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Burnout et Reiki… une recette gagnante!

Ceux qui ont bénéficié du soutien que leur a procuré le Reiki, alors qu’ils traversaient une tempête dans leur vie, sont à même de témoigner de l’efficacité en douceur de ces soins d’origine japonaise.

Je fais partie des rescapés du burnout qui ont su tirer le meilleur de cette expérience douloureuse de transformation personnelle, je dirais. Ceux d’entre vous qui connaissez mes livres ont appris comment le reiki est entré dans la vie de l’infirmière rationnelle et analytique que j’étais. Complètement enfermée dans un jugement négatif envers les médecines douces, j’étais loin de me douter des bienfaits que j’en recevrais. La sceptique a été confondue comme l’aurait dit le Capitaine Bonhomme à l’époque!

J’ai le goût de dire : c’est une chance que le burnout soit venu me frapper de plein fouet! Ce fut le facteur déclenchant mon ouverture à la vie, observée sous un angle beaucoup plus large que la vision que l’on m’en avait transmise.

Je suis heureuse que de plus en plus de personnes découvrent le reiki comme source d’aide alors qu’elles sont en besoin de soutien moral ou physique. Pour ma part, je dispense des soins Reiki depuis 1992 et l’enseigne depuis 2000. Suite aux recherches de Frank Arjava Petter sur la vie de Mikao Usui, le père de cet enseignement, je m’assure de l’actualisation de la formation offerte en Reiki Shiki Ryoho, laquelle est sortie du Japon grâce à un chirurgien japonais membre de la marine japonaise, Chujiro Hayashi. Ce dernier a su adapter le système japonais à notre culture en créant une nouvelle structure d’enseignement basée sur celle de l’organisation Gakkai fondée par Mikao Usui. le Dr Hayashi l’a ensuite enseigné à Mme Hawayo Takata qui l’a fait connaître en Amérique.
 
Par la suite, et ce jusqu’à nos jours, il y a eu beaucoup d’interprétation et de dérapages.

Il est temps que les pendules soient mises à l’heure. Je tiens à préciser que je ne suis nullement fanatique et que cette pratique alternative n’a rien de sectaire. Le reiki se pratique partout à travers le monde et, plus près de nous, il s’installe actuellement doucement en toute confiance dans un système de soutien complémentaire à la médecine traditionnelle, que je nomme médecine alternative.

J’ai reçu en consultations plusieurs personnes souffrant de burnout. Ce que je constate c’est que celles qui ont bénéficié de soins réguliers en reiki et celles qui ont choisi d’en recevoir la formation, afin de favoriser leur autonomie thérapeutique, ont pour la plupart retrouvé un meilleur équilibre qu’avant leur maladie et ceci plus rapidement et solidement que d’autres qui n’avaient pas eu recours au reiki.

C’est donc une reconnaissance que j’accorde à cette médecine douce qui se veut d’une telle simplicité qu’un enfant peut la pratiquer sous la supervision d’un parent qui en a reçu les connaissances. Il pourra l’utiliser pour lui-même et les autres.

L’un des commentaires fréquents venant des personnes qui reçoivent les premières fois ces soins est que le reiki les aide à atteindre un état de relaxation d’une intense profondeur. Elles en sont souvent étonnées. Il n’est pas rare qu’un client me raconte avoir ensuite passé une meilleure nuit, s’être senti plus calme et avoir vu ses symptômes atténués, en plus de bénéficier d’une facilité de concentration et clarté d’esprit.

L’on ne met plus en doute maintenant les effets bénéfiques de la méditation. Celle-ci favorise dans le cerveau des mécanismes réactionnels aidant à calmer l’agitation mentale, à induire un état de paix et par conséquence à faciliter le travail du cœur, en plus de contribuer à l’atteinte de l’homéostasie. C’est un plus pour la santé.

L’humain souffre facilement d’insécurité devant l’inconnu qui lui apparaît comme un agresseur. Son cerveau primaire envoie tout de suite les signaux l’alertant d’un potentiel danger. S’enclenchent alors les mécanismes de survie. Il est donc aisé de comprendre que plusieurs ont vu une menace en l’arrivée du reiki parmi les sources d’aide à l’individu souffrant et ont réagi. Nous sommes ainsi faits!

Nous devons réapprendre la médecine et collaborer!
Que se passe-t-il dans ce genre de situation? Un collectif mal informé ou non intéressé aura tendance à se ranger derrière une opinion de masse, basée souvent sur l’orientation d’une structure mentale articulée à partir de faits connus. Peu d’espace en ceci à l’ouverture. Vous avouerez qu’il devient difficile, voir impossible de démontrer ce qui ne peut conventionnellement s’expliquer. Pourtant l’air que nous respirons est bien là mais nous ne pouvons ni le palper ni le voir. Le soulagement des symptômes et la santé potentialisée demeurent souvent nos seuls faits  pour aider le reiki à prendre sa place parmi les sources d’aide. Mais ils ne sont pas négligeables. Nos institutions de service en mal d’offrir du soutien à ses citoyens ne peu pas lever le nez longtemps sur des moyens qui, naturellement, peuvent complémentairement apporter un mieux-être.

Je peux comprendre que sous une telle vision il soit difficile de collaborer à l’ouverture et au développement des voies parallèles pour le plus grand bien de soi-même et de tous. L’être humain juge et critique ce qu’il ne connaît pas. C’est inné! Il a peur…

Pourtant, lorsqu’il se donne le droit de lâcher prise à ses limites, il peut alors lui-même se placer en ouverture afin d’expérimenter de nouvelles sources de bienfaits. Rappelez-vous que le téléphone, la télévision et bien d’autres découvertes dont on ne pourrait penser se passer de nos jours, ont d’abord été critiquées et condamnées comme étant les outils du diable en pleine action!

Encore de nos jours, la chasse aux sorcières existe et alimente certaines chaînes spécialisées. Beaucoup trop de personnes ont la fâcheuse tendance de juger sans connaître. Par chance que certaines personnes se sont tenues debout car nous ne pourrions pas bénéficier de l’acupuncture, de la chiropractie, de l’homéopathie…

Je fais partie de ces personnes objectives qui se tiennent debout et en observation. J’ai une expertise respectable à titre d’infirmière, de psychothérapeute et dans la pratique du reiki, ce qui me permet de jeter un regard objectif sur certaines études qui trop souvent ont pour mandant d’établir la non crédibilité ou de créer l’incertitude!

J’ai la chance d’être informée régulièrement de ce qui se passe dans le monde du reiki par le biais de celui qui a édité les ouvrages d’Arjava, Nita Mocanu, dans lesquels l’auteur nous fait part des fruits de ses recherches. D’ailleurs il est important de savoir que le Reiki n’était pas enseigné par tradition orale. En effet, un exemplaire du manuel original que remettait le Dr. Usui à ses élèves a été retrouvé au Japon en 1997. Nous avons pu en apprendre beaucoup sur la vie du personnage et son enseignement grâce aussi à sa stèle funéraire qui contient un lot d’informations inscrites en vieux japonais.

De mon point de vue, c’est important de prendre le temps pour s’actualiser et renforcer nos connaissances. Je m’adresse ici particulièrement aux maîtres enseignants, car nous sommes les porteurs d’une vision en devenir du reiki, non seulement au sein d’une collectivité mais au cœur d’un réseau de soutien parallèle à l’individu. La base doit se créer solidement lorsque nous souhaitons édifier une structure qui traverse le temps, toujours en mouvement.

Ce que j’apprécie aussi du reiki ce sont ses effets sur les malaises et maladies. Atteinte de R.A.A. (rhumatisme articulaire aigu) à l’adolescence. À 17 ans, une forte crise m’a cloué au lit, incapable de marcher. J’ai du recevoir des doses massives d’antibiothérapie pendant plus de cinq ans. Mon système immunitaire était tombé en déficit ayant pour conséquence de souffrir de pharyngites importantes 2-3 fois par année. Comme seuls les antibiotiques à fortes doses pouvaient me soulager, j’étais entraînée dans ce cercle vicieux. Suite à mon initiation au degré 1 de reiki en 1992, mes épisodes de pharyngite ont cessé et ma santé fragile s’est renforcée. Le reiki n’est pas miraculeux mais il est agréablement étonnant! Il m’a aidé aussi à guérir d’un point de vue émotionnel et à devenir meilleure avec moi-même.

Au début, j’ai senti le besoin de pratiquer cette médecine douce sur moi puis j’en ai vite fait bénéficier mon entourage. J’ai eu la chance de l’intégrer à ma pratique infirmière avec la joie de constater les bienfaits chez les patients. D’ailleurs, beaucoup de professionnels de la santé et des médecines alternatives sont formés en Reiki Usui. C’est selon moi une approche qui devrait être intégrée au plus tôt dans les programmes de formation en soins infirmiers.

À l’Institut Dolores Lamarre+ nous accordons une place de choix aux formations et soins en reiki dispensés par une excellente équipe de formateurs actualisés. L’Institut est accrédité par RITMA pour la formation globale en reiki ainsi que pour le programme S.A.I.M.E.®. Nos diplômés peuvent être membres du Regroupement des Intervenants Thérapeutes en Médecine Alternative. Nous nous assurons du respect et de la qualité de nos programmes.

Quelques exemples de bienfaits que j’ai observés chez mes clients :
– Diminution de la constipation chronique,
– Moins d’angoisse et plus de facilité à en identifier les causes,
– Meilleur sommeil,
– Baisse et disparition des maux d’estomac et migraines,
– Meilleure stabilité émotionnelle,
– Plus de facilité à la résolution des problèmes personnels,
– Soutien au deuil,
– Aide au lâcher prise,
– Sérénité et acceptation en fin de vie…

Je nourris quotidiennement la vision que j’entretiens de mon projet en devenir : des équipes multidisciplinaires tant composées de professionnels attachés à la médecine traditionnelle que de ceux appartenant au soutien alternatif. Pour cela, tous ensemble, nous devons nous percevoir et agir en professionnels responsables et conscients afin d’assurer dans le meilleur délai la crédibilité à cette approche et des soins professionnels alternatifs de qualité à la collectivité, qui pourra bénéficier en toute sécurité et confiance de ces approches.

Ce n’est pas à partir de nos sentiments chaleureux envers le reiki que nous pourrons aider cette discipline à s’intégrer chez-nous et ailleurs, mais à partir de notre responsabilisation à titre de praticiens et d’enseignants, de notre capacité à en démontrer le sérieux par notre attitude professionnelle, par notre capacité d’en parler …

C’est plus qu’un projet que soutient l’Institut : un pont entre les deux médecines… c’est une réalité en devenir! Je suis née pour contribuer au mieux-être de l’humain et c’est ma façon actuelle de remplir mon mandat.
Au plaisir de vous lire!

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REIKI

Soirée d’information le 11 février à 19h30
Atelier degré 1 : du 11 au 13 février

Visitez à l’onglet Reiki : www.institutdlplus.com

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Atelier  LÂCHER PRISE   
Une bonne façon de prendre soin de vous EN 2011

Faire naufrage ou LÂCHER PRISE ?
Dolores croît fermement que le lâcher prise devrait être enseigné à tous, dès le bas âge, voire même inclus dans les programmes éducatifs et scolaires. Lâcher prise n’a rien à voir avec négliger ou laisser aller. Au contraire, c’est apprendre à assouplir la rigidité mentale personnelle, pour mieux vivre chaque journée et favoriser une meilleure santé.

Lâcher prise aide à diminuer les tensions, le stress, la fatigue
et contribue à améliorer la qualité de vie.

Quittant le chapeau de directrice des soins infirmiers pour devenir auteure et conférencière, depuis elle a maintes fois dispensé ces enseignements suite à l’écriture de son premier livre en 1999 « Le temps de lâcher prise », lequel fut réédité en 2006. « Je vous invite à venir passer quelques heures avec moi, dit-elle, lors d’un séminaire de travail personnel en lequel je vous accompagne. Donnez-vous ce temps précieux pour apprendre à vous connaître, au-delà de ce que vous savez de vous.

Au début des années 90 alors que ma vie basculait, j’étais loin de me douter de tout ce que la vie me réservait de beau et de bon. Je ne comprenais pas nécessairement ce qui m’arrivait. Je suis devenue fatiguée. Ma vie a alors certes vacillé, moi aussi d’ailleurs… et ce fut le naufrage! Perdue, ne sachant pas nager dans cette mer inconnue, j’avais très peur et je me sentais seule. Je me considère aujourd’hui privilégiée de m’en être sortie avec un meilleur équilibre et d’avoir réinventé ma vie. Depuis, j’aide les autres à voir les pièges qui les mènent tout droit vers un iceberg. Je leur enseigne comment maîtriser la force de leur engin et comment utiliser leur navire en demeurant capitaine à bord ».

Quelques objectifs du séminaire :

– Permet d’approfondir la notion de lâcher prise.
– Aide à identifier ce à quoi vous avez de la difficulté à lâcher prise ainsi que certains blocages qui minent votre énergie.
– Fournit des outils pour y arriver.
– Favorise le développement d’une meilleure connaissance de vous-même par une approche psychoénergétique, spirituelle et corporelle.

Si vous vivez de l’angoisse, la peur de perdre, la peur du manque… Si vous êtes dépressif, en burnout, vivez une rupture, des relations difficiles personnelles ou au travail, apprendre à lâcher prise peut certes vous aider. Ce séminaire est offert aussi aux  personnes qui ont le goût de comprendre pourquoi tel événement difficile s’est produit dans leur vie. Comment apprendre à en décoder les leçons ainsi que comment traverser les difficultés avec équilibre.

Il est facile d’appliquer ensuite ce que vous aurez appris au travail, à la maison et dans vos diverses activités. Vous ne pouvez contrôler la température, les ouragans, mais lorsqu’il se produit une tempête dans votre vie, comment vivre celle-ci avec un minimum de stress et d’anxiété?

ATELIER DE (2) JOURS 12 et 13 mars 2011, de 9:00 à 18:00.

Lieu : Institut Dolores Lamarre+
Coût : 295$ + Tx. Dépôt de 75$ confirme votre inscription.

 • Une personne qui inscrit 3 autres personnes à l’atelier Lâcher Prise (donné à la même date), un rabais de 50%  sera offert à cette personne sur cet atelier.
• Une personne qui inscrit 5 autres personnes ou plus au stage-atelier Lâcher Prise (donné à la même date), cette personne pourra suivre cet atelier gratuitement.

Créez vos groupes et recevez l’atelier en régions ou dans votre entreprise.

Faites parvenir votre chèque de 75$, fait au nom de l’Institut Dolores Lamarre+ à :

Institut Dolores Lamarre+
319, chemin Ozias-Leduc
Otterburn Park, Québec
J3H 4A7

Lecture facultative pour vous y préparer : disponible au Québec et Europe

LE TEMPS DE LÂCHER PRISE (Best Seller)
Grand Prix du Livre Montérégien 1999
Éditions Quebecor

Informez-vous!
[email protected]
www.institutdlplus.com
www.doloreslamarre.alchymed.com





A propos de l'auteur

Alchymed réunit des centaines de spécialistes oeuvrant dans le domaine du développement personnel, des thérapies alternatives, des médecines douces, pour la santé et le bien-être global de ...

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