Dominique De Backer
Focus 1, c’est l’état de veille. Focus 10 : l’esprit est éveillé et le corps endormi. Focus 15 : le sens du temps est perdu. Focus 21 : c’est l’accès aux réalités non physiques. Focus 22 : c’est l’état d’accès à des réalités non perçues en état habituel.
Se basant sur le rêve lucide et la synchronisation des hémisphères cérébraux, la Synchrothérapie permet au patient de vivre à la fois l’émotionnel et la gestion, la pensée analytique et créatrice, la notion d’espace, de temps et d’intemporel.
En synchrothérapie, le travail thérapeutique s’effectue sans douleur, d’autant plus confortablement que les neurotransmetteurs cérébraux se stabilisent et que sérotonine et endorphines se rééquilibrent.
Au cours d’une séance de Synchrothérapie, le rêveur, en état proche du rêve lucide, est en pleine possession de ses facultés cognitives. Il raisonne clairement et se souvient de sa vie de veille tout en étant profondément endormi et en vivant intensément dans un monde onirique qu’il sait être imaginaire et qu’il transforme à son gré.
En Synchrothérapie, le patient regarde les images affluer naturellement de son rêve et travaille à son propre rythme. Le thérapeute le suit et applique l’analyse transactionnelle, l’hypnose éricksonienne, l’analyse jungienne, la PNL…afin de solliciter les ressources réparatrices de l’inconscient du patient.
Contrairement aux images obtenues en visualisation classique, images qui sont le fruit d’efforts conscients et finissent par renforcer les scénarios qu’on voulait effacer, en Synchrothérapie, les images traitées, reconstruites, rééquilibrées, sont celles que l’inconscient lui-même propose.
La première partie d’un travail en Synchrothérapie est constituée par la réparation des cycles de l’identité. Du stade prénatal à l’âge adulte, ceux-ci nous structurent, nous donnent les ressources nécessaires à notre survie biologique, notre bon fonctionnement psychique, mental et créent notre réalité individuelle.
Sur le plan biologique, le cerveau ne fait aucune distinction entre la réalité et les images virtuelles créées consciemment. Ainsi les images transformées modifient efficacement les informations que le patient utilisera dans son quotidien.
Il ne s’agit pas d’un lavage de cerveau ni d’une séance thérapeutique douloureuse : le patient modifie en douceur sa mémoire douloureuse tout en conservant l’expérience et le souvenir de l’événement qui en est la cause.
Pour en savoir plus sur l’auteur, nous vous invitons à consulter sa fiche sur Alchymed.