des sujets précités sont couverts dans mes œuvres précédentes, non publiées par les Éditions Ariane. (Voir à cet effet mon site Web : www.ka-ren.ch.). Par conséquent, « Intégration II » se présente comme la suite logique d’« Intégration I ». Mais il est aussi, dans une moindre mesure, le complément de mes deux précédents écrits : « Le cœur a des raisons que la raison ignore » et « Le Syndrome de Séparation ». Les parcourir favorisera l’approche et la compréhension de : La Chimie de la Conscience.

« Intégration II » se propose donc de se pencher attentivement sur la fonction réelle de la pinéale. De sa biochimie cérébrale complexe résulte une réaction métabolique : la chaîne tryptophane synthétisée grâce à la molécule de la conscience, la sérotonine, et à son pré-curseur, la tryptamine. Il couvre également les études neurologiques récentes effectuées dans ce sens et les découvertes étonnantes relatées par les chercheurs à leur propos. Voici quelques-uns des nombreux thèmes qui sont abordés dans le dessein – certes un peu téméraire – d’éduquer simultanément le lecteur et d’ouvrir son esprit à d’autres réalités, accessibles par l’entremise de la chimie de la conscience :

• Les quêtes de vision chamaniques induites par les enthéogènes : les substances suscitant Dieu à l’intérieur de soi.
• Les substances psychoactives comprenant les drogues licites et illicites.
• La physiologie du système nerveux et le fonctionnement des neurones, des structures cérébrales et des processus impliqués dans les perceptions de la réalité ordinaire. En particulier l’action de neurotransmetteurs tels que : les catécholamines et la sérotonine, ou celle de neurohormones dérivant de cette dernière, telles que : la mélatonine et la pinoline.
• Les expériences scientifiques entreprises pour révéler la tâche importante remplie par la sérotonine en tant que molécule de la conscience, notamment lors de la prise de psi-locybine par des volontaires ou par le biais de tests psychologiques, d’appareillages techniques de pointe, etc.
• L’influence des enthéogènes sur la molécule de la conscience.
• La nuance fondamentale prévalant entre les notions d’éveil spirituel et d’éveil paradoxal. Ainsi que la définition des trois modes de conscience employés par l’être humain terrestre : la conscience de veille ou de l’ego, la conscience onirique ou de l’âme, et la conscience primordiale, l’unique conscience originelle, qui inclut les deux premières.
• L’exploration de l’épiphyse, de son activité actuelle connue et inconnue, ainsi que l’im-pact de drogues naturelles ancestrales comme l’ayahuasca sur sa biochimie.
• La définition des produits de synthèse endogènes de la pinéale, très semblables aux drogues psychotropes exogènes qui provoquent le métabolisme en chaîne du tryptophane et dont découlent les états modifiés de conscience (légers ou puissants).
• L’étude de ses différents composés, regroupés sous l’appellation de tryptamines psychoactives, de leurs effets sur les changements de perception de la réalité offrant l’accès à d’autres dimensions ou possibles, ainsi que les recherches légales entreprises dans ce domaine, dont celle du Dr Rick Strassman, aux États-Unis, avec le DMT.
• La subtilité qui existe d’une part entre les états d’éveil et de sommeil triviaux, et d’autre part entre les états de sommeil et d’éveil paradoxaux. Ainsi que les transformations importantes qui sont observées dans les structures cérébrales et les ondes du cerveau, lors du passage d’un cycle à un autre. Leur incidence également dans le développement et la manifestation d’un éveil de conscience authentique ou engendrant, au contraire, son affaiblissement.
• La distinction entre rêves et rêves éveillés. Le rôle joué à long terme par la méditation assidue comme celle, pratiquée par les moines tibétains depuis l’enfance, laquelle suscite l’apparition d’un synchronisme entre les hémisphères cérébraux et d’ondes gamma. L’émergence de ces symptômes et prémisses de l’éveil paradoxal ouvre l’accès aux connaissances renfermées dans la conscience primordiale, des informations habituelle-ment inaccessibles durant l’état de veille propre à la survie de l’ego.
• Les conclusions émises par divers chercheurs, scientifiques et psychiatres à la suite de découvertes incroyables, démontrant la tâche incontestable remplie par l’épiphyse et ses dérivés pour l’obtention d’un éveil paradoxal ou quatrième état de conscience; un état d’un autre genre susceptible de conduire à l’Intégration grâce à des pratiques personnelles. Exercices amplifiés parfois par la prise de substances psychédéliques comme l’ayahuasca, l’enthéogène chamanique des Incas qui permet de voyager entre les mondes, et ce, dans un but initiatique.

Nous tenons à préciser que cet ouvrage ne prétend d’aucune manière à encourager la con-sommation de plantes ou de substances artificielles psychotropes. Leur étude a pour unique objectif d’étayer ou de faciliter l’analyse de l’épiphyse d’une part, et d’expliquer sa fonction dans la chimie de la conscience d’autre part. Dans ce même ordre d’idées, soulignons qu’un éveil paradoxal durable ne s’obtient généralement qu’à l’aide de certaines techniques régu-lières et sérieuses, dont la méditation bouddhiste, le yoga, etc., comme vous le découvrirez dans les divers chapitres consacrés à cet effet.

Avec  Intégration I et II  nous avons voulu, les Consciences féminines de Procyon et moi-même, illustrer le constat suivant : toute personne détentrice d’un minimum de perspicacité, de curiosité et de ténacité peut – si elle le souhaite – investiguer par ses propres moyens des domaines apparemment aussi difficiles d’accès, que ceux que nous venons d’énoncer. Nul besoin de diplômes médicaux ou de formations scientifiques poussées. De la patience, certaines connaissances en psychologie, en physiologie du système nerveux et, surtout, un outil aussi efficace qu’Internet suffisent. Voilà pourquoi la totalité des investigations effectuées pour la rédaction de La Chimie de la Conscience proviennent essentiellement et volontaire-ment de ses moteurs de recherches.

Aussi, nous n’avons eu d’autre option que d’employer le langage usuel en vigueur dans des spécialités aussi variées que : l’anatomie, la physiologie, la neurobiologie, l’ethnobiologie, la psychanalyse, la psychiatrie, etc. Digne d’une ancienne école de mystère, réservée aux élus et fréquemment rébarbative pour l’individu lambda, cette terminologie dénote assurément la scission sciemment désirée par la science avec le reste du monde. N’en déplaise à cette caste de privilégiés, la conscience, la subjectivité non quantifiable ou non mesurable, les expériences religieuses, mystiques, extrasensorielles induites naturellement ou non, ne se réduisent pas à une simple interprétation, concrète ou individuelle, des mécanismes de l’encéphale humain et de ses circuits neuronaux. Malgré leurs progrès considérables et in-déniables, les chercheurs n’en demeurent pas moins incapables à l’heure actuelle de déterminer, qui de Dieu ou de notre cerveau a engendré l’autre. Ou, encore, qui de la matière ou de la conscience est apparue en premier !

Au même titre que notre Soi – en l’occurrence le centre de notre conscience primordiale – s’est initialement scindé en deux polarités distinctes, bien avant le processus d’incarnation dans des véhicules de matière. De même, l’étude de la conscience fait aujourd’hui l’objet d’une dichotomie aléatoire entre des camps réductionnistes opposés : l’holistique et le scientifique, les matérialistes et les spiritualistes, les pragmatiques sceptiques et la majorité des mouvements du Nouvel Âge. Nous nous démarquons de cette tendance dualiste, poussant ses protagonistes à une compétition futile entre : l’intuition et la logique, l’abstrait et le concret, le rationnel et l’irrationnel, le synthétique et l’analytique, les hypothèses et les preuves physiques. Nous avons choisi au contraire de les réunir, afin d’apporter un regard novateur sur la conscience humaine au sens large du terme. À l’heure actuelle, l’unique branche osant bravement défier les lois de cette bataille hiérarchique et obsolète se nomme la neurothéolo-gie. Elle essaie de rallier la science à la religion, mais avant tout à la conscience. Certaines de ces études notoires sont d’ailleurs retranscrites dans La Chimie de la Conscience.

De tout temps, la science a tenté de trouver des solutions rationnelles à trois grandes inter-rogations existentielles fondamentales, reposant principalement sur notre environnement extérieur. D’où provient l’univers? D’où provient la Vie dans son ensemble? D’où provient cette créature pensante qu’est l’être humain? Pour sa part, la religion n’a fourni qu’une explication simpliste censée clore le débat : tout serait issu de Dieu ! Or, la myriade de mécanismes biologiques – nécessaires à l’élaboration de ces trois types de créations incroyable-ment perfectionnées – ne peut se justifier par l’unique grâce bienveillante et désuète d’un archétype inventé par l’homme. Un vieillard barbu qui pointe son doigt accusateur et crispé sur ses pauvres créatures insoumises et pécheresses… Ni la science ni la religion ne dé-tiennent à ce jour, le pouvoir de nous éclairer sur l’émerveillement suscité par la beauté du processus en soi, et encore moins de définir l’essence l’animant : la Conscience, l’Amour et la Vie.

Il s’avère que la conscience ordinaire – dont nous nous servons au cours de la journée pour effectuer nos occupations les plus disparates – ne se réfère qu’à une modalité parmi d’autres, qu’à un état se distinguant du sommeil et du rêve, pour ne citer que deux variantes. Toutefois, il existe d’autres modalités d’expérimentations conscientes, subconscientes et inconscientes, susceptibles d’enrichir considérablement nos existences paradoxalement à la fois routinières et frénétiques. Il suffit de prospecter et de s’aventurer dans des secteurs relativement inédits, classés jusque-là dans le registre des phénomènes hallucinatoires ou paranormaux. Donc obligatoirement suspects, et soumis à l’incrédulité d’un public qui s’est habitué à la conformité d’un monde organisé à sa place. Néanmoins, s’il ose s’y hasarder, le chercheur authentique observe inévitablement la chose suivante : une ouverture d’esprit, un cœur aimant, une connaissance éprouvée du monde extérieur et intérieur peuvent seuls nous permettre d’entreprendre une étude épistémologique de la conscience. Celle-ci consiste à poser un regard lucide et honnête sur ce que nous savons réellement en définitive de l’univers, de la Vie, de l’être humain et de sa conscience. En d’autres termes, à accepter que nous ne savons rien, ou du moins pas grand-chose, en comparaison de tout ce qu’il nous reste encore à déceler ou à réaliser…

(Extrait ©, tiré de l’introduction d’« Intégration II – La Chimie de la Conscience – Le Mystère de la Glande pinéale » de Ka Ren, publié aux éditions Ariane sous le N°ISBN : 978-2-89626-048-5).

Ka Ren (Karène Le Drian), architecte d’intérieur et Docteur en Ro-Hun thérapie, est égale-ment l’auteure d’un ouvrage autobiographique, « Le cœur a des raisons que la raison ignore » , de la suite de ce dernier, « Le Syndrome de Séparation », et de la série Intégration,  Intégration I et II . À l’exception d’« Intégration II », disponible en librairie, les trois premiers publiés à compte d’auteur sont en vente directement (et exclusivement pour les pays situés en dehors de la Suisse) sur son site : www.ka-ren.ch. Vous pouvez lui écrire à l’adresse sui-vante : [email protected]. Elle se fera un plaisir de vous répondre…

www.ka-ren.ch
[email protected]

Pour en savoir plus sur l’auteure, nous vous invitons à visiter sa fiche sur Alchymed.

 

 

 

A propos de l'auteur

Depuis ma plus tendre enfance, je séjourne entre deux mondes, telle une passagère en transit. Le premier est celui que nous connaissons tous. Un monde dans lequel nous nous croyons séparés les uns...

Nombre d'entrées : 19

© 2016 Copyright - Les Productions Alchymed inc.

Retour en haut de la page