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« Une quête permanente du sens de la vie »

Avez-vous remarqué que dans le monde dans lequel nous vivons, nous passons notre temps à nous plaindre du fait qu’il nous manque toujours quelque chose…nous ne sommes jamais ni satisfaits, ni rassasiés, ni comblés….et nous sommes confortés dans cette idée, partout autour de nous, en tout temps, par un système de médias.

La société au complet nous confronte à ces manques, par l’étalage constant de l’inégalité des apparences et tout notre entourage s’en mêle en nous demandant mieux et toujours plus …et finalement, nous finissons par faire  pareil avec nous même, et ce en permanence… Nous vivons dans un système de comparaison, de performance et de perfection, de regrets et nous nous faisons subir tous ces supplices pour au fond, avoir l’assurance d’être reconnu, aimé, entouré, rassuré… etc.

« …cette idée est largement entretenue dans les médias et la société dans son ensemble : ce sont les biens de consommations qu’il faut avoir, les techniques qu’il faut maîtriser ou encore les savoir qu’il faut acquérir… » J.Ph.B
 
Ainsi nous passons notre temps à regretter toutes sortes de choses : ce que l’on n’a pas fait,  ce que l’on a dit ou pas dit, ce que l’on n’a pas eu, ou ce qu’on aurait du avoir,  ce que l’on est pas, ou ce qu’il nous faudrait pour être heureux…en pensant qu’en ayant plus de…temps, d’amour, d’argent, d’études, de chance, de formes, de beauté , un autre passé , une autre vie,  etc.…on serait bien plus heureux.

Nous vivons constamment dans l’illusion de tous ces manques, et cela nous coupe de qui nous sommes, de ce que nous avons à vivre, à exprimer, de notre créativité, de notre existence et de ce que l’on à témoigner au quotidien, à chaque instant de notre vie, par notre présence. Nous sommes coupé de notre lumière et de la joie de vivre!

Hors :

« Il ne nous manque rien pour résoudre l’instant présent…» 
J.Ph Brebion

« …Commençons par cesser d’entretenir cette illusion du manque qui n’est rien d’autre qu’un alibi- car s’ancrer dans cette idée est un piège du mental qui a peur de changer. Chacun a,  à chaque instant de sa vie, tout ce qu’il lui faut pour s’accomplir pleinement. Chacun est dans sa totalité, ici et maintenant…. »

«  Nous avons parfois tendance a vivre enfermé en nous même, tout en nous  basant essentiellement et paradoxalement sur la vie extérieure.  Par peur de la solitude nous adhérons  à des vérités  communes et dès le plus jeune age, nous laissant persuadé que la vérité vient de l’extérieur nous absorbons, bon grés mal grés, tous les «  savoirs » bien établis qui nous sont dispensés au fil des années. Nous agissons de la même façon face à la maladie en l’attribuant à des causes extérieures comme des virus, des microbes, l’hérédité, voir  la météo… nous écartant ainsi du contact avec notre vérité intérieure. Mais il nous faut comprendre que  cette attitude nous empêche de rentrer en contact avec notre perception profonde, non comparable et nous empêche de réaliser que nous sommes uniques et singuliers. Car ce n’est pas ce que nous croyons, savons ou croyons savoir qui et le plus important, mais c’est ce que nous vivons,  ce que nous goûtons  sans aucune référence externe.

Et si nous apprenions désormais à écouter et à laisser émerger ce qui vient de notre profondeur?  Et si nous prenions le risque de changer de regard sur la vie pour lutter contre cette part de nous qui nous incite à rester sédentaire parce qu’elle redoute ce qu’elle ne connaît pas. ..

Pour que la vie se perpétue, il nous faut lâcher nos ancrages…..Essayons de sortir de notre cadre, de nos habitudes, pour aller nous confronter à notre réalité, à notre vérité afin de comprendre ce qui nous arrive et ouvrir la porte à notre propre guérison.

La Bioanalogie nous invite à sortir de ce qui est programmé pour devenir vraiment ce que nous sommes et « ce que nous sommes »  nul ne pourra l’être mieux que nous… »

« …Pour cela nous n’avons pas à trouver le sens de chaque chose, mais nous pouvons nous appuyer sur la certitude absolue que chaque chose, chaque évènement, a un sens…. »

« …Quel que soit le parcours individuel de chacun, toute vie est ponctuée d’évènements, espérés ou inattendus, heureux ou dramatiques, et nous sommes tous, tôt ou tard, confrontés a « l’ingérable » : maladie, accident ou deuils qui nous laissent désemparés et démunis.

Dans ces moments de souffrance, il nous arrive d’éprouver un sentiment d’impuissance, d’incompréhension, voir d’injustice. Souvent ces instants particuliers suscitent de nombreuses interrogations. Nous voudrions comprendre le pourquoi des ces maladies, ces accidents …ces coups du sorts.

Frappent-ils réellement d’une manière aléatoire?

Notre biologie, notre vie entière, s’exprime-t-elle dans un désordre absolu? Comment accepter? N’avons-nous pas d’autres solutions que de subir sans chercher un sens à tout cela?

Face à tout ce qui nous atteint, nous avons deux attitudes possibles : Soit nous mettons l’évènement sur le compte de la malchance ou de la maladresse d’autrui et concluons que le monde, les autres, la vie, sont injustes ou-et cruels, soit nous nous demandons pourquoi cela arrive a ce moment de notre existence et  réfutant toute idée de hasard, nous décidons de relire notre histoire personnelles pour tenter d’en trouver le sens… »

(Atelier : la journée du principe, Séminaire : « ma clé mon mode d’emploi »)

Changer de regard.
« ..Consciemment ou non, nous avons tous une vision du monde, des références, habitudes de raisonnement ou schémas de pensée, sur lesquels nous nous appuyons et la plus part du temps, nous considérons les évènements de la vie à travers ces filtres sans vraiment les remettre en question.

Par analogie, imaginons que trois personnes essayent de décrire à une quatrième non voyante, une grosse boite d’allumette. Chacune suivant son propre point de vue, va exprimer une réalité différente : le premier évoque un simple rectangle plat, le second, un volume, et le troisième parle essentiellement d’un angle avec deux points de fuite. Il s’agit bien de la même boite et aucune de ces descriptions n’est erronée mais a t-elle été décrite dans sa réalité? Dans la vie, chacun a sa grille de lecture, issue de ce qu’il est, et tant que rien ne vient bousculer ces certitudes, il ne voit aucune raison de la modifier.

Pour le freudien tout est inconscient, pour l’astrophysicien tout est énergie et pour l’artiste tout est création…et tout le monde a raison!

Mais lorsque l’un d’eux décide d’affirmer sa vérité, à l’exclusion de toutes les autres, il limite l’univers à sa seule vision des choses, ce qui est forcement réducteur.

Tout « est » si nous acceptons de nous dégager de nos structures et de nos comportements acquis, il devient alors possible d’accéder a un autre plan de compréhension.

C’est ce que propose la Bioanalogie, démarche de recherche au cours de laquelle nous apprenons à délaisser nos a priori, nos mécanismes de pensée, afin de permettre à notre réflexion de cheminer sur des sentiers inhabituels … »

« …Le point de départ de toute démarche en Bioanalogie est de concevoir clairement ce que nous souhaitons résoudre à ce moment précis de notre vie, puis de le formuler avec précision. En effet, la formulation de la question est fondamentale parce que les mots employés loin d’être choisis au hasard par notre inconscient, sont déjà porteurs de sens… »

« …N’importe quel élément de notre vie, même l’événement a priori le plus insignifiant parle de la totalité, il n’est pas indispensable, à mon sens, de connaître parfaitement sa généalogie, pour comprendre son histoire présente… »

« …En écho à la phrase : « si tu ne sais pas ou tu vas, n’oublie pas d’où tu viens » , je dirais que ce n’est pas, d’où je viens qui est le plus important : l’essentiel est ou je suis ici maintenant , parce que cela parle de la totalité de mon existence.
C’est ma réalité!

« Nous ne pouvons guérir que dans le réel… »
J.Ph.Brebion

La notion de manque  est revisitée par Jean-Philippe Brebion.  Avec les outils qu’il  nous propose dans différents ateliers à travers la Bioanalogie,  il nous amène a comprendre que c’est en commençant par choisir de n’être pas l’autre qu’on peut être soit même et en ne voulant pas une autre réalité que celle là, à ce moment précis ou nous vivons ce que nous avons à vivre que l’ on peut  pleinement expérimenter notre vie, afin que le sens se révèle à travers nous. (Ch .R)

«…Notre chemin commence ici et maintenant, il est unique parce que nous sommes tous uniques. Il n’y a qu’une vérité: nous même…»
J.Ph.Brebion

Propos extraits de son livre « L’empreinte de naissance » (www.bioanalogie.com)
(Recherche; Chrystel Robin)

Ateliers: mars et avril 2011:

Pour toutes informations: Contactez Chrystel: [email protected] ; www.bioconsensus.ca

« Les clés de l’âme » : Samedi 20 mars.  A Deux montagnes.
« Les clés de santé » : Dimanche 27 mars.  A Montréal.
« La journée du Principe » samedi 2 avril. A Montréal.
« Ma clé, mon mode d’emploi » Séminaire du 15 au 18 avril.  A Montréal.



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