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L’eau qui se souvient

Depuis le décès de Jacques Benveniste (1935-2004) qui déclara en 1988 que « L’eau peut se souvenir », les adversaires de l’homéopathie n’en démordent pas et attribuent toujours l’effet thérapeutique pressenti par Hahnemann en 1780 à un simple effet placebo.

L’expérience faite par le biophysicien suisse Louis Rey et par d’autres équipes à travers le monde sont autant de nouveaux pavés dans la mare de la pensée unique défendue hélas par de nombreux scientifiques.

Aujourd’hui un scientifique qui veut publier au sujet de l’homéopathie ou des interactions vibratoires de la molécule d’eau voit le plus souvent fondre ses crédits de recherche et ses publications sont aussi refusées par les éditeurs. N’oublions pas que la science peut encore être bâillonnée par les lois du marché et par les intérêts industriels.

Même si l’eau et ses propriétés étonnantes sont encore une énigme pour la physique et la science, nous nous y intéressons de près en sonologie car l’eau est étonnamment sensible aux vibrations, à un point tel que des observations troublantes ont été faites par rapport à sa capacité d’enregistrer l’information.

Histoires d’eaux : L’eau dans la tradition
Les temples mithraïstes, chrétiens, shintoïstes, les monolithes celtes, pour ne citer qu’eux, étaient érigés sur des sources ou à leur abord immédiat. La présence de l’eau est notoire dans la tradition. Il lui était attribué des qualités thérapeutiques et énergétiques et chacun sait que les Romains sont à l’origine du développement de ce qu’on appelle aujourd’hui le thermalisme. À travers toute l’Europe, les villes se terminant par le suffixe «– les-Bains», sont bâties sauf exception, autour d’anciennes sources thermales dont la découverte date de l’époque romaine ou même celte.

L’eau et la science
C’est à Antoine Lavoisier (1743-1794) que l’on doit la démonstration de la nature gazeuse de l’eau. À partir de 1783, il affirma devant l’Académie Royale que « L’eau n’est pas une substance simple …[mais] … susceptible de décomposition et recomposition. » En 1785, il démontra au moyen d’un procédé savant devant un aréopage de chimistes sceptiques que l’eau était composée d’hydrogène et d’oxygène (c’est à lui que l’on doit les noms oxygène = qui engendre l’acide et hydrogène = qui engendre l’eau) et que ces deux gaz pouvaient se dissocier puis se combiner à nouveau. À cette époque, on nommait l’air : air vital et l’hydrogène : air inflammable.

On sait aujourd’hui que deux atomes d’hydrogène s’agglutinent autour d’un atome d’oxygène selon un certain angle et qu’ils ont une polarité opposée : l’oxygène electro-négatif attire l’hydrogène électro-positif. Ensuite, deux molécules d’eau vont s’agglutiner à leur tour selon le même principe : lorsqu’un alignement est idéal (les molécules d’eau se lient selon une forme pyramidale), une molécule d’eau « colle » son atome d’hydrogène à l’atome d’oxygène de sa voisine. C’est ce que les scientifiques appellent aujourd’hui la liaison hydrogène, qui est donc une liaison électrostatique.

Cette liaison est une liaison vibrante : la vibration propre à l’atome d’hydrogène fait que la liaison entre deux molécules d’eau est sans cesse interrompue et rétablie à une vitesse infiniment rapide : à l’échelle du milliardième de millième de seconde… proche de la fréquence de l’infrarouge. Les propriétés de ces liaisons fortes mais capricieuses restent pour la science un domaine de recherche très actuel, car elle cherche à en comprendre tous les mécanismes et propriétés. Ces interruptions et rétablissements incessants de la liaison hydrogène font de l’eau un élément très vibrant ou vibratoire et explique au passage pourquoi l’eau est liquide.

Pour comprendre l’eau, il convient de ne plus la considérer sur un plan strictement chimique (H2-O) mais sur un plan physique, au sens de la physique, en considérant la vibration des molécules et leurs interactions au moyen des liaisons hydrogène, qui sont rappelons-le, des liaisons électriques.

En fait, toutes les molécules sont régies par des lois électrostatiques d’attirance et de répulsion de leur composants atomiques. Elles ont une empreinte ou une signature électromagnétique qui leur est propre et émettent des fréquences et des sons que l’on arrive à rendre audibles. On sait aujourd’hui que les molécules émettent dans l’infrarouge. Ce rayonnement est un des paramètres permettant aux scientifiques d’identifier les molécules.

Dans le cas de l’homéopathie, ce sont ces vibrations que les molécules d’eau captent et enregistrent, puis restituent. N’oublions pas que dans le corps humain, chaque molécule de protéine est entourée de 10 000 molécules d’eau… Il est logique d’entrevoir que l’eau interviendrait dans les processus biologiques et participerait à la communication cellulaire wireless pressentie par certains chercheurs et qui pourrait expliquer les méridiens et les points d’acupuncture… Ces vibrations entrent en phase avec les vibrations des cellules vivantes et l’effet thérapeutique vient de là. Le même principe est observé avec l’interaction des ondes sonores, avec les résonances sympathiques et harmoniques, faciles à reproduire avec deux diapasons ou un diapason et une corde accordés à la même fréquence.

Louis Rey et la thermoluminescence
Le Dr Louis Rey a publié en février 2005 une étude dans laquelle il démontre que grâce à la thermoluminescence, les liaisons hydrogène présentes dans un échantillon d’eau distillée étaient très différentes que celles observées dans des échantillons identiques, comprenant des solutions ultra-dilués de chlorure de sodium et de chlorure de lithium. Or, selon l’application des lois physiques connues, elles devraient être semblables, puisqu’il n’y avait plus aucune molécule métallique dans les échantillons testés. Il a constaté que les crêtes de thermoluminescence des échantillons métalliques hyper dilués étaient encore présentes : en résumé, il n’y a plus de matière (ici des métaux), néanmoins son empreinte vibratoire demeure.

Jacques Benveniste et la biologie numérique
La reconnaissance et la réputation de ce chercheur n’ont pas suffi pour résister aux assauts déchaînés de la communauté scientifique, après qu’il ait publié ses travaux en 1988 dans la revue Nature, sur ce qu’on a appelé la mémoire de l’eau.

Quelques années plus tard, il a créé le concept de la biologie numérique. Il est arrivé à enregistrer acoustiquement la vibration de molécules. Lorsqu’il fait rejouer la vibration d’une molécule donnée à un milieu cellulaire sensible à cette molécule, les cellules réagissent comme si la molécule avait été en leur contact direct alors qu’il n’en est rien : seulement la vibration est présente. Donc un milieu sensible réagit à un transfert d’information fréquentielle : l’homéopathie agit par transfert d’une longueur d’onde et non par action moléculaire. L’homéopathie est donc musicale.

Les propriétés ondulatoires de l’eau
Les différentes dilutions de molécules de produits ou substances sont intercalées avec le processus de dynamisation sans lequel les dilutions restent totalement inopérantes. Le dynamisation consiste à remuer l’eau, la secouer, afin d’imprimer l’information de la substance diluée au sein de la molécule d’eau qui joue le rôle d’une sorte de bande magnétique. La succussion ou dynamisation consiste à actionner la touche record d’un magnétophone : un procédé magnétique s’enclenche alors au niveau des liaisons hydrogène et donne une cohérence particulière à leur façon de vibrer. C’est ce que les scientifiques appellent les clusters. On parle alors de clusterisation de l’eau ou d’eau structurée. Nous en reparlerons…

Hydrodynamique : les mouvements internes de l’eau
Déjà, bien avant les découvertes de Jacques Benvéniste ou de Louis Rey, d’autres chercheurs ont mis en évidence le fait que l’eau avait des propriétés hydrodynamiques totalement ignorées de la physique moderne. Je fais allusion ici aux travaux de deux chercheurs autrichiens : Victor Schauberger (1885-1958)  et Théodore Schwenk (1910−1986). Ces découvertes feront l’objet d’une prochaine chronique.

Eau et qualité vibratoire : les observations de Masaru Emoto
Des procédés de cristallisation au chlorure de cuivre permettent de mettre en évidence la qualité vibratoire d’une substance : c’est la cristallisation dite sensible. Le Dr Masaru Emoto a publié dans plusieurs ouvrages des clichés photographiques témoignant des observations qu’il a faites en cristallisant différents types d’eaux (eau du robinet en provenances de villes du Japon et du monde). Il a observé que l’origine géographique de l’eau, influait sur la qualité et la forme des cristaux obtenus. En résistant au fait de tirer des conclusions trop hâtives par rapport à ce type d’observation, il est intéressant de constater que d’autres recherches du Dr Emoto mettent en évidence que l’eau est sensible à différents types d’informations non moléculaires, comme des sons ou des intentions (prière).

N’oublions pas que nous sommes faits de 80 à 90% d’eau et qu’il est logique d’envisager, comme le scénario du film What the Bleep do we Know?! le suggère, que si des processus affectent l’eau, il est une probabilité élevée qu’ils nous affectent par… ricochet…

©2005  Emmanuel Comte                                            
www.medson.net 

Mieux comprendre l’importance des sons et des vibrations dans la vie et s’ouvrir à la dimension harmonique :

Prochaines activités à Québec, animées par Emmanuel Comte

Vendredi 18 novembre 2005 : Veillée de prière et d’harmonisation
Coût : 10$.
Lieu : Hôtel Universel, 2300 ch. Ste-Foy, Québec.
Réservation obligatoire

Samedi-Dimanche 19 et 20 novembre 2005 : Atelier Sons et Vibrations Thérapeutiques
Programme complet, infos, inscriptions etc. : www.medson.net

Lieu : Hôtel Universel, 2300 ch. Ste-Foy, Ste-Foy, Qc.
Horaire : 9-17h. (2 jours)
Coût : 240$/pers. (taxes incluses)
Renseignements : (450) 532-4831

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