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Un retour vers la simplicité

La variété fait la grâce, la richesse et la force de la vie. Nous le savons d’instinct. D’où la joie que nous éprouvons au printemps quand simultanément, les oiseaux, les feuilles, les herbes et les fleurs se manifestent à nous.

Malgré ces avertissements de l’instinct et de la science, nous continuons de réduire la variété de la vie. Elle est si riche pensons-nous!

Que risquons-nous en éliminant quelques milliers d’entre elles au moyen de pesticides qui accroîtront le rendement des terres ou par notre consommation accrue, qui comble ce grand vide intérieur?

Voici quelques citations :
De Lord Acton: «Le meilleur moyen de faire de la terre un enfer, c’est de vouloir en faire un paradis».
ou encore…
«Nul ne peut affirmer que l’aubépine est inutile aux constellations». De Victor Hugo

Ce qui se passe en ce moment avec la terre, toutes ces sautes d’humeur inhabituelles, n’est ni plus ni moins qu’un reflet de nous-mêmes.  La terre ressent notre énergie, nos peurs, nos insécurités et elle est influencée par cette énergie.  Elle est notre miroir.

Si nous travaillons un peu sur nous-mêmes, nous contribuons par le fait même à un mieux être de notre entourage et de notre planète.

Il existe plusieurs outils pour y arriver.  Ces outils sont à notre portée tout autour de nous.  Que ce soit, consulter un bon livre à la bibliothèque, marcher et contempler la nature afin de calmer notre mental ou encore faire de la méditation ou recevoir un soin Reïki par exemple.

Tout comme nous avons besoin de 3 repas équilibrés pour avoir un corps sain et dynamique, nous avons aussi besoin de nourrir notre âme, pour combler ce grand vide intérieur que nous ressentons tous.  Et comment faire pour nourrir cette âme, puisqu’elle est invisible?  Par cette merveilleuse énergie qui est partout autour de nous, que Gaïa notre Mère terre nous offre si généreusement.  Mais pour ce, on doit s’arrêter, calmer le mental et y faire de la place.  C’est le seul moyen.  Notre âme a faim et c’est ni par les drogues, les sensations fortes ou cette consommation accrue qui pollue tant notre planète que nous y arriverons.  Tout ça n’est qu’un moyen très bref et téméraire de calmer notre faim. 

Au Québec, nous vivons dans un grand et magnifique jardin, notre forêt boréale.  Jardin par ces arbres majestueux, ces plantes, les animaux qui s’y abritent mais plus encore, cette forêt magnifique est  une nourriture pour l’âme, une musique pour le cœur. 
Toute cette nature brute et sauvage, renferme des secrets et des richesses inestimables, sans limite ni frontière.  Nous n’avons qu’à ouvrir notre cœur pour y puiser toute la connaissance qui mène au bonheur et à la  sérénité.

Arrêtons-nous pour écouter le chant des oiseaux, un ruisseau couler, ou encore le craquement du froid en hiver, le sifflement du vent! Et même le silence de la neige qui tombe!

De plus en plus de gens ont compris l’importance de se ressourcer et recherchent le silence ou encore une façon plus simple et plus vraie de vivre.  Prenons notre habitat par exemple, beaucoup d’entre nous aujourd’hui vivons comme dans un cocon. Chacun fait sa petite vie dans un appartement ou une maison bien fermée, à l’abri des voisins avec des clôtures et fermé des sons et des vibrations si bénéfiques de la nature.

Voilà qu’on a envie de respirer à nouveau, de sortir de notre cocon et de se rapprocher de l’essentiel et que de nouvelles formes de maisons apparaissent.  J’aimerais vous présenter l’une d’elles, la yourte (ou Ger).  Très populaire en Europe, la yourte fait de plus en plus parler d’elle au Québec. 

Une yourte ou iourte (ou Ger) est l’habitat traditionnel (en peau ou en feutre) des nomades mongols et turcs qui vivent en Asie Centrale. En raison de l’influence de la Russie, c’est du mot yurt que yourte puise son origine, mais les Mongoles l’appelle ger. Ils n’apprécient généralement pas le terme Yourte du fait qu’il soit généralement utilisé par les envahisseurs venant de l’ouest.
A l’origine, la Yourte Mongole (‘Ger’) est une construction aux usages multiples qui peut être facilement démontée et reconstruite. Pour les Mongols, la GER symbolise la stabilité.

Une Ger est vraiment plus qu’une tente. Les Mongoles y vivent tout au long de l’année et les préfèrent aux autres formes d’habitations. La conception a été développée durant des générations afin de répondre aux besoins des occupants. Elle peut être chaude dans le froid arctique et fraiche durant l’été. La structure peut se démonter et prendre très peu de place afin d’être portée sur un animal de trait.
 
Vivre dans une Ger aujourd’hui
C’est possible! Plus douillet que le traditionnel camping, elle peut être, lumineuse, étanche, chauffée, meublée et même éclairée à l’électricité ou énergie solaire.

Les avantages sont multiples:
• déplaçable
• de faible coût
• en contact fort avec la nature, ou l’environnement extérieur.

Je vous invite à venir en faire l’expérience au Centre de Ressourcement Les Jardins de Compostelle.  Hébergement 4 saisons, il est possible d’en faire la location pour une nuit, de se ressourcer dans les jardins en été ou faire de la raquette en hiver et d’y recevoir des soins, massage suédois ou Reïki.  Tout pour un séjour dépaysant et relaxant!

Les jardins de ‘Compostelle’  se spécialisent dans le mieux-être du visiteur, quelque soit son âge et sa provenance, en offrant des soins énergétiques en Reïki, massages suédois, différents ateliers et conférences et de l’hébergement sous la yourte, incluant un sentier pédestre et de raquettes avec vue panoramique sur le fleuve.

Je vous invite finalement à réfléchir sur la façon de mieux vivre pour un mieux Être, pour nous, notre planète et l’univers tout entier.
Pour plus d’informations : 418 639-2295 ou www.jardinscompostelle.com

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