Découvrez la source de vos malaises et maladies.
C’est un rendez-vous à ne pas manquer.
LE 23 SEPTEMBRE À 19H30
Hotel Clarion (ancien Holiday Inn, salle Frontenac) :
3125, boul Hochelaga, Ste Foy
Coût : 20 $ (tx incluses)
Réservation et information : 418-990-7888 ou 1-877-990-7888 ou [email protected]
La santé a toujours été pour moi un sujet préoccupant. En effet, dès mon jeune âge, j’ai commencé à éprouver des problèmes de santé sans connaître exactement la cause de ceux-ci. Ma mère a été confrontée à des situations difficiles qui, pendant de nombreuses années, ont demandé des soins tels que des opérations, des traitements et qui ont occasionné des années d’hospitalisation.
En ce qui me concerne, comme on n’arrivait pas à trouver exactement ce que j’avais, c’est comme si un doute planait constamment : je croyais que ces maux pouvaient être psychologiques. Je me suis dit alors : soit que c’est « dans ma tête », soit qu’il y a une raison à ce qui se passe. J’ai décidé d’opter pour le deuxième choix et c’est alors que j’ai commencé à chercher ce qui m’amenait à vivre tous ces inconvénients.
En 1978, j’ai commencé à travailler dans le domaine de la santé, dans la supplémentation alimentaire. C’est alors que j’ai commencé à me rendre compte par moi-même, au cours des consultations individuelles que je faisais et par mon observation, qu’il pouvait exister un lien entre les émotions, les pensées et les maladies. J’avais commencé intuitivement à découvrir le lien qui existait entre certaines émotions et certaines maladies. C’est en 1988, alors que je me suis inscrit à des cours de croissance personnelle, que j’ai été mis en contact avec ce que l’on appelle aujourd’hui l’approche métaphysique des malaises et des maladies. Je nous revois, moi et d’autres, consultant la compilation des malaises et des maladies que Louise Hay avait faite dans son livre. Aussi, j’observais les gens qui commençaient leur investigation sur eux-mêmes ou sur les autres afin de vérifier le bien-fondé de ce qu’elle avançait, tout passionnés qu’ils étaient de découvrir des nouvelles avenues de recherche pour leur permettre de mieux comprendre ce qu’ils vivaient.
À partir de ce moment, mon intérêt pour cette approche n’a cessé d’augmenter, d’autant plus que je me réorientais dans le domaine plus spécifique de la croissance personnelle. Depuis ce jour, je n’ai cessé de vérifier, à travers mes consultations individuelles, les cours ou les ateliers que j’anime, la pertinence de ces données sur les malaises et les maladies. Aujourd’hui encore, je me vois, soit à l’épicerie ou lorsque je vais faire des photocopies, poser des questions à des personnes sur ce qu’elles vivent en rapport avec leurs malaises ou leurs maladies.
Je vois encore ces gens qui me regardent avec un air étonné et interrogateur, se demandant si je suis un voyant ou un extraterrestre pour savoir ainsi des choses sur leur vie personnelle sans qu’ils ne m’en aient parlé. En fait, la réponse est simple. Lorsqu’on sait décoder les malaises et les maladies et que l’on sait à quelles émotions ou à quelles pensées ils sont reliés, il est alors facile de dire à la personne ce qu’elle vit. Alors, je dis aux gens que c’est simplement la connaissance du fonctionnement de l’être humain et la connaissance des liens avec les pensées, les émotions et les maladies qui me permettent de donner cette information. Dans un sens, je leur explique que l’on pourrait entrer le plus de données possible dans un ordinateur et que quelqu’un pourrait donner les symptômes de son malaise ou de sa maladie, ou simplement de nommer celle-ci, et l’information pourrait sortir sur ce que le personne vit dans sa vie personnelle, qu’elle en soit consciente ou non. Alors, ce n’est pas une question de voyance mais bien une question de connaissance.
Aujourd’hui, avec l’expérience et les connaissances que j’ai, je puis affirmer qu’il est impossible qu’une personne souffre du diabète sans vivre de la tristesse profonde ou de la répugnance face à une situation qu’elle a vécue. Pour moi, il est impossible qu’une personne souffre de l’arthrite sans vivre de la critique envers elle-même ou quelqu’un d’autre ou envers des situations de sa vie. Pour moi, il est impossible qu’une personne vive des problèmes au foie sans vivre de la colère, de la frustration envers elle-même ou envers les autres, et ainsi de suite. On m’a parfois fait la réflexion suivante : « Lorsque tu décodes les malaises et les maladies, tu t’arranges pour que cela fonctionne ». On me dit alors que tout le monde vit de la colère, de la frustration, de la peine, du rejet, etc. À cela, je réponds que tout le monde ne réagit pas de la même façon. Prenons par exemple le fait que j’ai grandi dans une famille de douze enfants et dont le père était alcoolique et la mère, dépressive. Mes frères et mes sœurs auront eu les mêmes parents que moi mais chaque enfant, y compris moi-même, sera ou non affecté et le sera d’une façon différente en raison de son interprétation du vécu avec ses parents. Pourquoi? Parce que nous sommes tous différents et que nous avons à faire des prises de conscience différentes dans notre cheminement personnel. Ainsi, le phénomène de rejet pourra déclencher une maladie chez l’un et pas chez l’autre. Cela dépend de la façon dont je me suis senti affecté, consciemment ou inconsciemment. Si mon stress psychologique est suffisamment grand, il sera transposé dans un stress biologique sous forme de maladie.
Lors d’un atelier que je donnais sur l’approche métaphysique des malaises et des maladies, à l’occasion d’un salon sur la santé naturelle et les thérapies alternatives, les malaises et les maladies dont on me faisait part ont été décodés assez rapidement et avec justesse, à mon grand plaisir. Quelque temps plus tard, une amie qui était dans l’assistance lors de cet atelier me dit : « Jacques, tu devrais faire attention quand tu réponds aux gens et que tu donnes la réponse directement et rapidement. Les personnes qui étaient à mes côtés ont eu l’impression que l’atelier était arrangé pour que ça fonctionne. » Il n’en était rien, bien entendu. Ce qu’il faut comprendre ici, c’est que premièrement, la personne qui est concernée par le malaise ou par la maladie sait que ce qui est énoncé est vrai pour elle mais ce n’est peut-être pas aussi évident pour les autres qui ne sont pas touchés personnellement. Deuxièmement, ce qui est nouveau et dévoilé à notre conscience peut nous sembler irréel. Nier cette réalité peut aussi être une façon de se protéger pour ne pas se sentir responsable de ce qui nous arrive.
Voici une anecdote illustrant ce constat. Le célèbre inventeur Thomas Edison rencontra les membres du Congrès américain pour leur présenter sa nouvelle invention, le phonographe, une machine parlante. Il est rapporté que lorsqu’il fit fonctionner son invention, certains membres du Congrès le traitèrent d’imposteur, disant qu’il devait y avoir une manigance quelconque puisque, pour eux, il était impossible que la voix humaine puisse sortir d’une boîte.
Les temps ont bien changé. C’est pourquoi il est important de rester ouvert aux nouvelles idées qui pourraient nous apporter des réponses innovatrices à bien des problèmes. Bien des personnes aux États-Unis et en Europe ont développé cette approche du lien qui existe entre les conflits des émotions et des pensées et la maladie, cela aide à faire connaître tout ce champ d’investigation non seulement au Québec (Canada) mais aussi ailleurs dans le monde.
Je dis souvent, au cours de mes conférences, que j’ai un mental qui est très fort mais que j’ai aussi une intuition très forte et que le plus grand défi de ma vie a été, et est encore aujourd’hui, de concilier les deux. Ma formation académique comme ingénieur électricien m’a amené à concrétiser l’aspect logique et rationnel des choses. La physique m’a enseigné qu’à une cause est lié un effet bien réel. C’est cette loi de cause à effet que, plus tard, j’ai pu appliquer au domaine des émotions et des pensées, quoi qu’il soit moins tangible que la physique elle-même. Mais est-ce bien vrai? Même dans un domaine qui relève de la physique comme l’électricité, on travaille avec quelque chose que l’être humain n’a jamais vu : l’électricité. Car en fait on travaille avec les effets comme la lumière, la chaleur, l’induction électromagnétique, etc. De la même façon, les pensées et les émotions ne sont pas nécessairement physiques au sens propre du terme mais peuvent avoir des répercussions physiques sous formes de malaises et de maladies. C’est pourquoi l’un des buts de ce livre est de démontrer qu’à quelque chose de non visible comme les pensées et les émotions, il y a une réaction qui, elle, est physique et mesurable, très souvent sous forme de malaises ou de maladies. Puis-je mesurer la colère ? Non, mais je peux prendre la mesure de ma fièvre lorsque j’en fais. Puis-je mesurer le fait que j’ai souvent l’impression d’avoir à me battre dans la vie pour obtenir ce que je veux ? Non, mais je peux mesurer le nombre de globules rouges sanguins qui ont diminué lorsque je fais de l’anémie. Puis-je mesurer le fait que la joie ne circule pas suffisamment dans ma vie ? Non, mais je peux mesurer mon taux de cholestérol sanguin trop élevé, et ainsi de suite. Alors, si je prends conscience des pensées et des émotions qui ont amené le malaise ou la maladie à prendre place, se peut-il qu’en changeant mes pensées ou mes émotions, je puisse ramener la santé ? J’ose affirmer que oui.
Cependant, cela peut être plus complexe ou plus profond que la partie où je peux en être conscient. C’est pourquoi je peux avoir besoin de faire appel à des personnes travaillant dans le domaine médical ou à d’autres personnes utilisant d’autres approches professionnelles pour m’aider à effectuer des changements dans ma vie. Si je dois me faire opérer et que je comprends ce qui m’a amené à vivre une telle situation, il est bien possible que je me remette beaucoup plus rapidement de mon opération qu’une autre personne qui n’a pas voulu savoir ce qui se passait dans sa vie ou qui l’ignorait tout simplement. De plus, si je n’ai pas compris le message de ma maladie, l’opération ou le traitement semblera faire disparaître cette maladie, mais cette dernière pourra se répercuter sur un autre aspect de mon corps, sous une autre forme, plus tard.
Il est à espérer qu’il y aura de plus en plus d’entreprises qui deviendront conscientes du bien-fondé d’aider leurs employés dans leur cheminement personnel, au plan émotionnel. Cela permettra de diminuer davantage les accidents dans l’entreprise et le taux d’absentéisme, et augmentera l’efficacité individuelle. Si ma vie personnelle, familiale ou professionnelle fait que je ne suis pas bien avec moi-même, j’aurai plus de chance de « m’attirer », même inconsciemment, une maladie ou un accident pour pouvoir prendre congé ou pour que l’on s’occupe de moi.
C’est en 1990 que m’est venue l’idée de rédiger un dictionnaire traitant des causes métaphysiques des malaises et des maladies, et en 1991 que je me suis mis à la tâche. À ce moment, je ne me doutais pas de la somme de travail qui m’attendait. Heureusement, car si je l’avais su, je crois que je n’aurais jamais mis en branle ce projet. Mais je m’étais dit « Une chose à la fois ! Je vais y arriver ; je vais travailler jusqu’à ce que je sois suffisamment satisfait des résultats pour publier cet ouvrage. » Si je mentionne ceci, c’est aussi que cela demande beaucoup de travail, d’énergie et de volonté de faire des changements sur soi. Un auteur américain a écrit un jour : « Seuls les courageux et les aventureux auront l’expérience personnelle de Dieu. » Ce que je comprends de ce passage, c’est que ma détermination à relever les défis et le courage d’expérimenter des avenues nouvelles pour moi me procureront un certain état de réalisation et de bien-être. Cet état de bien-être correspond à la santé physique, mentale et émotionnelle.
De 1978 à 1988, j’ai travaillé dans le domaine de la supplémentation alimentaire que l’on peut appeler l’approche orthomoléculaire, qui veut dire « fournir à l’organisme les nutriments nécessaires, comme les vitamines, les minéraux et autres nutriments, sous forme de nourriture ou de suppléments alimentaires, pour aider à rétablir ou à maintenir une santé optimale ». Je me basais alors sur les travaux de psychiatres et autres médecins, biochimistes et divers chercheurs canadiens et américains (surtout) qui, par leur expérimentation, ont démontré qu’en donnant les nutriments nécessaires, on pouvait en arriver à améliorer, voire guérir dans certains cas la santé physique, mentale et émotionnelle. En fait, il existe plusieurs approches afin d’obtenir une santé optimale qui toutes ont leur importance, chacune d’elles agissant d’une façon ou d’une autre sur tous les aspects de notre être. En 1996, j’ai vu un reportage1 à la télévision sur un hôpital, le Columbia-Presbyterian Hospital dans la ville de New York, où il était question d’un patient, monsieur Joseph Randazzo, qui allait être opéré pour trois pontages coronariens. Ce patient a bénéficié de séances de visualisation, de traitements énergétiques, de réflexologie avant son opération. Pendant l’opération, il bénéficiait de traitements énergétiques. Après son opération, ce même patient a participé à nouveau à des séances de visualisation, a reçu des traitements énergétiques et de réflexologie pour lui permettre de récupérer plus rapidement. Ces interventions ont porté fruit car le patient a récupéré beaucoup plus rapidement après cette opération majeure que ne l’aurait fait un autre patient dans des conditions habituelles. Le médecin pratiquant, Mehmet Oz, mentionnait qu’il faisait une telle expérimentation sur 300 de ses patients pour analyser les résultats de l’ajout de ces thérapies alternatives au traitement médical conventionnel.
Ainsi, le présent livre se veut un complément à toute approche, qu’elle soit médicale ou en lien avec les médecines douces. Il traite donc à la fois de l’approche allopathique, plus médicale, et de l’approche holistique qui comprend davantage l’aspect physique, mental, émotionnel et spirituel de mon être. Je souhaite ardemment que tous les professionnels de la santé, à quelque niveau qu’ils soient, se servent de ce dictionnaire comme complément à leur pratique, comme outil de travail et d’investigation, pour aider leurs patients dans leur processus de guérison. Pour ma part, j’ai expérimenté les opérations, la médecine traditionnelle, les médicaments, l’acupuncture, les traitements énergétiques, la radiesthésie, la naturopathie, les massages, la thérapie par les couleurs, la diététique, la vitaminothérapie, les essences florales du Dr Bach, la chiropratique, l’orthothérapie, l’iridologie, la psychothérapie, le rebirth (respiration consciente), l’homéopathie, etc. Je sais que si une technique était valable pour tout le monde, ce serait la seule qui existerait. Mais ce n’est pas le cas, car l’être humain est l’animal sur cette planète ayant le plus de possibilités mais aussi la plus grande complexité.
C’est la raison pour laquelle je dois essayer de comprendre par moi-même ce que je vis en me faisant aider par d’autres, au besoin, dans le domaine respectif de leur compétence. Le même auteur que je mentionnais plus haut écrivait un jour : « ON DOIT APPRENDRE DE CEUX QUI SAVENT. » C’est ainsi que je dois rechercher le meilleur de ce qui existe dans chacune des professions. Lorsque je me retrouve devant un médecin, je me dis qu’il en sait plus que moi sur la médecine et que je dois être attentif à ce qu’il me dit et à ce qu’il me propose, me laissant le libre choix de décider par la suite de mon orientation. De même, lorsque je me retrouve devant un acupuncteur, je suis attentif à ce qu’il me dit ou à ce qu’il me propose comme traitement parce qu’il connaît plus que moi le fonctionnement de l’équilibre énergétique de mon corps en fonction de mes méridiens. Il en va de même pour toutes les autres professions.
L’autre jour, une dame me disait qu’elle ne croyait pas à toutes ces histoires de pensées et d’émotions par rapport aux maladies. Je lui ai répondu que ce n’était pas nécessaire d’y croire. Après qu’on lui ait lu quelques textes qui se rapportaient à des malaises et à des maladies qu’elle avait déjà eus ou qu’elle avait encore, on a pu remarquer que son attitude avait changé et qu’elle était plus réceptive à cette approche. En fait, il y a une partie à l’intérieur de moi qui sait ce qui se passe et que ce qui est dit à mon sujet correspond à ce que je vis et que cela n’est pas dû au hasard. Il faut ici être prudent : je ne dois pas me sentir coupable de ce qui m’arrive et croire qu’on me dit que c’est ma faute si je suis malade. Je suis responsable de ce qui m’arrive mais, dans la plupart des cas, ce n’est pas ma faute. C’est la méconnaissance des lois qui régissent les pensées et les émotions sur le corps physique qui m’amène à vivre des situations de malaises ou de maladies. Je dois donc prendre conscience de mon cheminement personnel ou, au sens large du terme, de mon cheminement spirituel. Là où j’ai découvert qu’il n’y avait pas ou peu d’amour, je dois redécouvrir que l’amour était présent quand même. Pas évident, me direz-vous ! Mais c’est comme ça. Si je me jette du haut d’un balcon et que je me casse une jambe, vais-je dire que Dieu m’a puni ? En fait, il existe une loi que l’on appelle la loi de la gravité qui tend à me ramener au sol. Cette loi n’est ni bonne, ni mauvaise, c’est la loi de la gravité. J’aurai beau argumenter et en vouloir à cette loi parce qu’à cause d’elle je me suis cassé une jambe; cela ne changera rien à la loi car LA LOI, C’EST LA LOI. Ainsi, on explique toutes les maladies par un manque d’amour. On dit que l’amour est le seul guérisseur. Alors, si cela est vrai, ne suffirait-il pas simplement de donner de l’amour pour voir la guérison se manifester ? Cela est vrai, dans certains cas. En fait, c’est comme si l’amour devait entrer par certaines portes pour que la guérison se fasse, par ces portes qui ont été fermées à l’amour lors de mes blessures antérieures. Voilà tout un champ de découverte et de prise de conscience!
Ce livre ne vise pas directement à apporter des solutions aux malaises et aux maladies mais bien plus à m’aider à prendre conscience que ce que j’éprouve comme malaise ou comme maladie provient de mes pensées et de mes émotions et, qu’à partir de cela, je peux prendre les moyens que je juge à propos pour apporter des changements dans ma vie. Cependant, le seul fait de savoir d’où provient mon malaise ou ma maladie peut suffire à amener des changements dans mon corps physique. Dans certains cas, le changement positif peut être de 50 % et pouvant même aller jusqu’à 100 %, soit la guérison complète.
Pour ma part, lorsque j’ai connu les cours de croissance personnelle en 1988 et que j’ai pu prendre conscience des changements qui se passaient en moi, j’ai eu le sentiment que je commençais à renaître et j’ai vu poindre à l’horizon l’espoir de jours meilleurs. J’avais enfin trouvé un moyen de faire des changements importants dans ma vie et d’en voir les résultats. Il me fallait agir car j’étais en réaction par rapport à l’autorité, je vivais énormément de rejet, d’abandon et d’incompréhension. Je savais tout cela mais encore fallait-il que je trouve le moyen de changer, de guérir mes blessures intérieures. C’est pourquoi je me suis engagé dans ce domaine d’activité qu’est la croissance personnelle. Mon travail me permettait de travailler sur moi-même tout en travaillant avec les autres à les aider à ouvrir leur conscience. Je crois sincèrement que chacun d’entre nous peut se prendre en main de façon de plus en plus autonome et que chacun d’entre nous peut accéder à un degré de sagesse, d’amour et de liberté supérieur ! Nous le méritons tous.
Ce dictionnaire se veut un outil d’ouverture de conscience et de recherche pour soi-même. Lorsqu’il m’arrive quelque chose par rapport à ma santé, je vais relire ce qui est écrit dans ce dictionnaire afin d’être encore plus conscient de ce qui se passe. En effet, l’être humain a facilement tendance à occulter, c’est-à-dire à faire disparaître de sa mémoire consciente ce qui le dérange. Ainsi, lorsque je lis le dictionnaire, je le fais avec les yeux de quelqu’un qui veut apprendre et être davantage conscient de ce qui lui arrive. Mon côté mental et intellectuel prennent conscience de l’information avec laquelle je vais avoir à travailler. Car le seul vrai pouvoir que j’ai, c’est le pouvoir sur moi-même; je suis créateur de ma vie. Plus j’en suis conscient, plus je peux faire les changements appropriés.
Depuis un siècle, et plus particulièrement depuis les cinquante dernières années, nous avons fait un bond extraordinaire au point de vue technologique, ce qui a permis, dans bien des cas, d’améliorer nos conditions de vie. Malgré tout ce progrès, on ne se rend pas bien compte que la science n’a pas la réponse à tout et qu’il existe, sur cette planète, beaucoup d’hommes et de femmes qui souffrent de maladies. Que l’on vive dans des pays industrialisés ou en voie de développement, on doit prendre soin de soi et faire face aux questions suivantes : Qui suis-je ? Où vais-je ? Quel est mon but dans la vie ?
Il est important que je me serve de ce livre comme d’un outil de compréhension, d’investigation et de transformation. S’il me vient des idées nouvelles en lisant les textes, je dois me sentir à l’aise de les compléter avec mes propres mots. Cet outil doit devenir un instrument vivant auquel chacun d’entre nous peut apporter sa contribution. C’est ainsi que certains passages du livre ont été rédigés à la demande de personnes qui savaient que je travaillais à cet ouvrage. Ainsi, lorqu’on m’a demandé : « Est-ce que tu as traité dans ton livre des allergies au beurre d’arachide ? », la réponse a été : « Non, mais je vais le faire.» Il en a été de même pour plusieurs maladies qu’on m’a demandé d’inclure.
À travers cette conférence, Jacques Martel vous présentera des outils permettant la découverte de la source des malaises et des maladies nous affectant, en identifiant les sentiments, pensées ou émotions à l’origine de ces maux, tant physiques que psychologiques.
C’est un rendez-vous à ne pas manquer.
LE 23 SEPTEMBRE À 19H30
Hotel Clarion (ancien Holiday Inn, salle Frontenac) :
3125, boul Hochelaga, Ste Foy
Coût : 20 $ (tx incluses)
Réservation et information : 418-990-7888 ou 1-877-990-7888 ou [email protected]