Vous êtes ici: Accueil » ARTICLES » MES PREMIERS CONTACTS AVEC LA LUMIÈRE

MES PREMIERS CONTACTS AVEC LA LUMIÈRE

Comment tout ceci a-t-il commencé pour toi? Voilà textuellement la question qui se fait entendre, autant à travers mes consultations privées, mes formations en médiumnité qu’à travers les téléphones que je reçois.

Elle se pointe, tantôt par curiosité, tantôt par urgence, mais toujours elle se fait présente.

Le sentiment d’être orphelin et orpheline du Ciel est souvent ressenti parmi ceux et celles qui cheminent vers l’éveil spirituel. Ce sentiment se fait de plus en plus présent lorsque l’éveil conduit à la médiumnité. Le besoin de retrouver sa famille spirituelle, de s’y indentifier, d’y reconnaître ses frères et soeurs et d’y être reconnu fait partie intégrante de la recherche d’équilibre que chaque être tend à réaliser en lui et autour de lui. Cette reconnaissance devient une réalité accomplie lorsque l’être, se sentant envahi par l’éveil de la médiumnité, se laisse guider par cet éveil vers l’extérieur, vers les autres. Alors un grand vent de guérison se lève et la solitude qui brisait le coeur s’épanouit au sein de l’âme.

Lorsque cette question est soulevée, c’est toute cette recherche de reconnaissance qui se manifeste et toute cette quête qui prend place. La candeur et l’attente qui se dégagent d’une telle question m’étonnent à chaque fois que celle-ci m’est adressée. Malgré toute ma bonne volonté, il m’est impossible de répondre à une telle attente en racontant ma vie en quelques secondes.

Je réponds donc que c’est l’histoire de toute une vie. Toutefois, je me permets de partager que ce n’est en fait que depuis trois ans que tout a réellement commencé. La conscientisation de ma médiumnité est très récente malgré le fait que j’ai toujours vécu avec ma médiumnité. Dans mon enfance, elle s’était faite bien présente. Cependant, depuis trois ans, la reconnaissance de ma médiumnité fait ressurgir des fragments de souvenirs.

Stupéfaite, je regarde se dérouler sous mes yeux une partie de ma vie dont la souvenance m’était complètement étrangère. J’éprouve l’agréable sensation d’être révélée à moi-même. Par ce fait, ma médiumnité parvient à me montrer à quel point elle a toujours fait partie et fait toujours partie intégrante de ma réalité.

Le souvenir le plus lointain que me révèle ma mémoire se retrouve dans ma tendre enfance. C’était à l’époque où la magie et la réalité se chevauchaient étroitement afin de permettre à l’âme d’apprivoiser son incarnation.

Nous marchions, ma mère, ma soeur et moi, vers notre maison. Un retour dans ce qu’il y a de plus ordinaire et quotidien. « Un ange! Je vois un ange là-bas dans le ciel », s’écria ma conscience. Avec appréhension, je cherchais à cacher mon regard de ce ciel devenu tout à coup si étrange. Les mains sur le visage, je risquais un regard. « Toujours là! Il est toujours là. Mon Dieu! Qu’est-ce qui m’arrive de voir des choses comme ça tout à coup. Va-t-en! Va-t-en! Je ne veux pas te voir. Vite! Marchons plus vite! Rentrons vite à la maison pour que ce ciel s’éloigne de moi! »

Je n’en finissais plus de marcher et je n’arrivais pas à m’éloigner de l’ange. « Qu’est-ce qu’il me veut? S’il faut que le ciel se mettre à me tomber dessus maintenant, je n’aurais jamais de répit. J’en arrache déjà bien assez avec la Terre! S’il vous plaît, qu’on me laisse tranquille! » Au bout d’un moment, la maison apparut et l’ange disparut. Avant d’aller me réfugier dans ma solitude, j’ai demandé à ma soeur, dans une attitude que je voulais le plus décontractée et désinvolte possible : « As-tu remarqué quelque chose de spécial dans le ciel? » Elle me répondit : « Non, rien, pourquoi? ». Je lui ai répondu : « Pour rien ».

Je fut soulagée et déçue à la fois de sa réponse. J’aurais aimé une réponse plus proche de ma réalité pour faciliter le partage. Cependant, un sentiment d’allégresse s’élevait et envahit tout mon être. J’éprouvais la joie profonde d’être privilégiée. Néanmoins, je ne me sentais pas tout à fait certaine de mériter une telle grâce. Comme une voleuse, je gardais et protégeais ma vision dans le silence.

« Je te demande pardon, petite soeur, de ne pas avoir partagé ma joie avec toi. Je sais que je t’ai blessée. Toi qui ne demandais qu’à être mon amie. Souvent, je t’ai approchée avec l’envie de le partager. Toutefois, j’avais peur de perdre ce privilège en le partageant. »

Ainsi, l’âme graciée mais le coeur encore plus solitaire qu’auparavant, je suis entrée dans le monde de l’invisible. Étant enfant, n’ayant pas la notion du temps, je ne sais donc pas s’il s’est écoulé beaucoup de temps avant qu’une expérience similaire vienne colorer à nouveau mon enfance. Cependant, lorsque celle-ci se produisit, j’avais totalement oublié la manifestation précédente.

Du haut de mes quatre ans, je regardais le ciel bleu de l’été. J’y voyais des visages humains se modeler et s’y détacher. Contrairement à l’impression que me donnait l’ange d’être a cent mille lieux de moi, ces visages manifestaient leur présence d’une manière plus raprochée. La peur ne fut pas au rendez-vous. Par contre, la surprise et l’étonnement conservèrent leur place d’honneur. Leurs visages souriants et acceuillants étaient ceux de gens ordinaires. Mais l’avènement extraordinaire était qu’ils se trouvaient dans le ciel. La joie et l’amusement d’avoir la possibilité de voir des « monsieur » et des « madame » dans le ciel prit place très rapidement dans mon esprit d’enfant.

« Comment vais-je faire pour vous parler? Vous êtes bien trop haut! »

« Tu n’as qu’à nous parler dans ton coeur, comme tu le fais maintenant; nous te répondrons de la même manière. »

Comme par magie, le premier contact venait d’être établi. La joie intense que me procura ce contact me fit faire un volte-face. Je voulus en partager l’expérience avec mon père qui se trouvait à proximité. Avant même que j’aie eu le temps d’en ébaucher le mouvement extérieur et de m’écrier : « Papa, papa, regarde! » Je les ai entendus me dire : « Petit coeur, nous sommes ici pour toi, pour alléger ta vie. Nous te suggérons de ne pas en parler. Il ne te comprendrait pas, et ceci te compliquerait encore davantage l’existence, tel n’est point notre désir. Viendra un moment pour le partager. Pour l’instant, garde ce secret bien au chaud dans ton coeur. Il apaisera la douleur de celui qui te déchire tant l’âme. Nous serons avec toi à chaque fois que ton coeur en fera l’appel. » Je fus ébranlée par leurs paroles, mais la chaleur et la paix qui m’habitaient à leur contact me donnaient l’instinct que ce qu’ils me demandaient était juste et bien. Ma nature, déjà secrète, resta fidèle à elle-même et je me laissais nourrir de l’intérieur par cette joie magique.

Je n’avais pas à l’esprit de regarder le ciel et de les appeler à chaque fois que je sortais dehors. Il s’écoulait toujours beaucoup de temps entre chaque rencontre. Je ne savais jamais comment je parviendrais à penser à eux ni à les faire apparaître, mais lorsque cela se produisait, je me disais toujours, avec beaucoup d’impuissance : « Mais pourquoi je ne le fais pas plus souvent? » Je savais bien que ce n’était pas de ma part un manque de désir de le faire, mais plutôt parce que je n’y pensais pas. Cette prise de conscience devint une source d’angoisse, mais également une puissante source d’éveil.

Le moment présent envahit totalement l’esprit d’un enfant et, comme par magie, l’âme est guidée d’une façon subtile à vivre sa réalité. Pour arriver à raisonner du pourquoi au comment, je devais faire des efforts surhumains pour me libérer de cette prison de l’insouciance dans laquelle me plongeait le moment présent. Ainsi seulement, je pouvais parvenir à vivre la magie de ma réalité aussi souvent que je le désirerais. Je ne voulais pas faire mienne cette impuissance de me savoir capable de voir mes amis du ciel et de n’avoir aucun pouvoir pour penser à le faire.

J’appris graduellement à utiliser les pouvoirs magiques de la conscience et je fus en mesure d’être plus souvent en contact avec ma famille céleste. De plus en plus, je devins une habile magicienne et, si j’y perdais à chaque fois de mon insouciance, j’y gagnais par contre en puissance. Car, sans en avoir la connaissance, mon âme percevait la réalité de chacun de mes « gestes de pouvoir ». Une flambée d’Amour inconditionnel embrasait mon être et, l’espace d’un instant, je devenais éternelle. Mes premiers contacts avec l’au-delà me conduisirent à l’éveil de mon pouvoir personnel. Le ciel qui s’était ouvert de l’extérieur s’ouvrait maintenant aussi de l’intérieur.

Le soir, la fenêtre de ma chambre se transformait alors en un immense théâtre. « Pourquoi fait-il si clair dehors? C’était la nuit, il y a un instant ». Un splendide paysage s’étalait devant mes yeux bien fermés. Les collines verdoyaient, le lac scintillait de lumière, c’était magnifiquement vivant. J’ouvris les yeux pour constater la nuit s’étalait encore de tout son long à travers ma fenêtre. En retournant aux prairies et aux vallées du Paradis terrestre, je me retrouvais en plein jour au beau milieu de la nuit. Mon esprit s’était habitué à vivre les étrangetés de la magie, et ceci en était simplement une autre manifestation. Et je m’y abandonnais totalement. Lorsque le sommeil se glissait sans bruit, c’est un coeur émerveillé et paisible qu’il enveloppait.

La magie qui allégeait une partie de mon enfance, s’effaçait graduellement par la présence des exigences qu’entraînaient avec lui l’âge de raison et la souffrance toujours aussi lancinante dans ma vie. Mes amis invisibles et mes paysages célestes s’estompèrent de ma réalité et de ma mémoire, me laissant au fond du coeur un sentiment d’abandon.

Vouloir dépeindre mes premiers contacts avec la Lumière m’apparaît très complexe puisque l’état caractérisé par la médiumnité s’est fait subtilement présent tout au long de mon enfance. Cependant, il me semble que le désir d’envol de mon âme vers Dieu fut l’énergie qui éveilla principalement ma conscience à la présence de la médiumnité.

Ainsi, ma mémoire me rappelle qu’un jour, ayant pris place dans l’autobus scolaire qui me conduisait à l’école, je fus une fois de plus envahie par un sentiment démesuré de tendresse et de tolérance envers tous les camarades qui y prenaient également place. Devenu immense comme l’autobus, mon coeur éclatait de cet amour sans condition. Mon âme en rend instinctivement gloire à Dieu. Cette flambée d’Amour inconditionnel, qui jaillissait spontanément, consumait, pour un moment, cette souffrance qui m’habitait constamment.

Le pouvoir incendiaire de l’Amour avait permis qu’une subtile légèreté et un discret bien-être s’élèvent de moi. Les heures qui suivaient cette flambée étaient teintées par les efforts que mon pouvoir personnel déployait. Par ces efforts, l’état de contentement que m’avait valu l’amour de mon prochain maintenait l’ouverture dans ma conscience et dans mon coeur.

Plusieurs relations importantes firent leur place dans mon coeur, mais aucune d’entre elles n’eut la chance d’être complète et vraiment satisfaisante. Tantôt elles se présentaient sous la forme d’un grand Amour platonique où l’attirance spirituelle exaltait nos âmes sans pour autant avoir la virtualité de s’incarner dans la matière, et cela pour bien des motifs en dehors de notre contrôle. Tantôt elles se présentaient sous la forme d’un grand Amour passionnel où l’attirance sexuelle exultait nos corps, sans pour autant avoir la puissance de s’élever jusqu’à l’âme, et cela également, pour bien des raisons en dehors de notre contrôle.

L’adolescence, ayant pris place avec tout son pouvoir de métamorphose. J’étais persuadée que les tireuses de cartes et les voyantes de toutes sortes  possédaient une faculté mystérieuse et secrète leur octroyant l’accès à un savoir me concernant et qui m’échappait totalement. Malheureusement aucune d’entre elles ne chercha à me dissuader de la conception que j’avais de l’étendue de leur pouvoir.

C’est ainsi que, d’oracles en oracles, je questionnais pour que me soit révélée la certitude qu’un jour je rencontrerais l’homme de ma vie. J’éprouvais un besoin vital d’être soutenue par la prédiction qui me révélerait la certitude qu’un jour je parviendrais à cette réalisation de l’amour humain vers l’Amour Divin. Toutefois, l’illusion que j’alimentais de la puissance de leur pouvoir me faisait voguer aux quatre vents, sans racine, au gré des paroles de chacune des voyantes consultées. La honte que je ressentais à constater une telle absence de mon pouvoir personnel blessait régulièrement mon coeur sans pour autant que je puisse y changer quoi que ce soit.

Aujourd’hui, je sais que toutes les chimères rencontrées étaient inscrites dans mon plan de vie afin de diriger mon regard vers mon pouvoir intérieur. Toutes les personnes et situations rencontrées furent au service de la Grande Lumière pour m’aider à développer ce dont j’avais tant besoin pour mon autonomie à tous les niveaux de mon être. Car, si j’étais si peu consciente du pouvoir personnel que je détenais et qui sommeillait en moi, il y avait d’autres personnes qui étaient pleinement conscientes du leur.

C’est ainsi que fut placée sur mon chemin une personne qui aimait, tantôt inconsciemment, tantôt consciemment, se prévaloir du pouvoir que confère la connaissance. Avec charisme et autorité, elle enseignait aux âmes en recherche qui s’étaient regroupées autour d’elle, que tout autre chemin que celui qu’elle nous indiquait était un chemin de perdition et que protéger et sauver les âmes de cette perdition était sa mission terrestre. Comme rien ne me faisait plus peur que l’enfer, c’est donc avec ferveur que mon cheminement spirituel fut plus motivé par la peur du mal que par l’amour du bien.

Mon plan de vie m’avait conduite vers un univers hermétique où l’abus de pouvoir florissait. Que cet univers revête un caractère occulte et païen fut un choix d’âme, une affinité particulière à ma personnalité. Il aurait tout aussi bien pu revêtir l’habit religieux du sacerdoce et qu’à la suite de mon aspiration envers Dieu, du début de mon adolescence, je me sois faite religieuse. Le voile de l’illusion étant présent dans un cas comme dans l’autre, l’apprentissage de l’éveil de mon pouvoir personnel aurait été le même.

J’estime avoir eu jusqu’à présent un parcours marqué du sceau de la dualité, un cheminement qui se révéla vulnérable à la séparation que j’inscrivis moi-même dans mon âme, tout au long de mes incarnations antérieures, par le jeu et l’abus que je fis du pouvoir. De religieuse à prêtresse, je n’ai vécu que l’expression d’une réalité excluant et réfutant totalement la véracité de l’existence de l’autre.

Depuis que ma médiumnité, par sa maturation, m’a conduite à la canalisation, il me semble que ma vie prend une tout autre direction que celle suivie depuis toujours. J’ai longtemps tout ignoré du bien-être intérieur. C’est un achèvement qu’il m’aurait fallu volontairement poursuivre pour l’éprouver, alors qu’en fait, je ne savais que rechercher une sensation de désordre, de malaise et de confusion. Pendant longtemps, j’ai fourni un effort énorme pour me rendre misérable et jamais je ne m’étais rendu compte que ce même effort pouvait me servir à être forte et complète. L’Énergie puissante et inconditionnelle de Lumière de l’Être, vécue dans mon canal depuis un an, infusa en moi ce désir d’achèvement.

Depuis un an, je me laisse apprivoiser par l’Amour de Lumière de l’Être et j’en garde les poussières de Lumière dans mon coeur après chaque canalisation. Leur pouvoir de vibration a permis l’émergence en moi d’une grande Énergie qui unifie tout sur son passage. Tout mon trajet, tous  les apprentissages qu’a vécus, vit et vivra mon âme se retrouvent dans l’Amour pour la plus grande gloire de mon Dieu intérieur. Il n’y a plus de religieuse ni de prêtresse. Elles se sont toutes deux fusionnées dans le feu alchimique de l’éveil Christique de mon être.

Mais, je n’irai pas jusqu’à prétendre que le fusionnement que m’amène le contact avec la Lumière transforme ma réalité en Lumière continue, transportant ma nature humaine dans les dimensions célestes où, côtoyant Anges et Archanges, je deviens Amour inconditionnel sans pudeur et sans retenue. Je suis loin d’être dans cet Amour inépuisable à journée longue. Mon âme, ma vie, tout mon être y aspire, mais la réalité est tout autre. Ma réalité financière, familiale ou encore émotionnelle m’est parfois bien souvent lourde et insatisfaisante, et m’éloigne de l’Unicité tant recherchée.

Bien souvent, la danse qui s’installe entre mon ombre et ma Lumière peut, par un faux pas, me faire sortir de piste, me laissant blessée et parfois blessante. Tantôt, elle me soulève et me fait faire un tour de piste au bras d’une belle âme et, à ce moment-là, la vie est belle. Je ressens la légèreté et la beauté s’installer dans mon existence selon l’intensité du Feu Christique à me consumer dans ma capacité d’aimer. Plus je me sens reliée à cette Puissance Christique de mon être, plus je sens que ma façon d’aimer et de m’aimer change.

Pendant longtemps, j’ai aimé seulement lorsque j’étais aimée. Ensuite, j’ai aimé spontanément, mais je voulais être aimée en retour. Puis est venue la capacité d’aimer même si je n’étais pas aimée, tout en tenant encore à ce que cet amour soit accepté. Finalement, depuis l’éveil de ma médiumnité et avec l’assistance des vibrations de Lumière de l’Être, je parviens, par légers et courts moments, à aimer purement et simplement sans autres besoins, ni autre joie que celle d’aimer.

Depuis l’enfance à aujourd’hui, tout le processus d’éveil de ma médiumnité, à travers ses phases d’inconscience à la conscience, me fait comprendre bien graduellement que l’avènement du Fils de Dieu, le Christ bien-aimé, n’est pas une allégorie fictive. Je pressens que l’authenticité de cette prophétie se célèbrera désormais par bien des réjouissances intérieures à travers ma réalité de médium et qu’il en sera ainsi jusqu’au jour du Grand Retour.

Il m’apparaissait évident que mes premiers contacts avec la Lumière étaient venus rappeler à mon âme, au début de son incarnation terrestre, que là où se situait pour moi l’Amour, se situent également ma Voie, ma Vérité et ma Vie. Du fond de mon coeur, la médiumnité se révélait ainsi être avec une certitude absolue le chemin par lequel mon âme se réalisera. Il n’en tenait dorénavant qu’à moi d’être à l’écoute de mes aspirations et de mes goûts afin de conduire ma médiumnité au plein épanouissement qu’offrent une réalité intime et personnelle assumée.

Extrait du livre « La médiumnité; réalité intime et personnelle » par Francine Ouellet et André Deladurantaye aux Éditions Marie-Lakshmi

Pour en savoir plus sur l’auteure, nous vous invitons à visiter sa fiche sur Alchymed.

A propos de l'auteur

Alchymed réunit des centaines de spécialistes oeuvrant dans le domaine du développement personnel, des thérapies alternatives, des médecines douces, pour la santé et le bien-être global de ...

Nombre d'entrées : 4140

© 2016 Copyright - Les Productions Alchymed inc.

Retour en haut de la page