Mon ami Royal
Le collège des médecins des États-Unis (et l’industrie du médicament) ont vite réagi à ces découvertes révolutionnaires. Ils les ont rejetées massivement et ont utilisé toutes sortes de manigances afin que personne n’en entende plus parler. Aujourd’hui grâce à Internet, ce qui était encore possible il n’y a pas si longtemps ne l’est plus aujourd’hui : la flamme a été ravivée et n’est pas près de s’éteindre…
Dans de précédentes chroniques nous avons expliqué le contexte des découvertes de l’électrothérapie dont l’origine remonte à l’époque romaine, avec les recherches du Pr. D’Arsonval, Lakhovski, Tesla, etc. Dans les années 1920, Georges Lakhovski émit l’hypothèse que la cellule vivante captait et émettait de l’énergie. Il construisit des machines très simples basées sur la génération de courants électriques à haute fréquence, dont Nikola Tesla et le Dr Arsène D’Arsonval avaient avant lui soupçonné l’intérêt thérapeutique. Ces recherches et observations qui ont eu lieu en Europe et à New York sont à mettre en parallèle avec celles du Dr Royal Rife, qui à la même époque, sur la côte ouest, s’est intéressé à l’usage thérapeutique des fréquences, pour détruire virus et bactéries. Cela se passait dans un laboratoire à La Jolla, en Californie.
Sur Lakhovski voir :
https://alchymed.com/articles.asp?id_article=1154
https://alchymed.com/articles.asp?id_article=1183
Le Dr Royal Raymond Rife a étudié la médecine à l’université John Hopkins de Baltimore. Passionné par l’optique, il a travaillé pour le gouvernement des USA et partit étudier en Allemagne auprès de Carl Zeiss, le fondateur de la firme qui porte le même nom. Il a ensuite inventé un nouveau type de microscope et entre 1920 et 1938, il en construisit cinq. Le plus performant d’entre eux, appelé ” Microscope Universel “, avait définition et agrandissement exceptionnels (60 000X d’agrandissement et 30 000 diamètres de résolution) et se composait d’un assemblage d’environ 6000 pièces. Grâce à ces outils, il put observer des virus vivants, micro-organismes et cultures cellulaires. Rife n’a jamais donné les plans exacts de ses microscopes ni leur mode d’emploi. Il utilisait des lentilles spéciales dont certaines qu’il fabriquait lui-même, ainsi que des prismes en quartz permettant de diriger subtilement la lumière. Grâce à l’utilisation d’un signal hétérodyne dans l’ultraviolet dont l’interférence permettait l’observation dans le spectre visible, Rife a pu obtenir des images dépassant les limites théoriques de la microscopie optique. Il inventa aussi un micro-dissecteur et un micro-manipulateur.
Le Dr Rife voulait trouver la cause des maladies en observant comment elles se développaient. Après avoir isolé et filtré divers pathogènes, il conçut l’idée qu’il serait possible de créer des fréquences électroniques capables d’entrer en parfaite cohérence ou résonance avec eux et ainsi de pouvoir les dévitaliser. Le premier générateur de fréquences (Rife Ray Machine) a été conçu en 1920 et depuis lors, n’a cessé d’être amélioré grâce aux progrès de la technique. Avec cet appareil à fréquences, aucun tissu sain n’est détruit, aucune douleur ni sensation n’est ressentie. C’est ainsi qu’il prétendit guérir cancer, maladies virales, bactériennes et fongiques. Cette machine avait apparemment la propriété de détruire par effet de résonance de nombreux micro-organismes et guérir des maladies graves. Ces fréquences thérapeutiques ont été baptisées par Rife : Mortal Oscillation Rate. Ces prétentions n’ont pas manqué d’attirer l’attention des autorités médicales et pharmaceutiques. Des règlements ont été émis afin d’interdire ce genre de traitement et tout médecin les utilisant verrait sa licence suspendue… Rife est mort en 1971 dans l’oubli, non sans avoir été poursuivi à maintes reprises…
Mode de fonctionnement
La Rife Ray Machine est en générateur de fréquences radio émettant à travers un tube de décharge à plasma (sorte de grosse lampe sous vide dont des gaz nobles sont ionisés par les fréquences électriques). La puissance était calibrée entre 100 et 150 watts avec des fréquences étalonnées entre 3,1 et 35 MHz. Des fréquences audibles étaient aussi utilisées (exemple : 120 Hz, 728 Hz, 784 Hz, etc.)
Il est intéressant de signaler que sur la côte ouest des États-Unis, un autre médecin, le Dr Albert Abrams, a fait d’autres recherches précédant celles de Rife et complémentaires à celles-ci. Et il est fort probable que le Dr Rife s’en soit inspiré. En 1920, le Dr Albert Abrams déclara que toutes les substances émettaient des vibrations ” électroniques ” pouvant être détectées et mesurées.
Albert Abrams (1863-1924) est allé étudier la médecine à Heidelberg en Allemagne, grâce à la fortune de son père dont il hérita. C’est là qu’il put étudier notamment avec le physicien Hermann von Helmholtz (1821-1894). Rappelons qu’Helmholtz, spécialisé en physique mathématique et acoustique, est l’inventeur des fameux résonateurs qui lui ont permis d’établir sa théorie de la résonance et défendre l’usage des séries harmoniques de Joseph Fourier (1768-1830).
Lors de vacances en Italie, Albert Abrams a aussi rencontré le grand ténor Enrico Caruso et fut témoin lors d’une réception, de la démonstration éloquente du principe de résonance. L’artiste saisit un verre en cristal, le fit résonner grâce à une pichenette afin d’en connaître la note, puis émis la même fréquence avec sa voix légendaire en augmentant progressivement l’amplitude du son jusqu’à ce que le verre se brise. Rappelons que les grands ténors ou cantatrices peuvent émettre des sons dont l’intensité peut atteindre 130-140 dB à un mètre.
Pour le Dr Abrams, un organe en santé ou malade émettait une vibration caractéristique et chaque maladie a sa propre vibration. Il pensait qu’il était possible, en considérant les lois de résonance qu’il connaissait, de les appliquer à la médecine. Naturellement ses théories n’ont pas été acceptées par le monde médical. Par contre, les recherches actuelles en nanotechnologie permettent de donner plus de poids aux théories du Dr Abrams. Nous faisons allusion ici aux recherches du Dr James Gimzewski (Université de Californie à Los Angeles) qui est arrivé à écouter le son des cellules saines et malades et de mettre en évidence leur différence de vibration (mars 2004). Grâce à un microscope à effet tunnel qu’il a construit lui-même, il a pu capter et amplifier le son des cellules.
Il est maintenant démontré hors de tout doute que les cellules émettent des fréquences (probablement dues à l’activité intracellulaire des moteurs moléculaires et à leur activité nanomécanique au sein de la cellule vivante) et qu’il est possible de rendre ces fréquences audibles. Les nouvelles recherches dans le domaine de la nanotechnologie permettent d’envisager dans un proche futur le diagnostic cellulaire en écoutant le son des cellules grâce au microscope à effet tunnel et cette technique est en cours d’application en oncologie (UCLA) : une cellule saine, malade ou cancéreuse n’émet pas le même signal.
La liste de scientifiques et de chercheurs qui ont apporté au monde leurs découvertes ou leurs théories et que la société n’a pas toléré est trop longue pour être citée ici. Rappelez-vous : Giordano Bruno (brûlé vif à Rome en 1600 parce qu’il affirmait que dans l’univers infini d’autres êtres existaient), Galilée (disait que la terre tournait)… plus près de nous : Antoine Béchamp (opposé à Pasteur), Nikola Tesla (l’énergie libre), Antoine Prioré (et ses ondes qui est arrivé à peu près aux mêmes conclusions que Rife), Mirko Beljanski (remède non toxique contre le cancer), le Dr Jacques Benveniste (l’eau qui se souvient)… Quand le médecin hongrois Ignaz Semmelweiss demanda en 1847 que ses collègues de l’hôpital de Vienne se lavent les mains entre chaque patient qu’ils soignaient, on a rit de ses théories. Il dut quitter vienne pour aller exercer à Budapest où ses théories ont été acceptées…
Un jour le nom de Royal Raymond Rife sera réellement reconnu ainsi que sa contribution à faire avancer la science et la médecine. En attendant cela, il est possible d’utiliser ces découvertes pour soi ou pour son animal favori (l’usage individuel ou vétérinaire des fréquences thérapeutiques est parfaitement légal). Il existe de nombreux sites Internet permettant de se documenter. La médecine de demain sera basée sur la physique et sur la découverte prochaine des principes scientifiques de ce qu’on appelle la médecine vibratoire ou énergétique à laquelle se rattache la sonologie.
© 2005 Emmanuel COMTE
Pour en savoir plus : www.medson.net
16-17-18 décembre 2005 Atelier du Solstice à Montréal
avec Emmanuel Comte, Sonologue.
Vendredi 16 décembre 2005 : Veillée de méditation et d’harmonisation sonore (spiritual healing, prière)
Coût : 10$.
Lieu : Studio Shamanika, 501, rue Duluth Est, Montréal
De 19:30 à 21h.
Réservation obligatoire (450) 532-4831 [email protected]
Samedi-Dimanche 19 et 20 novembre 2005 : Atelier Sons et Vibrations thérapeutiques
Programme :
NB. Cet atelier de Toucher par les Sons est une introduction à la
dimension vibratoire et harmonique de la vie, grâce à l’expérience de la science des
sons harmoniques. Nous allons sentir les vibrations harmoniques vibrer dans notre
corps-instrument et nous réaliser dans notre dimension de per-sonnes. Cet atelier est
ouvert à tous et à toutes!
Sonologie : principes de base
La respiration profonde – techniques de respiration énergétique.
Approche scientifique et spirituelle des vibrations sonores.
Résonance et cymatique.
Ressenti et résonance des sons dans le corps humain (toning, sounding).
Homophonie et symphonie : le chant énergétique de groupe.
Le chant improvisé à l’origine du chant sacré !
Le chant des voyelles
Le chant harmonique.
Sons et Mandalas.
Et plus…
Lieu : Studio Shamanika, 501, rue Duluth Est, Montréal
Horaire : 9-17h. (2 jours)
Coût : 240$/pers. (taxes incluses)
Renseignements : (450) 532-4831 [email protected]
Inscriptions : www.medson.net
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