Enseignement de l’homéopathie à l’université
Une conférence de presse s’était préalablement tenue dans les locaux de l’école et la nouvelle avait notamment fait la première page du journal « La Presse ».
Les caractéristiques du projet présenté au gouvernement étaient les suivantes :
1. Quatre disciplines étaient regroupées (homéopathie, naturopathie, massothérapie et médecine psycho-énergétique) dans l’optique d’un apprentissage visant la « santé intégrée ».
2. L’enseignement des ces disciplines visait les plus hauts standards et était conforme aux normes internationales reconnues.
3. Le programme était également conforme aux exigences des grandes universités de médecines alternatives reconnues en Europe et en Amérique.
4. L’enseignement des quatre disciplines reposait sur un important tronc commun en sciences de la santé. Ce programme était conforme aux normes internationales et reconnu par les grandes institutions nord-américaines.
5. L’étudiant, après avoir suivi le programme du tronc commun de sciences médicales et l’enseignement du programme de « santé intégrée », pouvait se spécialiser dans l’une des 4 grandes disciplines offertes par l’institution.
6. Ce programme conduisait, en fin d’étude, à une formation clinique où chaque étudiant devait acquérir plus de 1000 heures de formation pratique.
7. Ce programme était également conforme aux exigences d’un doctorat, basé sur des standards internationaux reconnus et avait pour objectif de satisfaire à une éventuelle reconnaissance gouvernementale.
Schématiquement, voici à quoi ressemblait le projet présenté au ministère de l’éducation du Québec.
Tronc commun de sciences de la santé
Programme de santé intégrée
Choix d’une spécialité :
(Homéo/Naturo/Masso/Méd. Psycho-énergétique)
Formation pratique dans une clinique école de santé intégrée
J’avais la conviction que ce programme, répondant aux standards universitaires, reconnu par les grandes associations internationales et enseigné dans des collèges et universités reconnus de par le monde, avait de nombreux avantages pour les étudiants, pour la population et pour le gouvernement.
Aujourd’hui, nous sommes plusieurs (directeurs d’écoles, associations, établissements universitaires) à croire et à travailler pour faire advenir ce type de programme. Une convergence est présentement à s’opérer.
Généralement, là dans le monde où un programme de doctorat en médecine alternative est enseigné, les thérapeutes sont respectés, la pratique reconnue et les patients sont donc nombreux et, osons le croire, … très bien soignés.
ATTENTION : Congrès d’homéopathie à l’université du Québec à Montréal le 23 août.
Pour plus d’informations : www.chquebec.com
Jean Lacombe
Pour en savoir plus sur l’auteur, nous vous invitons à visiter sa fiche sur Alchymed.