Formes-pensées
Le Bonheur est-il de satisfaire ses désirs ? ou au contraire de connaître l’état paisible du non-désir ?
Est-il soumis au niveau de vie, au nombre de relations affectives ? aux biens matériels possédés ? A la gloire ? Sans nous apercevoir que derrière tous ces désirs non satisfaits, derrière cette course au « bonheur », derrière nos maladies et nos embûches règnent en maîtres des créations appelées « formes-pensées ». Nous les transportons partout avec nous, elles nous suivent et nous encombrent, puisent notre énergie et requièrent notre attention et pour cause, elles sont nos créatures, nos créations et n’auront de cesse que nous les reconnaissions.
Si aujourd’hui je considère ce sujet comme Essentiel il y a plusieurs raisons à cela :
-En tant que thérapeute des plans subtils nous avons mon mari Antoine achram et moi-même de nombreuses et multiples occasions de nous rendre à l’évidence, les Formes-Pensées sont à l’origine de multiples maladies et de nombreux désordres tant sur les plans physiques que sur les plans psychiques.
-Les Formes-pensées ont une action non seulement sur un plan individuel mais aussi sur un plan collectif. Nous sommes non pas coupables mais responsables de leur action…
-Elles ont une incidence extrêmement importante sur la planète Terre et nous ne pouvons plus nous contenter d’ignorer ce qui se passe en nous et par répercussion autour de nous sur Terre.
Plus nous serons nombreux à connaître, à percevoir le fonctionnement de nos Formes-pensées et plus nous serons à même de retrouver une Santé au sens plein du terme et de contribuer au Bien-Etre de l’Humanité.
Nous savons tous que la Planète et nous, les habitants de ce grand corps, sommes à l’aube d’une mutation importante alors, cessons dès maintenant d’attendre de l’extérieur ce qui ne peut venir que de nous.
Une forme-pensée dont nous comprenons le fonctionnement, la création et les agissements a beaucoup moins de pouvoir sur nous. C’est le chemin indispensable vers une Liberté nouvelle et le passage à une étape différente et combien plus sereine de notre Vie.
Beaucoup de psychologues et de thérapeutes parlent de l’incidence de nos pensées sur notre vie et cela reste tout à fait réel, cependant, une forme-pensée est différente d’une simple pensée que ce soit par sa structure ou par son incidence dans tous les secteurs de notre Vie.
Avant de continuer, je voudrais préciser que
la base de ma recherche est celle qui a toujours été la mienne depuis 1971 : La technique du voyage Astral et de la vision des plans subtils. Elle est comme pour chacune de mes expériences, celle qui m’a permis de pénétrer au cœur des Formes-pensées et de vous offrir
A travers l’ouvrage « Formes-pensées »* le résultat de cette aventure hors du commun.
NAISSANCE D’UNE FORME-PENSEE :
La Vie n’est ni juste ni injuste, elle est simplement réaliste…En ce sens, elle va et ce, parfois bien avant notre naissance, nous proposer les évènements et les rencontres demandés par notre âme pour avancer d’un pas.
Un événement en lui-même n’a pas de couleur particulière, nous pourrions dire qu’il est neutre, ni bien, ni mal, ni bon ni mauvais. Il EST !
C’est nous et personne d’autre qui allons mettre une couleur, une note, un jugement de valeur sur ce qui nous arrive. A partir de ce moment là,et selon l’intensité, la force, la durée de notre vécu, une forme-pensée va se créer contenant toutes les informations que nous allons y mettre : Le temps qu’il fait au moment de l’événement, l’heure du jour ou de la nuit, l’intonation des voix, les couleurs, les odeurs, la température, et toutes les émotions qui nous ont traversées durant cet épisode de notre vie…
Par ce processus, nous venons de créer notre première Forme-Pensée.
Présente dès cet instant, elle va sortir de nos corps subtils et en déchirant sur son passage le filet protecteur- émetteur de nos auras, elle ira se placer autour de nous, telle une bulle d’énergie, attirant à elle tout ce qui peut lui correspondre car notre créature a besoin de nourriture et ne peut la trouver que dans les émotions que nous allons générer et avec lesquelles notre Forme-pensée se trouvera en synthonie.
Ainsi,pour prendre un exemple banal, si nous avons vécu nos premiers jours de vie dans une couveuse et que nous en ayons retiré un profond sentiment d’abandon,il est fort probable que notre vie durant nous soyons amené à vivre des situations qui nous mettent face à ce que « nous traduirons » comme des abandons successifs.
En effet, c’est à travers « la traduction » que nous allons faire du premier événement perturbateur de notre vie, que nous allons attirer à nous d’autres situations analogues. Ainsi, au fil des années, nous serons aux prises avec des personnes que nous accuserons volontiers de notre inconfort voire, de notre mal être ou de nos maladies jusqu’au jour où enfin, un éclair de lucidité sans doute dû à un trop plein de difficultés nous fera percevoir que l’ « extérieur » n’y est pour rien.
Dès ce moment, la guérison devient possible car la Forme-Pensée n’est pas notre ennemie et son objectif n’est pas de nous faire souffrir mais de nous pointer le doigt sur une plaie mal cicatrisée et qui s’ouvre à chaque nouvelle impulsion.
Notre création demande à ce que nous la regardions et comme un enfant que l’on ne veut pas voir, elle devient de plus en plus insupportable jusqu’à ce que nous le regardions enfin et lui disions :
« Oui, je te vois, je ne veux ni te combattre ni te garder et je te remercie de m’aider à voir ce qui en moi a besoin de guérison . »
Une Forme-pensée à laquelle nous prêtons attention peut commencer à perdre de sa consistance et à se dévitaliser. Elle vient de terminer le rôle pour lequel nous l’avions créée et sa présence n’est plus indispensable. Elle ne pourra cependant disparaître que lorsque nous aurons guéri notre blessure par la transmutation alchimique de l’Amour et du pardon par l’intermédiaire du cœur.
Guérir de nos Formes-pensées les plus encombrantes et les plus corrosives est un acte qui nous libère d’un poids immense et qui se répercute par l’intérmédiaire des égrégorres sur tous ceux qui sont sur un niveau identique au nôtre et qui sont aux prises avec des Formes-Pensées identiques.
Cette libération touche également les grands circuits énergétiques de la planète Terre car les Formes-Pensées nocives que nous émettons sont les polluants les plus importants pour notre planète.
« La terre est malade de la pensée des hommes bien plus encore que de la pollution physique »
Ces mots prononcés il y a quelques années par un être de Lumière rencontré dans les plans les plus subtils sont restés gravés en moi pour toujours à un moment précis où hors de mon corps physique, je pouvais contempler la Terre dans son habit de Lumière taché d’ombres grises lui donnant l’aspect d’ un corps malade.
Nous sommes des êtres de Lumière venus expérimenter la matière. N’oublions pas ce pour quoi nous sommes venus et reprenons notre pouvoir sur nous-même de façon à faire éclore la plus belle race humaine.
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