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La solution pour guérir… trouvez le conflit !

L’auteure à succès Yoanne Warren retrouve ses ailes et reprend sa plume. Elle nous offre un livre percutant sur une approche de guérison très efficace, la Biologie Totale.

Première femme pilote d’avion de chasse canadien et auteure du best seller «Retrouver ses ailes», elle nous parle de la maladie qui l’a affligée et comment elle est ressortie guérie et plus forte de cette expérience grâce à la biologie totale des êtres vivants. La maladie résulte d’un conflit enregistré dans notre cerveau. Une fois le conflit trouvé, la guérison est possible et permet un élargissement de conscience.

Voici un extrait du dernier livre de Yoanne Warren :

GUÉRIR ET S’ÉPANOUIR PAR LA BIOLOGIE TOTALE

Personnellement, j’ai guéri de la fibromyalgie grâce à la Biologie Totale. Il s’agit d’un concept très puissant, prouvé scientifiquement et qui se résume comme suit :

la «mal a dit» est simplement un ou des conflits d’ordre psychologique transposés biologiquement. Et à tout conflit, il y a une solution.

(extraits du livre Retrouver ses ailes: Guérir et s’épanouir par la Biologie Totale)

Le cerveau est la centrale de commande de l’individu…Il est considéré comme un ordinateur, avec lecteur de cassettes. Il est le plus puissant ordinateur créé.

Pour avoir une maladie, il faut un programme. Une situation doit avoir été enregistrée auparavant dans notre vie, au cours de laquelle nous avons vécu un stress sans solutions. Le cerveau a été obligé, pour nous rendre service, d’enregistrer sur cassette, par exemple un conflit d’acné, de sclérose en plaques, de fybromyalgie. Les conflits sont enregistrés, mais pas encore déclenchés. Pour déclencher la maladie, il faut revivre une situation de surstress, un choc de même nature que l’événement programmant.

Pour prouver que la maladie est la solution parfaite pour le cerveau, voici l’histoire de Joé: (p.56 à 59)

Toutes les maladies sont des réponses logiques à des conflits biologiques précis que vivent et ressentent les malades. Prenons un premier exemple : pour la médecine et la neurologie, la sclérose en plaques est une maladie dégénérative du système nerveux central, qui se caractérise par des plaques de démyélinisation. En «Biologie Totale des Êtres Vivants», la sclérose en plaques est l’expression manifestée dans la biologie et dans la matière physique d’un conflit psychologique qui associe dévalorisation et déplacement. C’est-à-dire que toutes les paralysies sont sous-tendues par des conflits de déplacement et de dévalorisation. Et chaque maladie neurologique a sa direction dans le déplacement. Pour la sclérose en plaques, la direction de l’espace est la verticalité orientée vers le bas, c’est-à-dire celle à laquelle s’applique la pesanteur. Ces conflits de déplacement et de dévalorisation existent depuis quatre millions et demi d’années pour l’humanité et touchaient aussi bien l’homme préhistorique qui descendait de sa montagne pour aller chasser dans la plaine son gibier, que l’homme moderne de la ville lorsqu’il tombe, par exemple, dans un escalier.

Il est très important de réaliser que pour la sclérose en plaques il s’agit d’un conflit de déplacement et de dévalorisation comme pour toutes les paralysies, mais avec la sous-tonalité de la verticalité. C’est-à-dire que le maximum de stress, au moment ou la personne ressent son conflit, se fait dans un déplacement vertical alors qu’elle se dévalorise. Cet invariant biologique de dévalorisation et de déplacement dans la verticalité est valable pour toutes les personnes qui ont des scléroses en plaques. Toutes ces personnes ont des histoires différentes, mais quelque soit leur propre histoire, elles rentrent de toutes manières dans cet invariant pour exprimer une sclérose en plaques.

Imaginez donc un homme «Joé», un chasseur préhistorique qui va à la chasse tous les jours. Pour se faire, il descend (verticale ressentie vers le bas) de la grotte (abri sûr) ou il a dormi, pour traverser une vallée et aller en forêt dans un terrain de chasse giboyeux. Il est obligé de traverser une rivière de sept mètres de large, infestée de petits serpents venimeux qui d’ailleurs mordent régulièrement et donc tuent beaucoup d’hommes du groupe des chasseurs. Pour Joé, qui a vu son grand-père mourir comme cela, puis son père, puis son grand frère et enfin il y a à peine quinze jours son meilleur ami du groupe des chasseurs, cela est devenu insupportable. Il as de plus en plus de stress, il perd l’appétit, il maigrit, il ne dort plus et il «surstress» quand il doit traverser la rivière.

Joé est bien dans un très grand conflit :

_ de déplacement : «je ne veux plus traverser», comme un cheval qui se cabre et refuse d’approcher d’une corniche escarpée sur laquelle on voudrait qu’il marche.

_ de dévalorisation : «les autres chasseurs passent bravement dans la rivière et moi je n’y arrive plus. Je suis un couard, un pleutre, un peureux».

Pour solutionner son problème, il y a deux grands types de solutions : des solutions de type pratique (par exemple se débarrasser des serpents) et des solutions de type dépassement (par exemple inventer le pont, la barque ou le tunnel). Ce dépassement revient ici à un contournement du problème qu’est la présence des serpents dans la rivière. Il faut bien se rendre compte que si ce chasseur Joé ne trouve aucune solution à son conflit, il est condamné à mourir soit par morsure de serpent puisqu’il continue à traverser deux fois par jour la rivière, soit par surépuisement (et par inadvertance) même si aucun serpent ne le mord car Joé s’épuise dans son surstress physiquement et psychologiquement, dépérissant rapidement.

Alors le cerveau automatique (la partie du cerveau qui fonctionne ce manière réflexe) tire à lui le conflit, qui de psychologique devient biologique dans un transposé exact de solution du problème que cet homme a à résoudre. À ce moment-là c’est comme si le cerveau disait à ce conflit psychique : «Descendez on vous demande !» et faisant muter certains gènes de certains chromosomes de certains noyaux dans certaines cellules cérébrales, il fait apparaître la perfection: la sclérose en plaques. Ainsi, cet homme se paralyse de plus en plus, ne peut plus aller chasser, donc ne va plus traverser la rivière. Et sa maladie est bien la solution parfaite à son conflit, envoyée, téléguidée, dirigée et construite par son cerveau.

Ce qui est subtil ici c’est que le conflit de dévalorisation s’évanouit aussi, tout comme le conflit de déplacement. En effet, il n’a plus à se dévaloriser maintenant car blessé et handicapé c’est normal qu’il n’aille pas traverser la rivière. Tant que le conflit biologique est là, la personne est aveugle à son conflit et continue à se charger de stress.

Prenons un second exemple, celui du diabète. L’invariant biologique du diabète est «résistance et répugnance». Imaginez un petit enfant qui dort dans un hangar, tandis que les autres membres de la famille dorment dans la maison. Évidemment, il est bien dans un conflit de résistance: «Il ne faut pas que je ferme mes yeux quand il fait nuit. Je surveille les rats qui courent dans le hangar». Cette résistance étant très importante car sous-tendue par la présence des rats, et les rats c’est répugnant.

Quelques années après, cet homme développe un diabète qu’il garde pendant des années jusqu’à notre rencontre et dès qu’il a compris, il guérit, mange tout sans régime depuis, avec 6 ans de recul en 1999 pour quelques quinze ans de maladie. (ce cas a été traité par le Dr Sabbah)

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Il y a donc 2 manière de développer une maladie…(p.78 et 79)

1) La plus habituelle provient d’un conflit psychologique qui dure depuis un certain temps et auquel aucune solution n’est apportée.

2) L’autre, plus rare, provient d’un énorme stress éprouvé de manière instantanée ou dans un très court laps de temps et
entraînant un surstress ingérable.

…et deux façons de guérir:

1) La manière pratique: on applique concrètement la solution.

2) Le dépassement.

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Pour qu’il y ait maladie chez une personne, on doit retrouver la combinaison de 2 évènements: (p. 43)

1) il faut d’abord un «programmant», c’est-à-dire qu’il faut avoir vécu à un certain moment de sa vie, un conflit (accident, choc, peine, etc.) conduisant à un surstress important, qui cause l’enregistrement dans le cerveau, du programme de la maladie associé au ressenti et à la manière dont on a vécu l’événement.

2) il faut ensuite un «déclenchant», c’est-à-dire une situation ou l’on revit de façon similaire au niveau du ressenti, un événement de surstress.

L’intervalle entre les deux événements peut représenter des jours, des semaines, des mois ou des années.

Généralement, l’événement programmant est vécu dès la conception, durant la petite enfance ou à l’adolescence, lorsqu’on fait notre apprentissage de la vie. Le ressenti (le choc) n’est généralement pas suffisamment fort pour faire apparaître une maladie (sinon il devient aussi un déclenchant) mais fragilise l’individu et le prédispose à la maladie pour le futur. Le déclenchant, quant à lui, peut survenir à tout moment après qu’un programmant eut été enregistré.

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J’espère que ce texte vous donnera un avant-goût de ce qu’est la Biologie Totale, cette nouvelle approche qui est formidable.

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