Claudia Rainville
Parfois le dérèglement de notre santé peut être l’occasion d’une remise en question de notre manière de vivre et c’est parfois ainsi que s’amorce, pour plusieurs personnes, une quête de connaissance de soi et un certain cheminement spirituel.
Jean-Luc en est un bon exemple. Jusqu’à l’âge de 52 ans Jean-Luc ne s’était jamais préoccupé de santé, ni physique, ni mentale, ni émotionnelle et encore moins spirituelle. Son intérêt était bien plus axé sur sa réussite professionnelle, jusqu’au jour où on lui apprit, suite à des examens, qu’il faisait un cancer de l’oesophage. Dans un premier temps, il accepte les médicaments et les traitements que lui proposa son médecin.
Après des mois de ce régime, sa situation semblait s’améliorer quand, une radiographie de ses poumons révéla un début de cancer au lobe supérieur gauche!
Jean-Luc eut peur que ce soit le début de la fin pour lui. Cette fois, il était prêt à écouter sa femme qui lui répétait que tant qu’il ne chercherait pas la cause, laquelle avait de bonnes chances d’être de nature émotionnelle, et tant qu’il n’y remédierait pas, sa maladie risquait de poursuivre ses ravages.
Ce fut pour Jean-Luc l’occasion de prendre conscience comment, depuis des années, il avait mis le couvercle sur ses émotions. Ce qu’il avait ravalé de colère et de chagrin, c’était son corps à présent qui l’exprimait par la « mal a dit » …!
Lors d’un voyage en République Dominicaine, j’étais assise à coté d’une jeune femme qui se mouchait sans arrêt. Elle me dit qu’elle avait débuté un rhume pendant le trajet la menant à l’aéroport. Sentant chez elle une certaine ouverture, je lui partageai qu’un rhume est souvent relié à un besoin de repos ou à un état confusionnel. Étonnée, elle me dit que c’était justement ce qu’elle vivait au moment de son départ. Elle venait de rompe une relation de couple de plusieurs années pour aller rejoindre l’amant qu’elle avait connu quelque temps auparavant. Et ne savais plus si elle avait fait un bon choix.
Être à l’écoute de ces messages qui affectent notre santé, c’est faire des pas sur la voie de l’Éveil de notre conscience.
Toutefois s’il peut-être facile de faire des rapprochements entre un rhume et un besoin de repos ou un état de confusion, il en va autrement lorsqu’il s’agit de faire le rapport entre une affection grave et ce que nous vivons ou avons vécu. Pour la plupart d’entre nous, nous avons bien plus appris à faire taire ces messages ou ces signaux en avalant un ou des médicaments pour faire cesser la douleur que de chercher à en comprendre l’origine.
Cependant faire disparaître ces signaux sans en chercher l’information correspondante revient à faire taire l’alarme d’un détecteur de fumée qui a décelé la présence d’un foyer d’incendie. Faire fi de cette alarme, c’est risquer de se retrouver au cœur d’un brasier.
Ce qui ne signifie pas pour autant qu’il faille se refuser le médicament qui pourrait nous soulager. Cela suppose de ne pas rechercher uniquement l’effacement de la douleur ou la disparition des symptômes, mais également l’élément qui a pu leur donner naissance.
Récemment un ami m’écrivait pour me raconter ce qui s’était passé pour lui depuis notre dernière rencontre qui remontait à quelques années. Je l’avais connu au cours de l’un de mes séminaires. Il était venu davantage pour accompagner sa femme que pour lui-même. Donald considérait qu’il n’avait pas de problème. Il réussissait bien dans la vie, il était heureux dans son emploi, dans sa relation de couple et il se sentait comblé avec ses deux enfants.
Dans sa lettre, il me disait qu’on lui avait proposé un poste très important à Madagascar. Sa femme l’avait encouragé à accepter cette promotion. Toute la petite famille était donc partie pour ce qui devait être une belle aventure de quelques années.
Or voilà qu’après seulement quelques mois dans ce nouveau pays, Donald eut un accident à l’œil droit qui lui valut trois interventions chirurgicales pour tenter de lui recoller la rétine qui, dans cet accident, fut presque entièrement détachée!
Donald mit cela sur le compte d’une malchance et poursuivit ses activités à Madagascar. Au moment où il m’écrivit, il me disait que la semaine précédente, il avait rencontré son médecin pour une visite de contrôle car il sentait une petite masse sur la partie gauche de son abdomen. Après lui avoir fait passer une batterie de test, on découvrit qu’il s’agissait en fait, d’une tumeur maligne qui était logée entre sa hanche gauche et son intestin. Cette nouvelle inattendue les laissa, lui et sa femme, en état de choc…!
Il m’écrivait qu’il avait l’intention de continuer à vivre et pour se faire, il était prêt à se battre pour retrouver sa santé. Il me demandait comment il pouvait utiliser son mental au maximum pour y arriver. Je lui répondit qu’il avait le choix entre voir cette situation comme une lutte à mener ou une occasion de progresser sur la voie de son évolution. Je l’invitai également à reconstituer l’histoire des différents événements qui auraient pu lui faire vivre des émotions avant son départ pour Madagascar et pendant son séjour là-bas.
Il me répondit qu’avant son départ, pendant une discussion avec deux directeurs de la firme pour laquelle il travaillait, il ne s’était pas senti apprécié à sa juste valeur. De plus, au cours de la formation offerte aux participants de ce projet de développement à Madagascar, il s’était senti inférieur aux autres membres qui eux, avaient déjà occupé des postes de responsabilité à l’étranger alors que pour lui, c’était sa première expérience. Puis, en poste à Madagascar, il avait l’impression de ne pas être suffisamment compétent, bien que les premiers mois s’étaient bien passés. C’est du moins, ce qu’il croyait que pensait son directeur, bien que ce dernier ne lui ait jamais rien dit de tel. Aussi, bien que sa femme et sa fille s’étaient très bien adaptées à cette nouvelle vie, son fils ne cessait de lui demander quand ils allaient repartir au Québec…
La cause peut parfois relever d’une histoire ancienne. Elle peut être en lien avec des sentiments qui nous habitent depuis notre plus tendre enfance et dont nous ne sommes pas conscients. Ces sentiments non favorables peuvent aller à l’encontre de la voie de notre évolution.
Comprendre cette histoire, intégrer la ou les leçons qui s’y rattachent, voilà ce qui va nous permettre d’avancer sur la voie de notre évolution.
L’histoire de la tumeur maligne de Donald avait des résonances avec son enfance. Son père était un homme très exigeant. Donald avait le sentiment qu’il n’arriverait jamais à être à la hauteur de ses attentes. Il aurait tellement voulu que son père soit fier de lui, ne serait-ce que pour avoir le sentiment d’exister pour lui!
Devenu adulte, Donald faisait tout pour plaire à ses patrons, à sa femme, à ses enfants et ce, dans le but d’être reconnu et apprécié. Lui, cependant ne s’était jamais reconnu à sa juste valeur d’où, ce sentiment de dévalorisation et cette crainte permanente de ne pas être suffisamment compétent et ce, même s’il occupait une fonction très respectable et même enviable.
L’accident à son œil était l’occasion de se demander: « Qu’est ce que je ne veux pas voir? » Ce qu’il ne se demanda pas… Il ne voyait pas dans quelle impasse ce besoin de plaire à tout le monde le plaçait.
En acceptant ce poste à Madagascar, il avait voulu démontrer ses capacités à ses patrons et se prouver à lui-même qu’il avait de la valeur mais en même temps, il vivait continuellement avec la peur au ventre de ne pas être à la hauteur de ce qu’on attendait de lui. De plus, il se sentait coupable qu’à cause de son choix, son fils soit malheureux!
Il est intéressant de constater que sa tumeur affectait l’os de sa hanche gauche et les muscles de sa paroi abdominale. Les os représentent les structures, l’autorité (son père), les muscles de la paroi abdominale représentent notre émotivité puisque cette zone correspond au chakra solaire ou centre des émotions (sa peur au ventre de ne pas être à la hauteur et sa culpabilité vis-à-vis de son fils).
Il était temps pour Donald de prendre conscience comment cette attitude de « vouloir plaire à tout le monde » le gardait continuellement dans la peur et la culpabilité. En en prenant conscience et en transformant cette attitude, cela lui permettait de se libérer de ce qui était une entrave à son évolution.
Nous pouvons, tout comme Donald, nous servir de nos affections comme une occasion de grandir sur la voie de notre évolution. Ainsi, notre santé peut devenir le baromètre de notre évolution!
L’importance de reconstituer l’histoire de sa maladie ou de ce que le mal a dit
A l’âge de 27 ans, je développai un cancer du col utérin. À cette époque je travaillais en microbiologie médicale. Mon raisonnement cartésien emprunté à ma discipline professionnelle m’écartait de l’idée que l’on puisse développer la maladie et de surcroît, un cancer, par nos schèmes de pensées et nos émotions. Je subis donc une intervention chirurgicale et des traitements de cryothérapie afin de détruire les cellules cancéreuses et de freiner leur propagation. Suite à ces traitements, je formai de multiples adhérences unissant, dans une masse, mes organes génitaux à mes intestins. Les médecins me proposèrent une hystérectomie totale, me disant que de toute façon je ne pourrais pas avoir d’autres enfants. Me trouvant trop jeune et souhaitant de tout mon coeur la venue d’un autre enfant je m’y opposai, préférant supporter les douleurs qui me clouaient au lit avant l’apparition de mes règles.
Au-delà de mes espérances, et à la surprise de mes médecins traitants, je devins enceinte. Après la naissance de mon fils, on me retira toute cette masse d’adhérence. Par la suite tout entra dans l’ordre. Je n’eus plus aucune trace de cellules cancéreuses et plus aucune douleur pré-menstruelle. Je crus que ma guérison relevait de l’excellente intervention du chirurgien qui m’avait opérée.
Voilà que quatre ans et demi plus tard, je fis face à une seconde séparation. Dans la semaine qui suivit, les symptômes précurseurs du cancer du col (saignements entre les règles, douleurs abdominales) revinrent avec intensité.
Cette période correspondait au début de mes recherches sur la cause des malaises et des maladies. En reconstituant l’histoire de ce j’avais vécu avant l’apparition de ce cancer du col et des symptômes qui m’affectaient, je pris conscience que dans les deux cas, cela faisait suite à une séparation.
Je me rappelai alors qu’avant l’apparition de mes tous premiers symptômes, il y avait eu un événement particulier qui s’était produit. J’étais chez ma mère, nous regardions toutes les deux ma fille dormir. Ma mère me dit comme dans un reproche: « Moi, je me suis sacrifiée toute ma vie pour mes enfants ». Je lui répondis : « Moi, je ne voudrais jamais dire une telle chose à ma fille plus tard ». En y repensant je réalisai que je lui répondis cela parce que je me sentais coupable, coupable qu’elle ait sacrifié une grande partie de sa vie pour moi, et coupable de priver ma fille de son père par le choix que j avais fait de le quitter.
Suite à cette prise de conscience, je compris pourquoi après la naissance de mon fils les douleurs et le cancer avaient complètement disparus. C’est que j’avais recréé un nouveau foyer pour ma fille avec un papa et un petit frère et de ce fait, je ne me sentais plus coupable d’avoir brisé mon foyer (l’utérus représente le foyer).
En me libérant totalement de cette culpabilité vis-à-vis de ma mère et de mes enfants, en acceptant que pour ma mère « aimer égalait à se sacrifier » et que mes enfants avaient à apprendre à se détacher, comme moi-même j’avais eu à l’apprendre, je retrouvai ma paix d’esprit et les symptômes disparurent complètement pour ne plus réapparaître.
Mais des années plus tard, j’eus à affronter un nouveau cancer: celui du sein. Cette fois mes connaissances en Métamédecine me permirent d’éviter la chirurgie et son cortège de traitements. Ce cancer débuta après un conflit magistral où mon époux prit la décision de me quitter. J’en étais à une seconde union et je m’étais bien promis que si je devais me remarier ce ne serait pas pour me séparer. Je vivai ce départ comme un échec en plus d’être habitée par un sentiment de dévalorisation et une perte de goût de vivre. Je me sentais désemparée, c’était comme si tout mon univers s’effondrait. Dans les jours qui suivirent, je ressentis de vives douleurs au sein gauche qui s’intensifièrent de jour en jour, à un tel point que je ne pouvais plus dormir sur la côte gauche. Je vis mon mamelon se déformer et mon sein prendre une coloration anormale. Je fis appel à une amie thérapeute, qui me fit des traitements d’énergie (elle ne pouvait s’approcher de mon sein à plus d’un mètre tant mon champ énergétique lui créait des sensations de brûlure aux mains). À un moment au cours du traitement cette thérapeute me dit: Claudia, pourquoi est-ce si important pour toi qu’un homme fasse attention à toi ? J’entend dans ta souffrance: « Papa pose tes yeux sur moi pour que je puisse vivre. » À ces mots je fus envahie d’une telle émotion que je n’arrivais plus à respirer adéquatement. Comment expliquer une telle émotion, j’avais toujours cru que je n’avais vu mon père qu’au moment de son décès dans son cercueil?
Par la suite je suis allée retrouver ma mère afin de m’enquérir si j’aurais pu avoir déjà vu mon père avant son décès. C’est alors qu’elle me raconta qu’effectivement quand j’avais sept mois il était venu à la maison. Il voulait que ma mère revienne avec lui ce qu’elle ne voulait pour rien au monde. Elle me raconta que je marchais à quatre pattes et que je me trainai vers lui tendant mes petits bras. Il tourna les talons et partit en claquant la porte. C’est cette petite fille de sept mois qui avait ressenti ce total abandon de son papa, c’est elle qui aurait voulu lui dire: « Papa pose tes yeux sur moi pour que je puisse vivre. » C’est donc cette petite fille en moi qui de nouveau n’avait plus le goût de vivre parce que l’homme qui avait tant d’importance pour elle ne voulait plus d’elle. C’est cette petite fille qu’il me fallait aller réconforter, aller lui dire que son papa ne pouvait pas l’accueillir car lui même se sentait abandonné de la femme qu’il aimait. Il fallait que je lui dise que moi, Claudia l’adulte, j’allais poser mes yeux sur elle, que moi je ne l’abandonnerais jamais même si tous les autres la délaissaient. Je l’aidai à reprendre goût à la vie, à avoir encore des rêves et des projets. Je devins pour elle à la fois la maman qu’elle aurait tellement eu besoin et le papa qu’elle n’avait pas eu.
Suite à ce travail de libération de cette émotion bien enregistrée dans ma mémoire émotionnelle j’assistai à la guérison de mon sein. De plus ayant rassuré la petite fille en moi qui vivait continuellement dans la crainte de ne plus compter pour l’homme qu’elle aimait, elle délaissa ses attitudes vindicatives et étouffantes qui nuisaient à l’épanouissement d’une relation saine.
Cette affliction m’avait ainsi conduite à une prise de conscience très importante des comportements qui nuisaient à ma relation de couple et mon bien être.
COMPRENDRE AU-DELÀ DES MAUX
Il ne faut pas en conclure trop rapidement que tous les maux ont nécessairement une origine émotionnelle. Bien entendu il peut y avoir, des causes physiques. Il y a des agents cancérigènes, mais les agents eux-mêmes ne sont pas tout, il faut également tenir compte du milieu physique ou psychologique. Nous n’avons qu’à penser à la tragédie de Chernobyl où le milieu physique fit que des individus furent soumis à de fortes doses de radiations nucléaires. Cela eut comme conséquence le développement de cancer chez beaucoup de personnes exposées, ainsi que des anomalies des gênes créant des malformations chez les enfants à venir.
Le milieu psychologique concerne l’état d’esprit qui nous habite. Par exemple, on dit que la cigarette peut causer la cancer. Mais pourquoi des gens ayant fumé toute leur vie ne développent-ils pas de cancer alors que d’autres auront un cancer des bronches, des poumons, du larynx ou des os?
On pourrait s’interroger sur le milieu psychologique des uns par rapport aux autres. Si chaque fois qu’une personne vit une émotion ou un chagrin elle s’empresse de se consoler avec une cigarette, l’apparition du cancer peut être davantage le débordement de toutes ses émotions refoulées que le simple contact avec l’agent cancérigène.
Nous vivons dans un environnement rempli d’agents cancérigènes. Qu’il s’agisse de l’air que l’on respire ou de la nourriture que l’on consomme, notre organisme possède la capacité de s’adapter à ces agents. C’est lorsque son milieu intérieur devient perturbé que cette capacité d’adaptation s’en trouve altérée, que le terrain devient propice au développement de la maladie.
LA MISE EN SCÈNE D’UNE GUÉRISON: ÉCOUTER CE QUE LE MAL A DIT
Les histoires de vie peuvent être très différentes d’une personne à l’autre, mais dans tous les cas de cancer, on aurait intérêt à rechercher la présence d’un sentiment de culpabilité, de dévalorisation, d’un profond découragement avec perte de goût de vivre ou le désir de vouloir culpabiliser la personne que l’on tient responsable de sa souffrance.
Que s’était-il passé avant l’apparition des premiers symptômes? Y a-t-il eu un choc émotionnel, une situation déstabilisante ou une situation de souffrance dont on ne voyait pas d’issue possible?
Quand on prend conscience que la maladie n’apparaît pas sans raison et qu’en comprenant la cause de nos malaises ou de notre maladie, on peut s’en libérer, on ne la craint plus.
Après avoir reconstitué l’histoire de sa maladie, il faut ensuite chercher des solutions au conflit intérieur que nous avons vécu afin de se libérer de la fréquence vibratoire à laquelle on s’était syntonisé par les sentiments ou émotions qui nous habitaient.
Loin de moi l’idée de recommander aux femmes qui souffrent d’un cancer de rejeter les soins d’un médecin ou les traitements offerts par la médecine traditionnelle. Ce que je dis, c’est qu’il faut aller plus loin que la manifestation elle-même. C’est d’ailleurs ce que le préfixe « méta » du mot Métamédecine signifie : aller au-delà. Il faut rechercher ce qui se cache sous la manifestation, ce qu’il y a dans l’histoire de la personne affectée d’un cancer, retrouver la cause émotionnelle et aider la personne à libérer l’émotion perturbatrice.
De plus, il faut se rappeler que toute situation émotionnelle que nous vivons renferme une leçon qu’il nous faut intégrer dans notre évolution. La maladie peut être une merveilleuse occasion de les intégrer, si nous savons en tirer profit.
Je n’ai pas la prétention de croire que mon approche soit la seule valable, mais je suis persuadée qu’elle peut contribuer à une action plus efficace dans toutes les disciplines de la santé.
Puisse médecin, homéopathe, acupuncteur, réflexologue, psychologue, psychothérapeute se donner la main au profit d’un mieux-être individuel et collectif. Cela suppose, de reconnaître ses différences, de les accepter en étant également prêt à perdre l’amour du pouvoir pour que grandisse le pouvoir de l’amour.
Pour approfondir l’approche de Claudia Rainville, le lecteur pourra se procurer les livres « Métamédecine La guérison à votre portée » ainsi que « Métamédecine des relations affectives Guérir de son passé » aux Éditions FRJ distribué en France par DG diffusion – tél. 05.61.000.999
Pour en savoir plus sur l’auteur, nous vous invitons à consulter sa fiche sur Alchymed.