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L’holoénergétique

L’holoénergétique n’est pas une médecine, ni une technique médicale. Elle ne propose ni diagnostic ni traitement médical.

Certaines personnes font appel à l’holoénergétique après avoir remarqué que des parents, amis ou connaissances avaient changé de comportement ou, dans certains cas, arrêté spontanément l’alcool ou le tabac, à la suite de bilans holoénergétiques. D’autres personnes viennent à l’holoénergétique parce qu’elles sont stressées, mêlées, angoissées, désorientées, brûlées par les difficultés de l’existence.
Toutes ces manifestations et difficultés surviennent souvent à la suite d’une mauvaise orientation par rapport au sens de l’existence et de la vie. L’efficacité de la méthode l’holoénergétique tient au fait qu’elle ne concerne pas uniquement le confort physique. Elle débouche sur le sens de l’existence, laquelle est une matérialisation de la Vie. Un bilan holoénergétique permet au corps de démêler, de décoder ses programmes. Il lui redonne sa carte et sa boussole pour retrouver son chemin à travers les difficultés existentielles.

Compatibilité de l’holoénergétique avec d’autres approches

L’holoénergétique est compatible avec la médecine allopathique, mais elle ne peut pas être combinée avec l’acupuncture, l’homéopathie ou d’autres techniques énergétiques.

Après le bilan holoénergétique…

Que s’est-il passé ?

Le bilan holoénergétique est fondé sur la résonance vasculaire entre des filtres de gélatine pigmentée et votre matière vivante. Pendant le bilan, l’opérateur se sert de ces filtres pigmentés en les plaçant vis-à-vis de vos oreilles et de certaines parties du corps. Il ausculte également la résonance vasculaire en plaçant son pouce sur trois endroits différents de chaque poignet, correspondant à trois artères.

Qu’est-ce que ça fait, un bilan ?

Les recherches en holoénergétique ont permis de constater que les cellules du corps sont en quelque sorte « programmées » et qu’il existe six « programmes » ayant chacun une fréquence vibratoire qui lui est propre. Au cours de notre vie, les événements, l’entourage, l’environnement socioculturel et différentes circonstances provoquent en nous des interférence qui peuvent « désaligner », nos programmes innés et les éloigner de leur fréquence propre.

Le bilan permet de ramener chaque programme sur sa fréquence propre et de supprimer les interférences. Ceci permet à votre « moi profond » de regagner accès aux mémoires de vos différents programmes et de décoder ainsi les informations contenues dans vos cellules. Ce processus de décodage court-circuite à la fois le mental et le système nerveux. Il est plus marqué au cours des trois premières semaines suivant le bilan, mais il continue par la suite.

Qu’est-ce qu’on ressent pendant et après le bilan ?

Le décodage est une sorte de grand ménage. Comme le contenu des programmes est différent pour chaque personne, les réactions peuvent varier. Le but du décodage est de vous permettre de redevenir le « vrai » vous-même.

Aucune réaction – Il est possible que vous ayez l’impression que rien ne s’est produit, que rien n’a changé. Mais il se fait toujours un travail souterrain après un bilan, et il y a de bonnes chances que votre entourage remarque un changement en vous et vous dise que vous êtes « différent » (vous êtes plus calme, plus optimiste, de meilleure humeur ou vous avez un « air de santé » ou de bien-être). Vous pourriez aussi constater que, tout simplement, vous prenez plus de distance par rapport au personnage qui vous a été imposé par les conditionnements socioculturels.

Réaction agréable – Vous pouvez vous sentir plus détendu, avoir meilleur sommeil ou meilleure humeur, sentir que vous en portez moins lourd sur les épaules, vos rêves peuvent changer, ou vous pouvez tout simplement vous sentir « mieux dans votre peau ». Certaines personnes ressentent un bien-être qu’elles n’avaient jamais connu auparavant. Dans certains cas, des symptômes physiques ou des difficultés psychologiques qui rendaient l’existence pénible disparaissent spontanément.

Réaction difficile – Le décodage consiste en quelque sorte à « nettoyer » les programmes qui ont pu être altérés par des événements douloureux (physiques ou psychologiques). Or si le mental a bien géré ces événements traumatiques mais que le corps ne les avait pas digérés, il a pu les « garder en mémoire » à votre insu. Le décodage peut, de ce fait, réveiller ces mémoires.

Si de telles «mémoires » se réveillent, il se peut que vous ayez une réaction difficile qui pourra prendre la forme de colère, de tristesse ou de dépression. Certaines personnes ressentent toutes les frustrations qu’elles n’ont pas pu exprimer. Ou encore, l’agressivité qui a été réprimée peut réapparaître. Ne vous en inquiétez pas : les réactions difficiles ne sont que passagères.

En règle générale, elles vous permettront de mieux comprendre ces passages douloureux et de prendre conscience de leur utilité. Normalement, vous ne devriez plus envisager ces événements comme si vous en étiez la victime, mais bien comme si vous aviez participé à une épreuve ou franchi un obstacle. Cela vous permet de vous en affranchir, de retrouver votre liberté.

Changement d’attitude – Un bilan peut vous aider à vous libérer de vos conditionnements socioculturels et à devenir plus authentique. Pour cette raison, certaines personnes communiquent davantage aussi bien les choses désagréables que les choses agréables, et elles acceptent de déplaire.

Qu’est-ce qu’on doit faire ?

Il n’y a rien de spécial à faire. Vous n’avez aucun effort mental à faire. Comme c’est le mental qui est à l’origine de la plupart de nos problèmes, ce n’est donc pas lui qui peut nous aider pour l’instant.

Il faut laisser le décodage se faire à son rythme. Toute tentative du mental en vue d’un résultat plus rapide ne peut qu’interférer avec le décodage.

Et si j’ai du mal à supporter une réaction négative ?

Si vous avez besoin d’appui, de soutien ou de support, nous pourrons vous référer à une ressource professionnelle – médecin ou psychologue, par exemple – en fonction de vos besoins. Il est rare qu’une réaction négative soit si forte, mais si tel est votre cas, si vous avez du mal à supporter une réaction négative, alors n’hésitez pas et communiquez avec nous.

Qu’est-ce qu’on ne doit pas faire ?

Boucles d’oreilles – On ne doit pas porter de boucles d’oreilles « à tige » (pour oreilles percées). Celles-ci constituent un parasite électronique, un bruit de fond qui rend plus difficile le décodage. Elles sont également analogues à un virus informatique qui va imposer certaines informations au niveau de l’inconscient. On peut porter des boucles d’oreilles à pince. Si elles font mal, il suffit de les enlever. La différence entre les deux types de boucles d’oreilles tient au fait que la boucle à tige agit au niveau de l’inconscient. On ne peut pas se défendre contre ce type d’informations. Souvent, le corps va exprimer son mécontentement par des maux de tête et de l’inflammation de l’oreille pour se débarrasser de ce corps étranger.

Thérapeutiques énergétiques – On ne doit pas combiner un bilan holoénergétique avec des thérapeutiques de type énergétique telles que l’acupuncture ou l’homéopathie. Ces techniques sont très puissantes, mais elles peuvent favoriser certains programmes aux dépens des autres. Elles peuvent donc interférer avec le décodage du programme cellulaire profond.

Croissance personnelle – On ne doit pas combiner l’holoénergétique avec des techniques de croissance personnelle. L’holoénergétique nous permet d’accepter d’être ce qu’on est ou « ce qu’on naît ». Les efforts pour « vouloir être » peuvent nous empêcher d’« être ».

Et la médecine ?

L’holoénergétique est compatible avec la médecine classique, car celle-ci agit localement. Les médicaments chimiques (de prescription, par exemple), même si parfois ils peuvent entraîner des effets secondaires très désagréables, n’interfèrent pas avec le décodage.

Après le premier bilan

Le premier bilan holoénergétique permet d’envoyer au corps les informations dont il a besoin pour accéder à ses mémoires originelles. À la fin du premier bilan, il n’y a plus d’interférence détectable par le signal vasculaire, ce qui veut dire que chaque programme est sur sa fréquence.

Un deuxième bilan, au bout d’un mois, est indispensable pour voir si le corps a bien décodé ses programmes. S’il a bien décodé, il va montrer d’autres problèmes à résoudre. S’il n’a pas bien décodé, il va montrer les mêmes interférences que la première fois.

Selon l’importance des problèmes, on peut répéter le bilan holoénergétique par la suite au bout de deux ou trois mois.

Entre chaque bilan

En général, il est nécessaire de laisser passer au moins trois semaines entre chaque bilan pour permettre le décodage. Il est donc rarement utile de faire des bilans à des intervalles plus rapprochés.

Et si j’ai d’autres questions ?

Si vous désirez mieux comprendre ce qu’est la méthode holoénergétique, nous pourrons vous indiquer des ouvrages et articles à lire. Vous pouvez aussi lire L’Homme cellulaire, qui inclut une explication plus élaborée ainsi que des témoignages. Comprendre le fonctionnement « technique » de l’holoénergétique n’est cependant pas nécessaire pour que le bilan agisse.

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