La Biologie Totale
C. G. Jung disait que «La maladie est l’effort que fait la Nature pour guérir et que tout ce qui ne parvient pas à la conscience nous revient sous forme de destin ». Mais ce destin s’inscrirait-il dans des lois biologiques?
Vivre ses émotions en les gardant pour soi, sans rien exprimer ni partager, complètement isolé, est très nocif pour la santé. C’est le début du chaos. Le cancer, contrairement à ce que l’on pourrait penser, provient d’un choc psychique inattendu, choc qui prend l’être humain « à contre pied ». Et cette maladie se développera tant que le conflit biologique existera. Dès que le conflit cesse, la maladie disparaîtra.
Cette vision, c’est la compréhension de la réalité du fonctionnement du monde vivant expérimentée avec succès par Claude Sabbah, docteur en médecine depuis 1977 et chercheur passionné depuis 1968. Si nous vivions hier une médecine de guerre et aujourd’hui une médecine technique, ce sont des hommes comme lui qui préparent la médecine humaniste de demain. Son approche, qu’il a baptisé la Biologie Totale des Êtres Vivants, gagne en popularité et ce courant est irréversible.
Claude Sabbah est docteur en médecine, diplômé des facultés de médecine de Paris et de Marseille. En plus de son diplôme de médecine, il possède d’autres diplômes de spécialités, d’université et d’État car il ne cesse de poursuivre et d’approfondir ses études médicales et scientifiques. Ainsi, il a tour à tour touché à la biologie et la médecine du sport, à la médecine hyperbare et à la cancérologie. Il est de ces esprits ouverts qui sont constamment à la recherche des causes profondes des phénomènes, fervent précurseur d’une médecine qui sera fondée sur le pouvoir de guérison que chacun possède à l’intérieur de son être et sur le fait que l’amour seul guérit vraiment.
Claude Sabbah a fini par se remettre en question face aux malades qu’il côtoyait quotidiennement, face à ceux qu’aucune forme de thérapie ne pouvait guérir. À partir d’études comparatives des trois règnes vivants, (humain-animal-végétal) il en ressort que des archétypes de fonctionnement de survie peuvent être mis à jour concernant notre espèce. Les étudier, les comprendre et les assimiler permet de faire évoluer les réponses aux questions existentielles, d’apprendre à chacun à gérer son capital santé afin de proposer d’autres pistes, complémentaires à tout ce qui se fait actuellement.
Il a démontré que la nature des conflits trouve même sa souche dans le vécu et le ressenti des ascendants biologiques (parents et grands-parents principalement), et que les programmes psychologiques vécus par ces derniers deviennent les programmes biologiques des descendants selon leur numéro de fratrie. La biologie totale des êtres vivants décrite est décrite sous forme d’histoires naturelles comparant les trois règnes végétal, animal et humain, car ces fonctionnements biologiques sont, par certains de leurs aspects identiques et (par d’autres, bien sûr) différents.
Comme il l’explique, l’événement en lui seul n’est rien. Tout dépend de la manière dont il sera vécu et ressenti. Voyons cet exemple. La perte d’un emploi peut être vécue de façon différente selon la personne : dévalorisation (décalcification du squelette), rancœur (ulcères des réseaux biliaires), perte de territoire (angine de poitrine), ou vacherie (polype du gros intestin). Dans chacun des cas, le court-circuit touchera une partie différente du cerveau. Par contre, si l’employé y voit là une chance inouïe de changer de décor, rien ne se produira, car il n’y a pas de choc émotif.
Claude Sabbah est avant tout un scientifique et un chercheur. Il ne rejette pas pour autant la médecine traditionnelle. « Tant que les gens sont malades, ils ont besoin de leur bilan et de leur traitement. La puissance du traitement actuel permet de contrôler le malade. Même si elle ne guérit pas dans certains cas. Pendant ce temps, je travaille avec le patient sur le fond du problème qui est le conflit biologique, source de la maladie. »
La maladie a des causes biologiques et émotives que l’on peut maintenant identifier et sur lesquelles ont peut agir. C’est uniquement en se trompant sur la nature de ces causes que l’on en vient à douter de la possibilité d’une guérison. La première erreur est de penser que seul le médecin détient les clefs de la guérison; La deuxième est de croire que la seule porte qui nous mènera vers la guérison est celle de notre pharmacie; La troisième est de croire que parce que ce n’est pas « prouvé scientifiquement », cela n’a pas lieu d’être considéré comme potentiellement probable et discutable. Il faut cesser de soigner l’organe malade sans soigner l’origine conflictuelle de la maladie.
Pour guérir son corps, on doit guérir sa vie et cette aventure s’étend du physique au spirituel. Plus encore, pour guérir son corps, il faut être résolument décidé à gérer et régler les conflits qui l’habitent en étant convaincu que la «maladie» est la résultante d’un stress non géré et programmé dans le cerveau.
L’origine d’une nouvelle médecine
C’est d’abord le Dr Hamer qui a établi, au tournant des années 80, qu’à l’origine de tout dysfonctionnement biologique se trouve un choc émotif violent, et que la nature de la maladie dépend de la façon dont le conflit est vécu. Sa prise de conscience, Hamer l’a réalisée dans ses « tripes », alors qu’il a développé un cancer des testicules quelques mois après que son fils eut été tué d’une balle perdue. Cet événement lui a non seulement permis d’établir une relation de cause à effet entre la mort de son fils et son cancer, mais aussi d’étendre sa théorie à tous les cas de cancer qu’il a rencontrés. Invariablement, la maladie était reliée à l’apparition d’un court-circuit au cerveau consécutif à un violent choc émotif vécu dans l’isolement, un phénomène qui a toujours été confirmé par des « scanners ». En effet, les fortes émotions bouleversent les énergies et envoient un signal de danger mortel. Il se développe alors dans le cerveau ce que le médecin a appelé le Foyer de Hamer, qui met en route un « programme de survie » en ciblant un organe particulier. Cela semble étrange, mais c’est bien ainsi que Hamer voyait les choses: ce que nous appelons « maladie » est en fait un « programme de survie » et seule la résolution du conflit initial peut mettre fin à ce programme!
Le Dr Hamer s’est opposé au traitement conventionnel du cancer, ce qui lui a valu ses procès et l’interdiction d’exercer en Allemagne. Comme il a qualifié la médecine actuelle de « médecine d’écoliers », cela lui a valu les foudres de ses pairs. Seuls quelques médecins et chercheurs ont choisi d’approfondir ces recherches dont le docteur Claude Sabbah. Cependant, ces chercheurs se gardent bien d’intervenir dans les questions et les traitements médicaux et soulignent qu’ils ne font que de l’accompagnement psychologique et aident les patients à lâcher leurs conflits.
Pour en savoir plus sur la biologie totale, vous pouvez contacter Jean Lachance au 418-843-3229.
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