Les Bouchet, médecins de l’habitat
« Les médecins voulaient me couper les deux têtes de fémur, mais j’ai refusé. Je me suis fait soigner en ostéopathie, en acupuncture et en homéopathie et le cartilage a repoussé. » Un an plus tard, c’est la guérison totale et ce chercheur en parasitologie, sorti dans les premiers de la plus ancienne école vétérinaire du monde, l’École de Lyon, décide d’étudier les médecines douces pour les mettre en pratique. « Il peut ainsi contrôler leur efficacité sur les animaux, qui eux ne sont pas comme les humains soumis à la puissance de leur mental ». Le Dr Bouchet quitte alors son poste de chef des recherches vétérinaires au sein d’une multinationale américaine pharmaceutique pour laquelle il se lasse de « massacrer des animaux » au nom d’une médecine allopathique qui l’avait condamné à l’infirmité plutôt que de l’aider à se guérir.
Intéressées par les résultats probants de ce vétérinaire devenu ostéopathe et homéopathe dans les années 1980, plusieurs chaînes nationales françaises de radio et télévision le sollicitent pour des chroniques hebdomadaires. Il écrit même de nombreux articles dans la grande presse hebdomadaire. Conférencier dans près de 20 congrès médicaux, il signe aussi plus de 40 articles scientifiques.
Praticien autonome, il élargit les horizons de sa connaissance. Un jour, il se bute à des élevages entiers d’animaux malades qui ne réagissent pas aux traitements classiques, naturels ou de synthèse. « À un moment donné, 80 à 100 poules mourraient par jour. Toute la faculté de médecine vétérinaire y est passée, sans succès ainsi que les homéopathes. Puis on a vu arriver un vieux paysan avec son pendule. Ce radiesthésiste déclara qu’il y avait des ondes nocives dans le sol et il fit installer un menhir à un endroit précis. Dès le lendemain, les animaux allaient mieux. »
Alain Bouchet décida donc d’apprendre à manier pendule et baguettes en suivant des cours de radiesthésie, mot qui vient du latin radius (rayon) et du grec aistheis (sensation). Bien qu’il remonte à la nuit des temps et qu’il était enseigné aux officiers français à l’École de Guerre avant 1914, cet art ne fut nommé qu’en 1930, selon le Petit Robert. Celui-ci le définit comme le procédé de détection des diverses radiations émises par certains corps. Cette sensibilité innée, qui peut se raffiner, est plus présente chez certaines personnes que chez d’autres. Le corps humain est doté d’un système nerveux électromagnétique, il est composé aux trois quarts d’eau et il évolue entre terre et ciel. Il est donc logique qu’il soit sensible aux variations des énergies telluriques émises par la terre, ainsi qu’aux ondes cosmiques, venant notamment du soleil et des autres planètes (les effets de la lune sur l’humeur et les marées sont bien connus).
L’un des radiesthésistes européens les plus célèbres, le grand physicien et mathématicien Yves Rocard, était aussi le père de l’ancien premier ministre français Michel Rocard. Éminent professeur qui a formé toute une génération de physiciens à l’École Normale Supérieure, il a écrit le livre Les Sourciers (Éditions Que sais-je, no 1939). Comme d’autres radiesthésistes avant et après lui, il fut méprisé et ridiculisé dans certains milieux officiels. Pourtant, des scientifiques de renom persistent à croire que cet art est la science de l’avenir, car il permet de mesurer des énergies complexes, tels les rayonnements cosmo-telluriques, difficilement mesurables avec des appareils scientifiques modernes.
Si certains radiesthésistes ne s’emploient qu’à trouver des sources d’eau souterraines et d’estimer avec succès leur profondeur et leur débit, d’autres comme Alain Bouchet l’utilisent pour une foule d’autres applications, dont la géobiologie et la radiesthésie médicale (permettant de choisir les traitements et les compléments alimentaires appropriés). Absent du dictionnaire, le mot géobiologie signifie l’étude des interactions entre les rayonnements terrestres et les êtres vivants. Cette discipline s’intéresse aussi aux effets des couleurs, des formes architecturales, des matériaux et de la pollution électromagnétique sur la santé. Le Dr Bouchet est aussi un adepte de son penchant oriental, le feng-shui. L’Homme passe de très nombreuses heures par jour dans un environnement souvent malsain que ce soit au bureau ou à la maison. Parmi les facteurs environnementaux susceptibles de nuire à la santé, il faut citer : la qualité du sous-sol (présence de failles, de courants d’eau, etc.), la forme des bâtiments (présence des émissions induites par les formes), la nature des matériaux de construction, des revêtements et isolants, les pollutions électromagnétiques dues aux installations électriques défectueuses, aux postes de télévision, aux ordinateurs, aux téléphones portables et leurs stations relais, etc. Il est donc important d’avoir un bon rayonnement cosmique chez soi. Or, certains matériaux de construction comme la laine de verre et le polystyrène coupent la pénétration du rayonnement cosmique
Dans chacun des nombreux domaines auxquels il s’est initié, Alain Bouchet se buta sans cesse à des esprits sectaires (« en dehors de l’homéopathie, point de salut, en dehors de … point de salut etc»). C’est pourquoi, dans les années 80, ce chercheur d’une grande ouverture d’esprit décide de fonder une école, l’Institut méditerranéen des énergies vitales (IMEV), avec sa femme, l’enseignante et journaliste Claudie Darmon, devenue comme lui géobiologue et thérapeute. Plusieurs thérapies naturelles y ont été enseignées par les initiateurs de ces nouvelles thérapies , biologie totale et décodage, ostéopathie, aromathérapie, toucher énergétique, fascias thérapie, médecine des 3D, thérapie par les couleurs, phytothérapie, reprogrammation ADN, feng-shui, géobiologie, et même des stages sur des sites sacrés en France et en Égypte. Aujourd’hui, le couple ne dirige plus l’IMEV mais enseigne toujours, en France et ailleurs, à des Belges, des Suisses, des Québécois, des Italiens et même des Polynésiens.
En 1995, Alain Bouchet obtient un diplôme en Environnement et Santé de l’Université de Montpellier, après avoir déposé une thèse sur les champs électromagnétiques et la santé humaine. En mars 1999, il présente une communication à l’Assemblée nationale française dans le cadre d’un colloque sur les effets biologiques des lignes à haute tension. « Hydro-Québec a la même attitude qu’EDF (NDLR : Électricité de France). Ils sont terrorisés par la peur qu’on les accuse du danger des lignes à haute tension. Pour se défendre, ils disent que ce n’est pas un problème. Pour nous géobiologues, statistiquement, on voit que le nombre de gens qui habitent près des lignes à haute tension est minime, mais que trois de ces maisons sur quatre ont un problème électromagnétique. Hydro n’est pas impliquée, mais l’information ne suit pas. » Souvent, les effets nocifs des champs électromagnétiques générés par des erreurs dans le système électrique peuvent être multipliés sur un site géopathogène, par exemple lorsqu’un lit ou un fauteuil de bureau sont situés au-dessus d’une faille dans le roc ou d’autres sources de radiations souterraines.
Pour maintenir sa neutralité, le géobiologue commence toujours à l’extérieur, explique le bon docteur de 63 ans. Ainsi, il n’est pas influencé par les pièces et par ce que les gens lui disent. » Le radiesthésiste doit maîtriser l’art de la neutralité mentale pour ne pas biaiser les réponses du pendule, de la baguette ou d’un autre objet qui exprime en fait son intuition. Le couple a parcouru mon terrain à la recherche de diverses perturbations souterraines nocives, souvent manifestées hors sol par des arbres tordus, des animaux ou des résidants malades. En Europe, depuis plusieurs années, on a remarqué qu’il y a plus de cancers et autres maladies, même des accidents de voiture répétés, là où des géobiologues ont détecté des failles, galeries de mines et de l’eau souterraine, de même que le croisement de quadrillages géomagnétiques (réseaux Hartmann, Curry, des noms des scientifiques les ayant découverts). « Nous avons souvent trouvé dans des chambres le cumul de failles (avec ou sans eau) associées à des réseaux Curry : c’est ce que nous trouvons comme association dans les maisons à cancers… Des cassures géologiques s’échappent des courants électrotelluriques et des gaz radioactifs (radon cancérigène). »
Par contre d’autres réseaux telluriques sont très bénéfiques, les réseaux sacrés : « Ce sont des réseaux que l’on trouve dans tous les lieux sacrés traditionnels justement choisis par les grands bâtisseurs pour leur ambiance bénéfique : églises romanes, temples bouddhistes, vieilles mosquées, pyramides et temples d’Égypte, etc. Les autres réseaux, Hartmann et Curry ont été éliminés de ces hauts lieux. Cela montre bien que nos anciens avaient une connaissance et une maîtrise parfaites de ces énergies telluriques, savoir qui s‘est perdu et que nous essayons de retrouver par le biais de la géobiologie. »
Alain Bouchet affirme que les géobiologues peuvent assez facilement neutraliser l’influence nuisible des failles et eaux souterraines. Par exemple, en plus du menhir qui agit comme traitement d’acupuncture tellurique, l’on peut déposer deux grosses pierres de chaque côté de la faille ou de la rivière souterraine et les relier par une pierre plate, ce qui donne également un banc fort joli. L’important est de s’assurer, tout comme le faisaient les bâtisseurs de grandes cathédrales médiévales, que la chaîne harmonieuse de polarité de tous les matériaux, confirmée par radiesthésie, est respectée : pôle négatif en bas et positif en haut.
Après avoir fait l’analyse des champs électro magnétiques vagabonds Alain et Claudie Bouchet terminent leur inspection de maison en « qualifiant » l’ambiance énergétique de la maison. Il s’agit d’y mesurer la quantité d’énergie cosmique exprimée en unités Bovis, mesurée au pendule et avec le tableau de Bélizal.
Selon le Dr Bouchet, le corps humain requiert au moins 12 500 unités Bovis pour une santé optimale, la maladie est favorisée sous 5 000 unités et les hauts lieux énergétiques (sites sacrés avec dolmens, etc.) peuvent dépasser les 200 000 unités. Ainsi, pour vivre bien, il faut que le niveau de votre maison soit légèrement supérieur au vôtre, ni trop haut ni trop bas : s’il est trop élevé (cas des hauts lieux), vous serez énervé et vous ne pourrez pas vous concentrer sur des choses matérielles. Vous n’aurez pas les pieds sur Terre.
Si le niveau est trop bas : vous serez toujours fatigué, vous ne pouvez pas vous recharger car c’est le lieu qui absorbe votre énergie.
De même, il faut deux fois plus de cosmique que de tellurique : si ce n’est pas le cas, c’est que votre maison est mal conçue ou qu’elle est située sur un lieu géopathogène, alors votre santé et ceux des vôtres s’en ressentira. Il ne faut pas sous-estimer les problèmes de santé liés à l’habitat : on n’habite pas n’importe où dans une maison construite n’importe comment : notre maison ou notre lieu de travail est pour ainsi dire notre deuxième peau, ils font partie de notre environnement proche et nous y passons pour certains vingt heures par jour. Quoi de plus normal qu’ils influencent notre santé !
Pour plus de détails voir la revue Maison du 21ième siècle et lire l’article en ligne au : www.21esiecle.qc.ca
Alain Bouchet et Claudie Darmon feront une tournée québécoise du 13 au 30 septembre prochain avec le Club Québec Conférences : www3.sympatico.ca/cqc
13 Lundi Rouyn-Noranda
14 Mardi Gatineau
15 Mercredi Montréal
16 Jeudi St-Hubert
20 Lundi Rimouski
21 Mardi Drummondville
22 Mercredi Sherbrooke
23 Jeudi Granby
27 Lundi Trois-Rivières
28 Mardi Chicoutimi
29 Mercredi Québec
30 Jeudi Ste-Rose
Ateliers dans les Laurentides
8-9-10-11 oct Géobiologie radiesthésie et santé
2-3 oct. Fascias #1
16-17 oct. Fascias #2
Pour plus de détails sur les formations du couple Bouchet-Darmon : [email protected] 514 297 7049