Vous êtes ici: Accueil » ARTICLES » Soins Esseniens

Soins Esseniens

Il y a bien des années lorsque j’ai commencé mes premières expériences de décorporation ou sorties hors du corps, j’étais loin de me rendre compte des implications d’une telle aventure et de la responsabilité due à cette capacité.

Sur le plan thérapeutique ces voyages dans les plans subtils* m’ont permis entre autre, de redécouvrir une vie de thérapeute essénienne proche du maître Jésus** et de me remémorer les soins que je donnais alors et qui m’avaient été enseignés par les plus grands maîtres de l’époque.

Les esséniens avaient pour particularité d’être reconnus pour leurs qualités de soignants car ils avaient la connaissance approfondie de l’anatomie physique et surtout de l’anatomie subtile de l’être humain.

Aujourd’hui encore, je considère que leur approche de la maladie et des thérapies utilisées est  l’une des plus futuristes qui soient.

En effet, les soins Esséniens tiennent compte de la globalité de l’être humain et leurs thérapeutes vont à la cause du « problème » afin d’en extraire la racine. Ce n’est plus un baume que l’on pose sur une plaie et qui adoucit momentanément la souffrance mais plutôt une opération alchimique transmutatrice de l’ombre en Lumière.

Tenir compte de la globalité de l’être humain est commun à de nombreuses thérapies alternatives et ce n’est pas en ce sens que se singularise le soin essénien.

Pour mieux comprendre ce type de soin je vais revenir à son origine. Ce que j’appelle aujourd’hui « soins essénien » est en fait bien plus lointain que l’époque de Jésus il y a 2000 ans.Les soins dits «  Esséniens » étaient aussi connus des thérapeutes Egyptiens et venaient d’une époque plus lointaine encore : celle de l’Atlantide où ces soins par la Lumière et par le son étaient déjà pratiqués. Quant aux peuples Atlantes, il est désormais connu, dans les milieux informés, qu’ils avaient des contacts avec les peuples des étoiles.

Ce type de thérapie s’est par la suite enrichi du savoir des peuples de l’Inde et de l’Asie (ce qui explique certains des termes utilisés)dans l’ouvrage « lecture d’auras et soins ésséniens ».

Ce type de thérapie a été enseigné il y a bien longtemps sur terre dans plusieurs endroits de la planète. C’est ainsi que nous retrouvons des analogies avec des soins pratiqués par les Indiens Hopis, par les thérapeutes mayas ou encore par les aborigènes australiens…et d’autres encore, chacun adaptant cet enseignement à sa culture, à son époque et à ses besoins.

En fait le soin essénien ne demande rien d’autre que d’être à disposition de l’énergie curative capable de passer par notre voix, notre regard, nos mains. Et lorsque je dis « rien d’autre » c’est en fait beaucoup ,peut-être Tout.et   moins simple qu’il n’y paraît.

Souvent il m’a été dit par des stagiaires : « pourquoi apprendre tant de gestes aussi précis, pourquoi connaître l’anatomie physique et subtile alors qu’un simple regard devrait, comme le faisait maître Jésus, suffire à guérir… ».

C’est oublier que pour en arriver à la maîtrise d’un instrument, il y a des heures et des heures de gammes et de « travail » qui font qu’un jour, comme le virtuose, le thérapeute peut enfin laisser place à son Intuition Supérieure.

L’objectif majeur de notre pratique est le suivant :
    -L’apprenti-thérapeute apprend avec l’aide du mental Supérieur les règles des thérapies ésséniennes afin d’acquérir des bases solides puis,
– il intègre les soins jusqu’à les pratiquer comme un art
–  enfin il devient le Soin, ce qui signifie que le soin n’est plus extérieur à lui
– L’ ultime phase de sa transformation sera un jour de ne plus « utiliser le son » mais de devenir le Son.

A cet instant, il n’y a plus qu’une seule et même énergie curative où s’unit le Tout et qui telle la Pierre Philosophale des alchimistes, transmute le Plomb de nos cellules malades en Or de guérison.
C’est toute la différence entre le bon technicien et le virtuose. La technique s’apprend et sert de base alors que, pour devenir maître dans l’art de soigner, il n’est plus question de comprendre ou d’apprendre mais d’Etre ou de redevenir ce que nous sommes tous au fond de nous, des êtres de Lumière en quête de notre Soleil intérieur. Et pour cela de Vie en Vie la quête continue…

 Certains lecteurs se demandent parfois si la lecture de l’aura est indispensable à la pratique de ces soins ?
C’est un fait cependant, la lecture des corps subtils peut s’apprendre jusqu’à un certain point. Prenons un exemple de la vie quotidienne :Tout le monde avec un peu de pratique peut monter sur un vélo pourtant, nous ne sommes pas tous des champions de cyclisme. De même nous pouvons esquisser des pas de danse sans devenir des danseurs professionnels.
L’apprentissage d’une thérapie telle que celle que nous enseignons demande de la patience, de la régularité et de la persévérance. Ce n’est pas parce que nous opérons sur des plans subtils que tout est inné et que nous pouvons nous fier à notre unique intuition. Là encore, l’intuition du débutant enthousiaste est souvent entaché par son imagination que peu à peu l’entraînement va stabiliser et éclairer d’une lumière nouvelle.

La lecture d’aura est un excellent outil de diagnostic qui permet de lire la carte de voyage de l’être qui demande de l’aide sur les divers plans de son âme.et de répondre à ces questions :
-Pourquoi telle maladie ?
-quelle en est l’une des origines ?
 -comment trouver la clé de la reconstruction ?

Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, ce n’est pas un phénomène de voyance et d’autres méthodes de diagnostic peuvent entrer en ligne de compte pour un lecteur momentanément en difficulté.
Le soin essénien a toute fois une exigence : une participation des deux parties est nécessaire et fait partie de la guérison car seul, le thérapeute ne guérit pas, il apporte les éléments de reconstruction qui vont permettre à celui ou celle qui en fait la demande de se « guérir lui-même ». Dans les termes d’aujourd’hui, nous pourrions parler d’auto-guérison.

C’est à la fois impliquant et sans concession pour ceux qui imbus de pouvoir pensent, même de manière subtile, jouer le rôle de « sauveurs ».
Nos soins ne demandent pas des qualités de « sauveurs » mais bien plus que cela, des qualités de cœur tout à fait humaines et sans doute est-ce là que se situe la plus grande difficulté.

La LUMIERE et le SON qui font partie intégrante de cette thérapie ont pour unique transmetteur le Coeur
Et pour cela il n’y a aucune recette ni technique sinon celle de ne pas oublier parmi toutes les sollicitudes de la vie quotidienne ce pourquoi nous sommes tous là :

Pour mettre un peu plus de Lumière au quotidien afin de lui redonner sa dimension véritable et magique qui fait que « l’impossible est une absurdité et que seul le beau fait partie intégrante de notre Essence ».

Anne Givaudan

A propos de l'auteur

Alchymed réunit des centaines de spécialistes oeuvrant dans le domaine du développement personnel, des thérapies alternatives, des médecines douces, pour la santé et le bien-être global de ...

Nombre d'entrées : 4140

© 2016 Copyright - Les Productions Alchymed inc.

Retour en haut de la page