L’Égypte au service de la quête de soi…
Un sanglot noua ma gorge et mes yeux se remplirent de larmes. Bienvenue à la maison… Tels furent les mots qui de mon cœur résonnèrent dans toutes mes cellules… Égypte me revoici!
La tête d’Horus, tel un faucon protecteur, dominait royalement l’oiseau de métal d’Égyptair qui venait de poser ses ailes sur la piste, au Caire. J’avais peine à contenir ma joie, alors que les voyageurs fatigués de cette longue randonnée aérienne se préparaient à quitter l’avion. Fébrile de tout mon être, je ne sentais plus mes jambes. Un bref instant, je m’étais cru devenir un avec cette terre ancienne. Tout se bousculait dans ma tête. L’espace d’un moment d’éternité, je ne savais plus ni où j’étais ni qui j’étais. « Respire », je me disais.
Quelques minutes plus tard, du haut de l’escalier d’embarquement qui allait me déposer sur le terrain de l’aéroport, un merveilleux spectacle se donnait à moi! Quelle majestueuse beauté! La caresse chaude du vent doux d’Égypte glissa sur ma peau, emportant alors mes émotions en une ultime danse entre la vie et la mort. Une mort d’un hier peut-être, qu’aujourd’hui je sentais vibrer dans ma vie.
Lentement je descendis, marche après marche. Mon cœur battait de joie. Lorsque mon pied toucha le sol, je ne pus résister à l’envie d’y poser la main, sous le regard amusé des agents de sécurité qui me saluèrent d’un sourire accueillant.
Si ce moment est demeuré précieusement gravé en moi, il en est bien d’autres encore tous aussi vivants et qui, au fil de mes rencontres ultérieures avec la terre pharaonique, se sont imprimés sur la pellicule de mes souvenirs. Images et sentis qui ont su me transporter au-delà des mystères, vers une connaissance en devenir.
Je pourrais passer des heures à RÂ-conter ces expériences d’accompagnement auprès des participants aux voyages-ateliers que j’ai organisés depuis. Chaque fois j’ai eu le sentiment d’un retour à mes amours d’antan, au pays d’Égypte. En vous écrivant, je revois des yeux lumineux et des sourires heureux absorbés par les hiéroglyphes d’un temple révélateur de messages subtils, que seul un cœur ouvert peut recevoir et entendre.
Si le Nil pouvait parler…
D’histoire il s’est patiemment chargé : de cruelles batailles, de reflets de dieux rayonnants aux couleurs de l’or, de légendes et de chants sacrés. Tant d’histoires pour élever vers la gloire ou favoriser la guérison de l’âme.
L’âme, fréquence d’éternité… Cette dernière qui hier en son éther, enveloppée de parfum de lotus, se reposait sur un lit de rayons de soleil l’apaisant, afin de franchir les portes vers la lumière de vie.
Cher Nil ! Qu’il fait bon s’y laisser bercer dans les bras d’une felouque portant l’âge biblique, en pensant à Jésus qui en avait certes emprunté la commodité pour se déplacer et aller enseigner. Sous le ballottement de l’unique voile, maintes fois je m’y suis surprise à rêvasser en imaginant les plus riches scénarios; mon esprit parfois trop vite rapatrié par le chant des petits enfants qui prenant place dans leurs minuscules barques, s’approchaient pour s’accrocher de leurs petites mains déterminées à la nôtre, pour nous offrir un « Alouette, gentille alouette » agrémenté d’un blanc sourire, espérant récolter quelques livres égyptiennes.
Et ces temples… Tant de temples…
Chacun portant la fréquence de son jadis enseignement, qui naturellement vient encore se déposer en soi lorsque les conditions en disposent le voyageur. Chantant avec recueillement dans la chapelle consacrée à Isis, je me souviens de la profondeur du sacré qui vibrait au temple de Philae, … J’y ai pleuré la séparation, les retrouvailles, la force de vie et la charge dont je me suis sentie libérée… Vivre l’Égypte, c’est s’abandonner à se laisser toucher par la vie dans son sens le plus intense et solennel !
D’un passage à l’autre, avançant sous le regard des dieux, de RÂ et d’Isis complices, il me fut donné la joie d’être dans ce faire qui servait la réalisation de mon je suis, ici bas et cela sans avoir eu à m’inquiéter.
C’est pour moi un grand privilège qu’est celui d’accompagner un groupe sur le chemin de la connaissance de soi, de l’amour en devenir et du mieux-être. Vouloir comprendre le sens que les anciens égyptiens donnaient à l’immortalité est une chose. En laisser circuler en soi l’enseignement en est une autre, qui demande d’accueillir au creux de soi la semence des étoiles, afin d’illuminer graduellement le sentier à emprunter, enterré sous les tonnes de rationalités contrôlées. L’immortalité n’a rien du sens que l’humain moderne a voulu lui prêter… Du moins, je tends à penser qu’il en était autre pour les anciens.
L’Égypte donne la force.
Je me rappelle septembre 2001. Nous étions à quelques jours du départ vers elle, lorsque survint l’événement dramatique qui allait graver une large et profonde cicatrice dans le cœur des américains et de tous ceux de la terre qui en furent informés. Inutile de vous dire que nous avions été ébranlés et que nous avions tous remis en question notre départ. Nous avons médité et trouvé, chacun à notre façon, notre réponse. Avec conscience et lâcher prise nous sommes tous partis !
Ce fut l’une des plus riches expériences. En effet, comme le tourisme qui se veut l’une des principales industries du pays des pharaons s’y faisait rare, nous avons été reçus avec tous les égards que pouvaient humblement nous offrir nos hôtes. Ainsi nous avons bénéficié des plus beaux décors silencieux et de privilèges, tel celui d’entrer dans des lieux non habituellement accessibles aux étrangers. Même le Mont Sinaï en son austère beauté, nous offrit pour son ascension une tiède nuit étoilée.
L’Égypte est une médecine en soi qui s’active par la magie de l’amour que ces terres savent animer. Nous pourrons toujours parler et philosopher, mais de mon point de vue l’expérience est une clé quantique qui ouvre le passage et transforme la souffrance en amour, tel autrefois l’alchimiste changeait le vil métal en or. Nous valons de l’or… Nous l’avons oublié et avons tendance à considérer notre valeur plutôt à partir de nos actions : défaites et réussites, plutôt qu’en potentialisant les trésors qui prennent place en soi.
Y aurait-il peur d’être et de manifester nos talents ? Certes je dirais. C’est ce que m’a appris mes années de service auprès de mes semblables afin de les aider à apprendre à s’aimer, ce qui bien entendu me rappelle heureusement de m’inclure en cet apprentissage continu, afin de parfaire mon parcours sur la route du bonheur au quotidien.
Mais s’aimer, c’est quoi ? La terre d’Égypte m’a permise de m’arrêter pour y réfléchir. Elle m’a éclairée, afin que je prenne conscience de mes blocages à l’amour. Il m’est plus aisé d’aider en accompagnant l’autre sur ce chemin, puisque j’ai fait et explore encore ce sentier.
Liberté…
La terre d’Égypte a demandé dernièrement sa liberté. Après tant de cycles sans être entendue, enfin quelqu’un l’a écouté !
Qu’en est-il de nous ? Ne sommes-nous point aussi comme elle prisonniers de notre dictature intérieure ? N’avons-nous point cédé notre pouvoir dans l’illusion que nous n’étions pas assez forts pour combattre l’ennemi, intérieur ? Nos peurs, nos comportements égocentriques sont devenus les maîtres de notre vie. Ce qui se passe en Égypte n’est peut-être que le reflet de ce qui se passe en nous.
Cette ancestrale terre en est une des plus anciennes à avoir été le berceau de la connaissance et son enseignement y est toujours vivant. Elle n’a pas changé, cette terre féconde d’amour et de soleil. Inconditionnelle, elle accueille la graine qui dort en soi et l’active pour en favoriser la croissance et la beauté… Fleur de vie en devenir ! C’est l’humain avide de pouvoir qui a voulu égoïstement la rendre à son service alors qu’en réalité elle ne souhaite qu’accomplir son mandat : enseigner. Savons-nous l’écouter ? Prenons-nous le temps de nous y laisser déposer ?
Je ne peux résister à faire le parallèle avec notre corps qui manifeste et crie, par ses symptômes, un mal de l’âme qu’il veut porter à notre conscience, au-delà du métro boulot dodo si cher à notre régime capitalisme et à nos habitudes supportant notre besoin de contrôler.
Combien de personnes quittent, inquiètes, les bureaux de spécialistes après s’être soumis à des tests laborieux qui pour autant n’ont pu identifier la source de leur douleur ? Ces potentiels candidats au mal de l’âme et à la dépression ignorent trop souvent que la douleur s’agite dans leurs cellules tel un avertisseur face à un plus grand danger. Sauront-ils entendre l’appel à la vie ? Sauront-ils s’arrêter pour apprendre à s’aimer ? Que veulent-ils tant contrôler ? Tant de questions… Combien de stress, d’énergie et d’argent sont dépensés pour se faire accroire que l’on prend soin de soi ? Mais au fait, c’est quoi prendre soin de soi ? Bonne question à explorer en gravissant Sinaï !
Jamais je n’aurais cru qu’un voyage aurait tant influencé ma destinée, m’ouvrant au bonheur.
L’Égypte fait partie des plus beaux cadeaux reçus au cours de ma vie. Soutenant ma quête, elle m’a nourrie de force et de liberté. Ses enseignements m’ont aidé à apprendre à m’aimer. Héritière en mon cœur de sa splendeur, elle s’est offerte pour le partage à autrui. Dans mes plaies, là où je souffrais sans comprendre, elle a déposé la paix. Le silence de son désert m’ouvre encore aux bruits de ma tête afin de préserver ma quiétude. Son éternel soleil fait briller en mes yeux le nectar de vie. Ces simples mots ne peuvent s’expliquer. Ils se vivent simplement !
Peut-être un jour, à votre tour, serez-vous les invités d’Isis ? Il est permis de rêver. « Ce n’était qu’un rêve ». J’y ai cru… et en devenir il se continue !
Voyage-atelier en ÉGYPTE
7 au 21 octobre 2011
Une rencontre qui vaut de l’Or ! Ainsi se présente le thème de l’enseignement.
Marcher sur les terres pharaoniques nous en apprendra plus que les livres, car cet atelier est un voyage vivant en soi.
Des vieilles connaissances sont demeurées présentes dans "les mémoires" de la terre. Dolores explorera avec vous les secrets anciens d’une civilisation pharaonique qui, de nos jours encore, y demeure vivante vibratoirement. Choisir, sans attente, de baigner dans ces lieux transforme la vision que l’on a de soi et de la Vie et guide avec sagesse vers le nouveau. Cette possibilité d’aventure au cœur de vous-même qui se présente à vous maintenant, n’est pas le fruit du hasard. Vous êtes à un passage nouveau de votre évolution personnelle…
Voyage initiatique ou l’Amour, la guérison, le partage, l’amitié sauront aider les participants à ouvrir davantage leur cœur. Ce voyage fortifiera vos "racines": l’ancrage personnel, nourrissant l’équilibre en vous.
Une descente exceptionnelle au cœur du temps, qui vous amènera au cœur de vous-même, dans cet espace en vous où la vie, la mort, l’Univers ne font qu’un. La lumière dorée de l’Égypte et les enseignements reçus favoriseront la clarté intérieure et activeront l’étincelle de Vie présente en chacun.
Les principaux sites et temples, dont celui d’Isis à Philae, ceux de Louxor, Karnak, Edfou…de la Vallée des Rois… Le Caire avec les pyramides de Gizeh et de Saqqarah, la beauté du Nil, le Mont Sinaï, les chameaux… sont à l’agenda. La vibration particulière des déserts et le Soleil lumineux en ces lieux énergétiques favoriseront l’accueil et l’intégration des enseignements transmis.
Méditation, rituels énergétiques, enseignements… et plus. Accompagnement respectueux de Dolores qui pour la septième fois marchera en ces terres pharaoniques, s’y sentant chez-elle… Peut-être vous aussi ?
De retour chez-vous, vous serez mieux nantis, afin de poursuivre votre quotidien. Davantage ancrés à la terre, il vous sera plus facile de décoder dans vos expériences personnelles, le chemin de l’Amour et du Bonheur.
Atelier LÂCHER PRISE
3 et 4 septembre 2011
Une bonne façon de prendre soin de vous cet automne!!
Faire naufrage ou LÂCHER PRISE ?
Dolores croît fermement que le lâcher prise devrait être enseigné à tous, dès le bas âge, voire même inclus dans les programmes éducatifs et scolaires. Lâcher prise n’a rien à voir avec négliger ou laisser aller. Au contraire, c’est apprendre à assouplir la rigidité mentale personnelle, pour mieux vivre chaque journée et favoriser une meilleure santé.
Lâcher prise aide à diminuer les tensions, le stress, la fatigue
et contribue à améliorer la qualité de vie.
Quittant le chapeau de directrice des soins infirmiers pour devenir auteure et conférencière, depuis elle a maintes fois dispensé ces enseignements suite à l’écriture de son premier livre en 1999 « Le temps de lâcher prise », lequel fut réédité en 2006. « Je vous invite à venir passer quelques heures avec moi, dit-elle, lors d’un séminaire de travail personnel en lequel je vous accompagne. Donnez-vous ce temps précieux pour apprendre à vous connaître, au-delà de ce que vous savez de vous.
Au début des années 90 alors que ma vie basculait, j’étais loin de me douter de tout ce que la vie me réservait de beau et de bon. Je ne comprenais pas nécessairement ce qui m’arrivait. Je suis devenue fatiguée. Ma vie a alors certes vacillé, moi aussi d’ailleurs… et ce fut le naufrage! Perdue, ne sachant pas nager dans cette mer inconnue, j’avais très peur et je me sentais seule. Je me considère aujourd’hui privilégiée de m’en être sortie avec un meilleur équilibre et d’avoir réinventé ma vie. Depuis, j’aide les autres à voir les pièges qui les mènent tout droit vers un iceberg. Je leur enseigne comment maîtriser la force de leur engin et comment utiliser leur navire en demeurant capitaine à bord ».
Quelques objectifs du séminaire :
– Permet d’approfondir la notion de lâcher prise.
– Aide à identifier ce à quoi vous avez de la difficulté à lâcher prise ainsi que certains blocages qui minent votre énergie.
– Fournit des outils pour y arriver.
-Favorise le développement d’une meilleure connaissance de vous-même par une approche psychoénergétique, spirituelle et corporelle.
Si vous vivez de l’angoisse, la peur de perdre, la peur du manque… Si vous êtes dépressif, en burnout, vivez une rupture, des relations difficiles personnelles ou au travail, apprendre à lâcher prise peut certes vous aider. Ce séminaire est offert aussi aux personnes qui ont le goût de comprendre pourquoi tel événement difficile s’est produit dans leur vie. Comment apprendre à en décoder les leçons ainsi que comment traverser les difficultés avec équilibre.
Il est facile d’appliquer ensuite ce que vous aurez appris au travail, à la maison et dans vos diverses activités. Vous ne pouvez contrôler la température, les ouragans, mais lorsqu’il se produit une tempête dans votre vie, comment vivre celle-ci avec un minimum de stress et d’anxiété?
ATELIER DE (2) JOURS : 3 et 4 septembre 2011, de 9:00 à 18:00.
Lieu : Institut Dolores Lamarre+
Coût : 295$ + Tx. Dépôt de 75$ confirme votre inscription. Places limitées.
· Une personne qui inscrit 3 autres personnes à l’atelier Lâcher Prise (donné à la même date), un rabais de 50% sera offert à cette personne sur cet atelier.
· Une personne qui inscrit 5 autres personnes ou plus au stage-atelier Lâcher Prise (donné à la même date), cette personne pourra suivre cet atelier gratuitement.
Créez vos groupes et recevez l’atelier en régions ou dans votre entreprise.
Faites parvenir votre chèque de 75$, fait au nom de l’Institut Dolores Lamarre+ à :
Institut Dolores Lamarre+
319, chemin Ozias-Leduc
Otterburn Park, Québec
J3H 4A7
Lecture facultative pour vous y préparer :
« LE TEMPS DE LÂCHER PRISE » (Best Seller) Éditions Quebecor
Grand Prix du Livre Montérégien 1999
Témoignages et profil détaillé: www.lacher-prise-comment.com.
Site web : www.institutdlplus.com
Informations : [email protected] ou Tél. 450-714-1275
A propos de l'auteur
