Une vérité cachée
Les différents conflits que vous vivez à tous les jours ont des répercussions sur votre corps physique et représentent l’une des causes les plus importantes des différentes maladies et douleur chronique. Cette prise de conscience est fondamentale pour guérir et ne vous sera presque jamais expliquée par un professionnel de la santé. Malgré l’avancée technologique extraordinaire qu’à connue la médecine au cours des dernières années, elle est confrontée chaque jour à plusieurs échecs thérapeutiques. Plusieurs maladies et symptômes demeurent encore méconnus, voire inconnus, et des milliers de gens souffrent chaque jour de douleur sans que personne ne puisse les aider. Ces faits expliquent en grande parti qu’on observe une ruée massive des gens vers les médecines alternatives et une augmentation phénoménale de la consommation de produits naturels depuis les dernières années. Nous connaissons à l’heure actuelle environ 25% du fonctionnement du cerveau. Le cerveau est l’ordinateur qui contrôle tout notre corps. Pourquoi 75% du cerveau demeure encore inconnu ? Une note scolaire de 25% ne vous permet pas de réussir. Ne demandez-vous pas pourquoi il y a tant de gens qui souffrent !
Qu’est-ce qui échappe aux chercheurs et scientifiques pour que les trois quarts du cerveau demeurent un mystère ? La réponse est très simple : les répercussions des émotions sur le corps physique ne peuvent être mesurées. Peu importe les différentes croyances, la plupart des problèmes physiques et des maladies viennent de problèmes émotionnels et nutritionnels. On parle abondamment de l’importance d’une bonne nutrition dans le traitement des maladies mais on néglige toujours l’aspect émotionnel, qui est tout aussi important sinon plus. Nous vivons tous des conflits à différents degrés et cela nous affecte constamment, que nous en ayons conscience ou non. Ceci a été démontré à maintes reprises dans différentes études qui ne seront malheureusement jamais divulguées pour ne pas ébranler le système dans lequel nous fonctionnons.
La façon dont vous réagissez face à divers stress ou problèmes émotionnels, que ce soit l’angoisse, la peur, la tristesse; ces informations parviennent au cerveau par le système limbique et se répercutent sur votre corps physique. Le cerveau met en branle des réponses neurologiques et hormonales complexes qui se traduiront par des tensions fasciales à l’intérieur de votre corps. Le corps humain est composé d’un squelette, avec des muscles, tendons, ligaments, … situés sur le squelette. Ce sont ces différentes structures qui sont habituellement traitées par les différents professionnels de la santé qui s’occupent des douleurs musculo-squelettiques. Mais à l’intérieur de ce squelette, on y retrouve le système digestif, le système artériel, le système nerveux et des membranes, fascias et aponévroses qui relient toutes ces structures au squelette. Ce qu’il y a à l’intérieur du squelette est encore plus important que ce qu’il y a à l’extérieur malgré la perception contraire des gens. Si ces membranes internes deviennent tendues suite à une réaction émotionnelle négative, elles engendreront des tensions qui se répercuteront sur le squelette et provoqueront des douleurs physiques.
Vous consulterez à ce moment divers professionnels mais si l’aspect mécanique seulement est traité comme c’est souvent le cas, le soulagement ne sera que temporaire et les douleurs récidiveront continuellement. C’est pour cette raison que la demande de consultation en ostéopathie ne cesse d’augmenter puisque ces professionnels accordent une importance capitale au système interne et les résultats sont convaincants. Ces membranes tapissent également l’intérieur du crâne et lorsqu’elles sont tendues, elles engendrent toute sorte de malaises tel que l’acouphène, la labyrinthite, le vertige, l’étourdissement, le mal de tête, …Il est donc grand temps que la population soit informée que la majorité des problèmes physiques chroniques viennent de problèmes émotionnels et du stress. Il faut changer notre mentalité et arrêter de penser qu’on a mal au dos parce qu’on a mal soulevé notre sac d’épicerie. Pensez plutôt à ce qui s’est passé dans votre vie et quel conflit vous avez vécu avant l’apparition de vos symptômes.
Les scientifiques analysent les cancers et les maladies en faisant des biopsies, entre autres, et en analysant minutieusement ces cellules au microscope. Cependant, ils ont oublié un élément très important. Ces cellules isolées fonctionnent différemment de celles qui nous composent même si elles sont constituées du même bagage génétique, car elles ne sont plus influencées par les émotions. Face à un stress quelconque, les cellules vivantes du corps humain se modifient, se transforment et s’adaptent pour pallier à ce stress. Si l’on ne tient pas compte de ce facteur crucial, nous resterons dans l’ignorance encore longtemps et le 75% du cerveau inconnu restera un mystère. Cette modification, adaptation ou transformation du fonctionnement cellulaire est ce que l’on nomme maladie. Lorsque les spécialistes observent un fonctionnement anormal d’un groupe de cellules au sein d’un organe, ils vont diagnostiquer par exemple, un cancer de cet organe.
Le mot « cancer » est tellement associé à la mort qu’il ébranle davantage la personne concernée au lieu de l’aider à guérir. La peur de la maladie est pire que la maladie elle-même. La peur représente le pire ennemi de l’être humain. Elle naît de l’inconnu, de l’ignorance et invite alors l’individu à se forger toutes sortes de représentations de son symptôme. Prenons l’exemple d’un individu qui marche à tous les jours pour se rendre à son travail. Il emprunte toujours le même chemin, marche à la même vitesse avec la même longueur de pas, mais subitement, un beau jour, une voiture dérape en sa direction. Évidemment, cet individu modifiera sa démarche pour ne pas se faire heurter et se mettra à courir. C’est un instinct de survie. Allons-nous évoquer le mot cancer parce que subitement cet individu à modifié sa démarche ? Bien sûr que non. Alors pourquoi parler de cancer lorsque des cellules modifient leur fonctionnement face à un stress ou un agresseur ? Ne pourrions-nous pas simplement parler de cellules anormales ou inhabituelles ? Les changements environnementaux et l’augmentation du stress avec les changements de notre mode de vie au cours des dernières années sont en relation avec l’augmentation du taux de cancer.
Lorsque des cellules se sont modifiées, pour qu’elles puissent se multiplier, il doit se former une vascularisation autour de ces cellules anormales. Si elles ne sont pas approvisionnées, elles mourront et se nécroseront. C’est pour cette raison que plusieurs gens atteints du cancer guérissent en faisant un jeûne pendant plusieurs jours. Ils coupent ainsi l’approvisionnement aux cellules anormales, qui se nécrosent et le cancer disparaît. Immédiatement après le jeûne, ces gens mangent des aliments avec des propriétés anti-cancérigènes reconnues pendant plusieurs jours et changent leur habitude alimentaire. Il est surprenant de constater que la néo-vascularisation qui se forme autour de ces cellules anormales n’est pas cancérigène lors des études histologiques. Cela signifie que la prolifération des cellules anormales ne constitue pas une multiplication cellulaire anarchique. Cette prolifération serait-elle déterminée par un programme au niveau du cerveau? Et si c’était le cas, se pourrait-il que l’on puisse le déprogrammer ? Cette hypothèse explique les nombreux exemples de gens atteints du cancer qui ont surmonté leur maladie tout simplement en prenant conscience du problème émotionnel et du conflit qui a amené une modification cellulaire. C’est comme un virus dans un ordinateur. Si vous l’identifiez et que vous vous en débarrasser, votre ordinateur se mettra à fonctionner normalement. Donc, il faut que vous fassiez prendre conscience à votre cerveau quel a été le conflit déclencheur, quels émotions vous avez ressenti et que vous compreniez pourquoi votre corps à développer ces symptômes.
La maladie survient pour vous faire prendre conscience que quelque chose ne va pas et vous demande un temps de réflexion. Au lieu d’aborder la maladie sous un aspect négatif, visualisez-la sous la forme de « mal-a-dit » pour comprendre que la maladie vous dit quelque chose. À partir du moment où vous identifiez correctement le conflit déclencheur de vos symptômes et que votre cerveau en prend conscience, ce phénomène de prolifération s’arrêtera et les cellules se mettront à fonctionner normalement de nouveau au même titre que vous arrêterez de courir lorsque vous aurez évité la voiture. C’est ce que l’on appelle de la déprogrammation cellulaire connue sous le nom de la biologie totale. Cette approche va à la source du problème en décodant ce qui s’est passé au niveau émotionnel pour que votre corps vous ait envoyé un message, une douleur ou une maladie. Tout le monde devrait connaître ce qu’est la biologie totale. Si votre état de santé va bien ou si vous êtes confortables avec vos symptômes, tant mieux. Mais pour tous ceux qui sont tannés de consommer des médicaments en quantité industriel pour pouvoir fonctionner, pour ceux qui souffrent de douleur ou de maladie chronique sans que personne ne parvienne à les aider et pour les professionnels qui veulent en faire un peu plus pour aider leurs patients, vous avez tout intérêt à consulter le site internet www.biologie-totale.org ou www.btev.ca .
Mon but est tout simplement de transmettre ces informations à ceux et celles qui veulent bien les entendre pour aider les gens à guérir. C’est mon devoir humanitaire au même titre que de porter secours à un individu qui s’est fait heurté par un automobiliste. Il y a de grands médecins spécialistes dont le Dr. Hamer, le Dr. Claude Sabbah, le Dr. Wright, … qui ont étudié ce phénomène et consacré leur vie à analyser les maladies et la façon de les soigner. Il existe des études qui appuient ces faits et des milliers d’exemple de gens qui ont vaincu leur maladie avec la biologie totale alors que personne n’était capable de les aider. Vous comprendrez plus loin pourquoi cette approche est si peu connue. Vous êtes également conscients que la majorité des études et des recherches dans le domaine médical sont financées par des compagnies pharmaceutiques et que celles-ci ne financeront jamais le genre d’étude proposée en biologie totale. La prescription de médicaments est nécessaire pour le maintien de l’économie médicale et pharmaceutique, mais y aurait-il d’autres possibilités de guérir sans nécessairement toujours avoir recours à la médication ? La réponse est oui.
Dans le temps de Copernic et de Galilée, même si ces individus prouvaient que la terre était ronde, les gens préféraient croire qu’elle était plate. À l’époque, les autorités tuaient, condamnaient et ridiculisaient quiconque qui s’objectait à cette croyance. On oppose toujours une résistance face à quelque chose qui bouleverse nos croyances, c’est normal. Lorsqu’on veut évoluer, il faut parfois se remettre en question et il faut beaucoup d’humilité pour accepter que l’on doive parfois apporter des changements dans notre mode de vie. Certaines personnes refusent d’évoluer car accepter de changer nécessite beaucoup d’efforts, de volonté et perturbe parfois notre environnement dans lequel nous étions si confortables. Depuis, des centaines d’années ont passé mais le comportement humain demeure sensiblement le même et aujourd’hui, on ridiculise et on poursuit quiconque qui remet en question le fonctionnement du système médical ou qui dévoile ses lacunes. Certains vont même jusqu’à déformer des propos pour faire du tort à l’autre. Il faut être très prudent lorsqu’on s’exprime publiquement car la poursuite judiciaire de nos jours est devenue une habitude courante. Pourtant la seule chose que demandent ces grands hommes de savoir est le respect de leur découverte et de faire avancer la science pour aider davantage de gens qui souffrent. N’existe t-il pas un acte plus humain et honorable que de guérir quelqu’un qui était condamné à mourir par la maladie? Mais ces hommes sont peut-être avant-gardiste sur leur temps comme l’était Copernic et Galilée à l’époque. Un jour, nous leur rendrons certainement hommage. De plus, les gens ne sont pas prêts à entendre ce genre de discours et le système médical n’a pas les ressources nécessaires en place pour appuyer cette démarche. C’est pour cette raison qu’il est très important de poursuivre tout traitement médical parallèlement à une démarche en biologie totale car comme les gens ne sont pas familiers avec la déprogrammation de la maladie, la médecine évite que la maladie prenne de l’ampleur en la contrôlant avec une médication. Cela est capital car une maladie non contrôlée fait parfois des dégâts catastrophiques.
Lorsqu’un stress survient, il se produit des modifications sur le corps au niveau du système interne, tel qu’expliqué précédemment. Lorsque ce stress est minime et moins important, il demeure au niveau psychologique et engendre habituellement des malaises physiques. Un stress trop important ou sur une période de temps trop prolongée gruge beaucoup d’énergie et nous épuise. Si le conflit dépasse la gestion psychologique, cela tombera dans la biologie et la personne deviendra malade. Le corps va réagir par instinct de survie pour conserver son équilibre et par économie d’énergie, le corps va modifier le fonctionnement cellulaire pour que l’on ne vive plus ce conflit. Par exemple, une mère de famille vit un conflit important avec son conjoint. Ce dernier a un comportement tout à fait inacceptable et se flagelle devant ses enfants; une situation qu’elle n’est plus capable de voir. Cependant, elle est dépendante de sa relation pour des raisons financières. Son cerveau inconscient va pallier à la situation pour ne plus qu’elle ne voit plus ces images troublantes et progressivement, elle perd la vision. Les médecins ont tout tenté pour l’aider mais ce fut un échec. Tomber dans la biologie est plus économique en termes d’énergie pour le corps humain que de lutter constamment au niveau psychologique contre un stress ou un conflit. Donc, le problème passera de la psychologie à la biologie, c’est-à-dire à une transformation des cellules d’une partie du corps. Cette transformation des cellules sera interprétée comme une maladie.
Plusieurs livres expliquent les répercussions des émotions sur le corps physique mais aucun n’explique la façon de surmonter notre problème une fois qu’on en est atteint. Comment déprogrammer cette mémoire cellulaire? La pensée positive ne suffit pas. Si l’on veut déprogrammer la mémoire cellulaire de cette maladie au niveau du cerveau pour que les cellules recommencent à fonctionner normalement, il faut tout d’abord être en mesure d’identifier la première fois que l’on a eu des symptômes. À partir de ce premier épisode, il faut remonter à ce qui s’est passé avant cette date et identifier clairement le conflit précis que l’on a vécu avec une représentation exacte du conflit. Prenons l’exemple de quelqu’un qui commence à faire de l’eczéma à 16 ans. Même si cette personne est âgée aujourd’hui de 40ans, elle doit remonter à ce qui s’est passé dans sa vie avant l’âge de 16 ans. L’eczéma est souvent relié à un conflit de séparation, ce qui inclut tout genre de séparation et ne se limite pas qu’à l’aspect amoureux. C’est la partie la plus difficile à réaliser car tant que nous n’identifions pas la source exacte, la déprogrammation au niveau du cerveau ne se fera pas.
Pour vous aider dans cette étape difficile, il existe plusieurs livres de références qui font le lien entre les différents conflits et les sources émotionnelles potentielles reliées aux maladies et problèmes physiques. Vous pouvez consulter le livre « Le grand dictionnaire des malaises et des maladies » écrit par Jacques Martel. Ce livre sera d’une grande utilité ou vous pouvez consulter un thérapeute en biologie totale par l’entremise du site internet. Si vous cherchez et trouvez les bonnes réponses, vos symptômes disparaîtront. Les gens croient à tort que ce sont uniquement les conflits majeurs qui créent les maladies. Sachez que chaque petit conflit, aussi minime qu’il soit, vous affecte.
Voici un exemple banal parmi des milliers : un homme et une femme vivent heureux depuis quelques années dans un petit appartement contenant seulement 2 pièces. Un jour, la mère de l’homme devient veuve et pour éviter qu’elle soit seule, l’homme l’invite à venir vivre avec eux dans ce petit appartement. Sans aucune mauvaise intention et simplement dans le but d’aider, cette femme veuve décide de faire la vaisselle, le ménage, … et soudainement, la femme du couple se met à faire des infections urinaires à répétition. Elle consulte un médecin qui lui prescrit des antibiotiques sans succès. Vous ne faites certainement pas le lien ? C’est pour cette raison qu’il faut parfois avoir recours aux livres de biologie totale ou à des personnes ressources. Les infections urinaires sont souvent dues à un conflit de marquage de territoire, qui peut être interprété de différentes façons : avoir de la difficulté à marquer son territoire (à se faire respecter, à faire valoir son opinion et ses idées), à partager le même territoire comme c’était le cas dans l’exemple ci-dessus, à se faire prendre du territoire (perdre des amis communs après une séparation, un collègue de travail qui s’accapare nos tâches, un voisin qui empiète sur notre terrain), … Rappelez-vous que ce n’est pas le conflit qui crée la maladie mais bien la réaction émotionnelle consciente ou inconsciente que l’on éprouve face à ce conflit.
Les problèmes émotionnels représentent donc l’une des principales causes de douleur physique et de maladies. Mais notre société tourne le dos à ces explications car accepter ces faits bouleverserait notre mode de fonctionnement autant au niveau économique, sociale que politique. Il faudra bien un jour que la médecine accepte qu’elle n’a pas réponse à tout et qu’elle ouvre ses horizons sur des approches et des concepts nouveaux pour lui permettre de continuer à évoluer. Tout l’aspect médical idéalise un modèle mécanique pouvant expliquer les symptômes d’un patient. Toutes les recherches et l’éducation professionnelle se font dans ce sens. C’est-à-dire qu’il faut identifier une structure mécanique en cause pouvant expliquer les symptômes du patient. Ensuite, on utilisera une médication adéquate pour traiter les symptômes du patient. Si l’on n’y parvient pas, la médecine utilisera tous les examens les plus approfondis (résonance magnétique, scanner, arthroscopie, …) afin de pouvoir trouver une structure à traiter. Si malgré tous ces efforts et cette bonne volonté, les symptômes du patient ne peuvent être identifiés par une cause précise, alors les causes de virus, arthrose, tendinite, dégénérescence, embonpoint, vieillesse, inactivité … trouveront un bon nombre de preneurs.
Cette façon de procéder est importante car tous les organismes payeurs tel que la CSST, la SAAQ et les compagnies d’indemnisation couvrent leurs personnes indemnisées à condition d’avoir un diagnostic clair et précis expliquant la cause des symptômes. Prenons l’exemple d’un travailleur qui se blesse au travail à qui l’on diagnostique une hernie discale. Ce modèle d’identification d’une structure mécanique est tellement important que le diagnostic est parfois contesté au niveau juridique par l’employeur si un diagnostic différent est relevé en cours de route par un autre médecin. Plusieurs professionnels demandent des investigations par différents examens médicaux pour certains problèmes de santé uniquement pour se protéger et éviter tout risque de poursuite en cas de détérioration de la condition. Aujourd’hui, les poursuites juridiques sont si fréquentes et toutes les raisons sont bonnes pour mettre le blâme sur quelqu’un d’autre. Les gens se considèrent victimes. Ainsi, cela leur évite de réfléchir sur eux-mêmes et d’assurer la responsabilité de leur comportement. Les gens oublient parfois qu’ils sont les seuls responsables de ce qui leur arrive et que les professionnels de la santé se font un devoir de les aider par amour et que l’erreur est humaine. Je ne connais aucun professionnel de la santé qui traite mal son patient par mauvaise volonté. Les traitements n’ont pas toujours le résultat escompté car identifier la cause exacte d’un problème est parfois très complexe, voir impossible. Il y a tellement d’éléments qui interfèrent sur le corps humain et qui peuvent conduite à l’accumulation de tension dans le corps. Ce n’est pas comme changer un alternateur sur une voiture.
Vous comprendrez donc que le système médical est très complexe et étroitement lié à un système économique très important et que ce modèle de fonctionnement est nécessaire pour que notre société puisse fonctionner normalement. Les enjeux d’un gouvernement sont beaucoup plus grands que la préoccupation d’un professionnel pour son client. Il met en place de grand système pour accommoder des millions de personnes. Peu de gens réalisent que nous sommes quand même privilégiés d’avoir accès à un système de santé comme le nôtre. Il est accessible pour tout le monde, gratuit, possède les meilleurs spécialistes au monde et vous êtes traités rapidement s’il y a urgence médicale. Là où les gens se plaignent, c’est l’attente déraisonnable lors d’un problème moins urgent ou chronique. Vous avez entièrement raison sur ce point et c’est donc à ce niveau qu’il faut apporter des modifications, en commençant par une prise de conscience personnelle et une meilleure gestion de nos habitudes de vie.
Par contre, ce modèle de fonctionnement crée une société de consommation qui ne s’en remet qu’au système médical et espère un jour que les chercheurs trouvent un remède miracle contre les maladies. Les gens ne se responsabilisent pas et ne font pas d’introspection sur eux-mêmes car ils n’ont jamais été éduqués et conscientisés à cette façon d’aborder un problème. Ils préfèrent consommer des médicaments, des produits naturels et tous les produits dits miracles dans l’espoir de guérir. J’éprouve un profond désespoir face à cette triste réalité mais est-ce vraiment la faute des individus ? La réponse est NON. Les gens sont tout simplement mal-informés ou désinformés. Il est grand temps qu’on le réalise. Les gens ont intérêt à trouver le sens de chaque événement pour ne pas en devenir victime.
Les informations que je vous ai transmises ne représentent pas une vérité absolue, il représente MA VÉRITÉ et celle de plusieurs professionnels hautement qualifiés. Certains propos ou certaines phrases sorties de leur contexte peuvent être matière à de mauvaises interprétations. Le corps humain est tellement complexe qu’il existe aucun élément de certitude. C’est pour cette raison qu’il y a tant de croyances et de thérapies différentes. Il y a beaucoup de zones grises et d’éléments à considérer. Vous comprendrez que certaines maladies proviennent également d’une mauvaise alimentation, de facteurs environnementaux, de substances chimiques, de la génétique, et d’une combinaison de tous ces facteurs. Il n’est donc pas toujours évident d’identifier avec exactitude la cause d’une douleur ou d’une maladie. Quoi qu’il en soit, la prise en charge et la prise de conscience d’un individu face à son problème demeurera la solution la plus efficace pour améliorer sa santé et obtenir un résultat durable. Il n’en revient qu’à vous de vous prendre en main pour guérir de vos malaises.
Toutes les informations que vous avez besoin de savoir font parti du livre Best-seller « Vaincre la douleur et la maladie » publié par Québécor. Tout patient est un soignant qui s’ignore. C’est pour cette raison que vous pouvez tous vous aider, plus que n’importe quel professionnel car vous seul connaissez le conflit que vous avez vécu et ce que vous avez ressenti. Il ne vous reste qu’à en prendre conscience. Ce ne sont pas de nouveaux remèdes que les gens ont besoin mais de nouvelles aptitudes pour élever leur conscience.
Bonne réflexion.
Sébastien Plante, physiothérapeute et ostéopathe
www.sebastienplante.ca