Se débarrasser des toxines vaccinales par la Thérapie séquentielle
L’énergie vitale, à qui nous devons la vie n’est qu’un des aspects flamboyants de sa conscience universelle, par laquelle l’univers existe. »
Cette phrase appartient au docteur Jean Elmiger, et j’ai eu un coup de foudre pour la pensée de ce médecin hors du commun, et pour sa technique homéopathique révolutionnaire.
Nous étions en 1986 la première fois que je le rencontrais, j’avais 46 ans, j’avais perdu ma fille unique l’année précédente, la famille, les amis fidèles et ma vie spirituelle étaient alors mes sauveurs. Je commençais à étudier l’homéopathie et le point de vue de ce médecin Suisse correspondait de si près à ma conception de la maladie et de la guérison que j’en adoptais dès mes débuts, les principes. Ce travail fut un dérivatif formidable, pour dépasser ma peine.
La Thérapie Séquentielle, bien que destinée à tous les âges, attire davantage une clientèle de mamans. Il est probable que le fait de soigner des enfants ou des adolescents venait combler le sentiment de vide et d’inutilité qui était le mien.
Dès les premières années où j’utilisais cette technique, j’obtins de tels résultats que mon souhait de guérir et pas seulement soigner se trouvait exhaussé. Combien d’otites à répétition, d’asthmes, d’allergies, d’hyperactivité, de retard scolaire, et autres troubles
*cédaient pour ne plus jamais revenir. Combien d’autistes* étaient améliorés de façon spectaculaire. Résultats durables, à tel point qu’il n’est pas rare que je ne revois ces personnes que 10 ou 15 ans plus tard, quand une mauvaise hygiène de vie ou un stress violent ont de nouveau détraqué l’équilibre précaire de la machine humaine, ou lorsque devenus parents à leur tour, ils se souviennent de l’immense bien-être que ces soins leur avaient apporté.
L’idée majeure qui sous-tend la Thérapie Séquentielle, est la constatation que parfois, et de plus en plus souvent, les traitements homéopathiques les mieux choisis, échouent. En effet il est un principe connu mais amplifié par les pollutions que nous connaissons actuellement, c’est celui de barrage, créant un blocage énergétique, qui empêche l’énergie vitale de circuler.
Ce qui expliquerait en partie le déclin et les échecs de l’homéopathie.
Les barrages peuvent provenir de causes diverses, telles produits chimiques toxiques, médicaments, vaccins, anesthésies, empoisonnements alimentaires, pollutions industrielles, etc.
Ainsi que de chocs psychologiques, tels deuils, dépressions, perte d’emploi ou encore, de chocs physiques, tels accidents, commotions cérébrales etc.
Lorsque l’énergie vitale circule normalement et que l’hygiène de vie est saine, si l’on fait de temps en temps une otite, une grippe, une bronchite, on peut prendre un traitement homéopathique ou un antibiotique, et tout rentre dans l’ordre. Mais si nous avons affaire à une énergie vitale faible, par tempérament, hérédité ou mauvaise habitudes de vie (alimentation trop industrielle, manque d’exercice, vie affective déprimante), les traitements quels qu’ils soient ne fonctionnent pas et la personne va de rechute en rechute. Quand il s’agit des enfants, c’est alors que les parents se tournent vers l’homéopathie.
Pour rafraîchir les notions d’homéopathie de ceux qui ne sont pas familiers avec cette thérapeutique, le remède homéopathique est choisi selon la règle suivant :
« Toute substance capable de provoquer chez l’homme sain un ensemble de symptômes, guérira, sous sa forme diluée et dynamisée, et s’il y est sensible, le malade affligé du même ensemble de symptômes »
Pour lever les barrages mentionnés plu haut, nous allons donc employer 2 méthodes :
1/ L’isothérapie, c’est à dire le produit identique a celui ayant causé le barrage, traité en dilution/dynamisation homéopathique. Exemple, si le barrage a été causé par une varicelle, nous utiliserons le produit identique « nosode » de la varicelle, soit le virus herpétiforme de cette maladie, comme remède homéopathique.
2/ le Similimum, ou remède homéopathique correspondant à la définition ci-dessus,
pour tout choc d’ordre psychologique ou physique auquel aucun « nosode » ne peut correspondre. Exemple : Une dépression suivant une mise à pied injustifiée, qui a déclenché chez le malade un degré de frustration insupportable car difficile à exprimer, justifie le remède Staphysagria dont l’étude psychique correspond à ce sentiment.
Bien sûr on ne bombardera pas le malade immédiatement avec la levée du ou des barrages.
Toute consultation en vue d’une Thérapie Séquentielle commence par un interrogatoire classique. Une fois vérifié la qualité du système d’élimination et de défense, il faut en général procéder à un renforcement des organes d’élimination, et à un soutien du système immunitaire, avec des remèdes dits de « drainage »¨en basse dilutions homéopathiques.
Nous devons ensuite chercher les agents perturbateurs par un interrogatoire très minutieux de la vie du malade. Ceci est la partie la plus importante d’une Thérapie Séquentielle. Il y faut en effet une bonne habitude de ce travail et un bon sens psychologique pour percevoir là où la personne, bloque, ou oublie un évènement qui fut capital mais qu’elle a parfois occulté. Il faut aussi avoir recours aux souvenirs familiaux lorsqu’on arrive à la séquence de l’enfance.
Je dois ici parler de la célèbre loi exprimée clairement par Constantin Hering : « La maladie évolue toujours de la périphérie vers le centre, de l’extérieur vers l’intérieur et la guérison procède en sens inverse en évacuant le mal de l’intérieur vers l’extérieur, du centre à la périphérie » Ajoutons ce qui découle logiquement de cette loi. Thérapie Séquentielle oblige La guérison s’obtient en agissant sur les chocs reçus, dans un ordre inversement chronologique.
Nos troubles de santé, physiques ou psychologiques, proviennent de divers évènements, entassés et créant des nœuds sur la corde de notre énergie vitale. On doit défaire nœud par nœud sans maladresse ni impatience. Bien entendu la tentation est grande lorsque le traumatisme en cause apparaît clairement de commencer le traitement par celui-ci. Malheureusement l’expérience nous l’a prouvé, en agissant ainsi on enfoui un évènement postérieur, qui a peut-être laissé une trace plus subtile dans notre énergie, et que nous mettrons des années à éliminer, ce qui n’est pas toujours possible.
L’art de guérir, pour le Docteur Elmiger, repose sur le principe de l’énergie vitale, la maladie étant une rupture d’harmonie, un déphasage, une distorsion. qui peut atteindre le corps physique mais aussi les corps subtils, « notre corps physique étant le plus matériel des véhicules de notre âme. »
On oppose donc à chaque perturbation de l’énergie vitale, un anti-perturbateur de force et de qualité égales afin de donner aux corps (du physique au plus subtil) le choc nécessaire à la libération de l’énergie vitale prisonnière de ses vieilles cicatrices.
Les traces laissées par les divers épisodes douloureux de notre vie sont différentes d’un sujet à l’autre, mais comme en phychothérapie, l’expérience nous a montré qu’il n’est pas recommandable de vouloir guérir d’abord un évènement ancien en laissant de côté les plus récents. La guérison peut alors survenir, mais ne durera pas ou risque de déclencher de nouveaux troubles.
Le docteur Jean Elmiger a écrit un livre entier sur le sujet, si vous désirez me joindre pour parler de la thérapie séquentielle, contactez moi aux coordonnées suivantes :
www.seminairesludivine.com
Pour cours et consultations voir les dates sur mon site à la section Thérapie Séquentielle
NB * Lorsque les enfants atteints d’autisme ne le sont que depuis peu la guérison peut être de 100 %, en particulier si le syndrome s’est déclaré peu après 1 an.
Mais souvent on ne vient nous voir qu’après 5, 10 ans ou plus d’autisme.
Dans ces cas là l’apport de l’orthophonie et autres techniques cognitives est indispensable.