Dans la vie, il n’y a pas de hasards…
J’ai écrit trois fois à Mme Warren sans toutefois lui transmettre mes lettres pensant qu’elle devait sans doute recevoir des centaines de lettres du même genre car ses livres étaient déjà des best-sellers au Québec et qu’ils étaient, par surcroît, traduits en italien et en portugais.
Il y a quelques semaines, j’ai écrit à Pierre Abraham promoteur de Alchymed – portail international de conférenciers et d’auteurs dont je fais partie – pour apprendre de Pierre que le 10 juin 2003 Johann Warren (devenue Yoanne Warren) donnait une conférence à Québec. Je fus surprise d’apprendre que Mme Warren avait souffert d’un problème sérieux de fibromyalgie et qu’elle avait été 18 mois immobilisée en raison de ce problème. La conférence portait sur une approche thérapeutique développée par deux médecins de médecine traditionnelle, les Dr Ryke Geerd Hamer et le Dr Claude Sabbah. Le Dr Hamer a développé l’approche de la médecine nouvelle après avoir lui-même souffert d’un cancer alors que le Dr Sabbah est cancérologue et a développé l’approche de la biologie totale elle-même basée sur les principes observés par le Dr Ryke Geerd Hamer.
J’ai assisté à cette conférence pour satisfaire ma curiosité, consciente du nombre croissant de personnes souffrant de fibromylagie, du syndrome de fatigue chronique, de cancer ou d’allergies de toutes sortes. J’ai également assisté à cette conférence réalisant que cette approche pouvait en quelque sorte être complémentaire à une conviction que je partage depuis plus de vingt ans avec les lecteurs de mes propres livres : celle que le cerveau est comparable à un ordinateur que nous programmons volontairement ou involontairement pour atteindre ou non les objectifs de vie que nous désirons atteindre.
Johann Warren est maintenant complètement guérie de la fibromyalgie. Elle explique son parcours ainsi que les principes de base de la biologie totale dans un livre intitulé Retrouver ses ailes. Ce livre est actuellement disponible en librairie.
J’ai donc assisté à la conférence de Mme Warren qui a parlé avec enthousiasme et énergie de son parcours de la maladie à la santé. Moi-même conférencière, j’ai été éblouie par son propos et par son charisme. Elle a entretenu son public avec dynamisme et conviction de 19h30 à 21 heures et de 21h30 à 23 heures.
L’approche de la biologie totale m’a convaincue. Cette approche travaille main dans la main avec les approches plus traditionnelles et ne conseille pas aux personnes d’arrêter leurs traitements tant que la guérison n’est pas complète. Si une chirurgie est prévue, elle tente de l’éloigner tant que la vie de la personne n’est pas en danger. Dans la plupart des cas, la chirurgie peut éventuellement être évitée lorsque le processus de guérison est amorcé.
En biologie totale, il n’y a pas de coupables ni de victimes, c’est important de le préciser. De plus, la biologie totale accorde une grande importance aux mots que l’on utilise au quotidien. Comme le fait remarquer Mme Warren, le mal a dit (maladie). Les mots parlent et nous devons être vigilants dans le choix de nos mots si l’on veut se mettre à l’abri des maux.
Cette approche grâce à laquelle Johann Warren a guéri de la fibromyalgie préconise le fait que le cerveau de l’individu atteint d’une maladie serait générateur de cette maladie. Le processus est simple : une programmation est enregistrée (de façon inconsciente) à un stade du développement de l’individu et cette programmation (genre de cassette) se met en marche lors d’un déclencheur (en général situation de surstress) dans la vie de cette personne. Un long processus, qui peut s’échelonner sur plusieurs années, se met alors en marche pour développer la maladie. La bonne nouvelle est que le processus inverse peut avoir lieu et permettre à la personne de se débarrasser de cette maladie avec ses ressources intérieures personnelles.
Le thérapeute en biologie totale a pour objectif d’aider la personne qui souffre d’un problème d’identifier les conflits à l’origine de ce problème. En médecine traditionnelle, 18 000 pathologies sont répertoriées et la biologie totale a identifié les conflits rattachés à ces pathologies. Certaines maladies sont reliées à plusieurs conflits (au maximum 4) alors que d’autres ne sont reliées qu’à un ou deux conflits.
Ayant une situation personnelle à régler pour ma chienne Soleil, j’ai eu la chance de rencontrer Johann Warren chez moi, la veille de sa conférence. À ma demande, elle a en effet, spontanément et avec générosité, accepté mon invitation. Soleil est actuellement suivie par Yoanne avec l’approche de la biologie totale et tous les espoirs sont permis puisque le travail de guérison est en cours et que Soleil est en phase de récupération. Une fois cette guérison accomplie et scientifiquement validée par le corps médical vétérinaire, je me propose d’écrire un livre qui s’intitulera vraisemblablement Pourquoi pas le bonheur ? (tome 2) puisque l’approche de la biologie totale des êtres vivants s’inscrit très logiquement dans une continuité de la programmation du subconscient abordée dans mon premier livre et qui a été, pour moi, la première marche d’un long escalier d’évolution.
J’ai déjà lu dans un livre de Richard Bach (auteur de Jonathan Livingstone le Goéland) qu’il ne t’est pas donné un désir qui ne puisse être satisfait mais qu’il te faudra peut-être, pour atteindre ton but, y mettre temps et effort.
Ma première rencontre avec Johann Warren a eu lieu le 9 juin 2003, soit 10 ans après avoir ardemment souhaité cette rencontre. Cette rencontre en a été d’autant plus appréciée ! Sa conférence et la lecture de Retrouver ses ailes m’ont fait réaliser, une fois de plus, la véracité de cette pensée : tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir !