La Culture Sacrée
La semence déposée par l’homme n’est plus un travail mais devient un rituel Sacré où son Âme vibre à l’unisson avec la Terre afin que cet ensemencement se fasse avec respect et douceur.
La culture Sacrée est comme un enfant qui mérite de grandir dans un environnement sain et protégé, non agressé par des éléments extérieurs.
Comment la culture Sacrée qui se fait actuellement par des hommes et des femmes au Québec (devant qui je m’incline d’ailleurs de respect), dans un environnement où 50% de la superficie en maïs, soya est ensemencée par des OGM, peut survivre :
«Au Québec, 52 % des superficies ensemencées en maïs-grain le sont avec du maïs OGM. Ce pourcentage est de 48 % pour le soya. Aucune donnée officielle n’est disponible pour le canola, mais selon des données officieuses (des agriculteurs à qui j’ai parlé !), ce pourcentage serait de 95 % (tolérance aux herbicides).»
Les éléments font qu’il y a une pollinisation naturelle entre les cultures :
«On dispose d’un ensemble exhaustif d’informations tirées de la recherche et de l’expérience commerciale concernant le mélange de cultures limitrophes de maïs. Sur le terrain, la présence fortuite de gènes d’une culture dans une autre est associée principalement à la fécondation croisée par le pollen dispersé (par le vent), bien que l’addition provenant d’autres sources soit possible (par ex. les impuretés de semences, les équipements de plantation et de récolte). Le pollen du maïs est assez lourd, la plus grande partie de celui-ci est déposée à courte distance (en général à un maximum de 18 à 20 m) des cultures émettrices, ce qui réduit les chances de fécondation croisée au-delà de cette distance. Les taux de fécondation croisée varient en fonction de l’époque de la plantation, des différences de variété, de la présence de plants de maïs volontaires d’une récolte antérieure, des degrés de température et d’humidité, du vent, des dimensions des champs et de la présence ou de l’absence de récoltes tampon et d’autres barrières.»
La réponse m’a été donnée par l’organisme Québec-Vrai dont l’objectif est le suivant :
«Offrir un service transparent, efficace et rigoureux à nos membres au sein d’un organisme participatif et ce, à des coûts abordables. Ceci permet alors aux consommateurs d’avoir accès à des produits sains et de qualité répondant à des normes strictes assurant la protection et le maintien d’un environnement sain, le bien-être des animaux, et ce, sans l’utilisation de pesticides ou d’engrais de synthèses, d’additifs chimiques, de procédés d’irradiation ou de manipulations génétiques (sans OGM). »
Des zones tampons sont exigées pour s’assurer que les cultures biologiques ne soient pas affectées. Une zone tampon est une zone limitrophe clairement définie et reconnaissable entourant une unité de production biologique et servant à limiter l’application ou le contact accidentel de substances interdites provenant de zones non biologiques adjacentes.
Une zone tampon peut-être un fossé, haie, brise-vent chemin, ou bande riveraine. Si il n’existe pas de zone tampon, alors l’inspecteur de Québec-Vrai exigera d’une largeur minimale de huit (8) mètres entre les champs biologiques et les champs non biologiques
Merci à ces Hommes et Femmes qui ont Foi en la culture Sacrée et qui s’assurent de la faire grandir.
Référence :
http://blogue.sciencepresse.info/genetique/item/425
http://www.ogm.org/pages/show.php?cat=04&idcomm=168
http://www.quebecvrai.org/content/objectifs.asp
Benoît Tramblay
Membre de l’Académie des Naturopathes et Naturothérapeutes
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