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Anesthésié par le travail…

À ceux que mes mots rejoindront, puisses ceux-ci être dans votre bas de Noël, le plus beau cadeau à vous offrir.

9h30 le matin…Un mercredi matin… En plein milieu de semaine…

Au moment ou habituellement je suis active au travail, répondant au courriel d’une personne souffrante ou à celui d’une autre qui a besoin d’un coaching de son enseignante. Ce qui est légitime et encouragé d’ailleurs.

Je suis à ce moment de la journée où j’écoute, impuissante, celle qui a perdu son fils et qui me crie, désespérée, que je ne peux comprendre et que jamais elle ne l’acceptera…

À ce moment de la journée pendant lequel je pense aussi à l’ami qui vit un temps difficile et refuse de lâcher prise, de guérir son passé, de guérir l’adolescent révolté en lui-même qui réagit en victime blessée. Se piégeant, n’ayant pas libéré son conflit d’autorité,  l’adulte qu’il est devenu se sent menacé, rejeté même, dès que ce qu’il perçoit comme une figure d’autorité éveille la blessure non cicatrisée.  Cela est très exigeant à vivre pour cette personne, car cet état de chien de garde lui demande beaucoup d’énergie vitale et use.

Pour se prouver et prouver à ceux qui représentent pour lui une autorité, il a accumulé des situations non réglées et s’est investi d’une quasi indifférence à passer à l’action, courant inexorablement vers le trouble et les difficultés. Victime de lui-même, veut-il se venger inconsciemment? Il résiste à l’amour, se sabote en refusant d’utiliser ses ressources. Les problèmes restent en suspend et si des solutions intéressantes lui sont proposées, il oublie d’en manifester les bienfaits…

Seigneur de la compassion aide-moi… Je suis à ce moment ou l’intervenante s’observe et décode ce qu’elle a à apprendre dans une situation et comment poursuivre la démarche sereinement; en continuant ou en se détachant, pour permettre à l’autre de se connaître davantage, de cesser d’avoir peur et de reprendre le pouvoir de choisir qu’il croyait perdu. Que faire? Quel chemin prendre pour aider sans sauver? Je respire… on verra!

J’ai lutté à ses côtés pour l’aider. J’ai nagé avec lui. Je vis l’impuissance. Derrière celle-ci se cache ma crainte qu’il souffre davantage, qu’il se noie… Puis, je lâche prise pour respecter mes limites. Ses choix lui appartiennent. Je garde espoir qu’il prendra son coffre à outils. Je ne peux ni choisir, ni vivre à sa place…

Je suis là, au moment de cette journée où habituellement je planifie mes activités. Je crée de nouveaux articles. J’organise. Je travaille!

Mais… quelque chose a changé.

Ce matin, comme cela s’est d’ailleurs produit à diverses reprises depuis les dernières semaines, je respire. Le calme blanc de la nature extérieur nourrit ma réflexion. Un écureuil s’amuse aux sauts de voltige, observant du coin de l’œil l’ange de pierre qui semble dormir au fond de mon balcon, enfoui sous des milliers de flocons.

Je suis paisible… Comme cela me fait du bien! Pas de trace de culpabilité reliée à prendre un temps pour moi. Aucune présence du besoin de faire ni de celui de faire plus. Aucun sentiment d’insécurité susceptible de m’éjecter de ma tranquillité pour nourrir mon mental et stresser mon être entier…

Que le silence… Que le bruit de ma respiration et celui du léger tic tac de l’horloge. Est-ce possible? Est-ce bien réel? Depuis combien de temps n’ai-je pas senti vibrer en moi cette joie profonde d’être, simplement, alors que je devrais travailler?

Je me sens bénie et remplie d’amour envers moi et la vie. Je me remercie de me donner le droit de vivre ce cadeau, ces instants merveilleux, presque magiques. Mes activités méditatives régulières m’ont apprises au fil des années, à développer ma capacité d’écoute intérieure. J’ai une facilité à me placer à l’écoute dès que je choisis de taire mon mental bavard. C’est bon, c’est doux.

En ce moment, j’imagine toutes les cellules de mon corps danser sous le concert de paix et de joie qui remplit de sa sonorité bienfaisante mon être entier. Cette nourriture pacifique m’apaise. Je souris, je me souris! Je respire amplement, lentement, profondément… Merci à la vie. Merci à moi aussi pour me donner ce droit, maintenant et en devenir!

Je suis à guérir, un pas de plus…

En effet, je réalise que depuis quelques mois, j’avais fait à nouveau partie du groupe de ces personnes anesthésiées par le besoin inconscient de travailler ardûment et …sans vraiment respirer. Tous les motifs imaginables chez chaque personne peuvent entretenir ce besoin, frisant le workaholisme… J’ai fait partie de cette masse croissante de travailleurs qui ne se questionnent plus sur leurs besoins profonds, étant trop occupés à leurs tâches et pour certains, à performer. Eh oui! J’ai bien dit « à performer ».

L’école de la vie demande de refaire parfois nos classes pour s’enrichir d’un savoir oublié. Cette classe je la connais royalement bien. J’y ai pleuré, résisté, appris à lâché prise. J’ai écrit à son tableau de longs textes. J’ai découvert que le temps efface ce que la main retient. Le temps… Je l’adore. C’est un fidèle ami qui me rappelle… Il me regarde, ne me juge pas. Il est toujours là pour moi. Est-ce que je le  vois?

Il y a deux mois, je partais animer un voyage-atelier en Grèce. J’emportais avec moi un constat, résultant d’un récent bilan de ma vie, alourdi des dernières années pourtant colorées de réussite mais aussi de deuils, qui m’avaient secouée. Dieu merci, j’avais utilisé tous mes outils pour continuer d’avancer sans basculer.

La souffrance des lecteurs en besoin de soutien, n’avait cessé de croître parallèlement. Dépassée par les demandes rencontrées sur la voie du service que j’ai choisie, je ne pouvais accélérer la formation de ma relève future, laquelle dispensée aux couleurs de mes valeurs et connaissances transmises, pour à leur tour aider. Un sentiment d’urgence m’habitait quelques fois. Me réfugier dans l’instant présent était de courte durée.

L’impuissance s’était souvent pointée, démunie devant mon incapacité à aider autant que je le souhaitais. Pourtant, la flamme dansait toujours en moi. Ce feu sacré qui éclaire ma voie.

Au bout de ce laborieux passage de vie, je me retrouvais essoufflée, cherchant comment manifester mon école élargie, pour répondre aux besoins et la rendre accessible davantage. Des résultats favorables se multipliaient suite aux soins énergétiques que je proposais et j’enseignais. J’investissais beaucoup de temps pour mon projet immobilier, celui-ci me demandant réflexion, choix et actions vous avez deviné.

C’est au cours de mon voyage aux pays des dieux de l’Olympe qu’à Patmos, dans la Grotte sacrée où l’apôtre Jean a écrit l’Apocalypse, j’ai médité et demandé avec ferveur au disciple préféré de Jésus de m’indiquer à nouveau ma voie. Suivre la voie de l’Amour…N’était-ce point l’enseignement que son Maître lui avait transmis et qu’à son tour il avait semé?

Ce fut pour moi l’un des moments forts de ce voyage initiatique. WOW! Quelle douceur, quelle beauté profondément nourricière de vérité!

Au retour, mon agenda rempli su amplifier mon besoin de recherche d’équilibre. Le rythme de mon travail avait été presque acharné, en particulier les deux dernières années. L’enseignement et le soutien avaient pris toute la place et subtilement j’étais à nouveau entrée à l’école du maître en soi, à refaire ma classe de lâcher prise. Un cours de perfectionnement intensif. Comme la vie est espiègle parfois! L’auteure de l’enseignement devient à nouveau l’élève. Merveilleux!

Il est impossible de tout régler en une seule fois.  Comme un oignon, nous enlevons une pelure, intégrons et un jour, nous rencontrons une autre pelure à enlever, chaque couche ayant sa densité.  Plus nous allons vers le cœur de l’oignon et plus nous avançons dans notre libération.

Aujourd’hui, je sais que St-Jean a entendu ma demande. Actuellement il m’enseigne sa voie…Je vis quelque chose de spécial depuis environ un mois. En fait, cela a commencé le 5 novembre…

Je venais de terminer un week-end de formation. Mon travail en Grèce avait été exigeant et deux jours suivant mon  retour, j’enseignais et je repartais dans mes valises vers la Gaspésie pour une conférence et des entrevues. Décalage horaire sous le bras, j’en revins pour entrer à nouveau en formation. Je sentais qu’une échéance m’attendait…  Ma petite voix avait dit vrai!

C’est suite à ce retour mouvementé que ce matin du 5 novembre je me suis levée… pour retourner me coucher. Les jours suivants, je vous en fais grâce… J’ai eu à re-choisir de me reposer et de prendre le temps…

Je fus très observatrice de toutes les parties de moi. Je pouvais entendre la bataille de mon mental insécuritaire se mesurer à une force dominante qui semblait exercer un sage contrôle sur mes pas et ma façon de faire. Je possède une grande capacité à me ressourcer rapidement. J’ai eu à développer cela au fil des quinze dernières années consacrées au service à autrui. Il suffit que je médite, que je me fasse quelques minutes de Reiki ou que je m’allonge vingt minutes et me voilà disposée à continuer.

Mais ce matin de novembre, la magie n’opérait plus. Je m’en étais trop demandé… D’ailleurs je m’entendais dire parfois : Je me sens fatiguée… épuisée. À ce moment, je m’activais presque instantanément à remplacer ces mots par des pensées positives, pour éviter les potentielles séquelles qu’auraient pu laisser, en moi et dans ma vie, l’énergie négative de telles affirmations destructrices.

Quelques jours plus tard, je pus reprendre mes activités de travail cependant je m’aperçus, amusée, qu’une force invisible gérait mon temps. Cette même force, nouvelle venue, était-elle revenue avec moi de Patmos? Du moins, c’est quelque chose là bas qui l’avait éveillée en moi. J’en suis certaine.

C’était curieux… Alors que j’étais en plein travail, soudainement je me levais, comme guidée par je ne sais quel mécanique invisible, pour sortir du bureau et prendre un  moment de loisir et cela sans me culpabiliser. Étonnée, je pris goût au fil des jours à la présence de ce nouveau patron.

Chaque jour, je me sentais de mieux en mieux et heureuse de ma nouvelle façon de faire. Doucement, cette force a commencé à transformer ma réalité en s’intégrant dans ma manière de penser.

Ce qui est de plus intéressant, c’est le fait que je pouvais identifier ma peur du manque et entendre les commentaires de mon mental qui disait : Tu dois travailler plus… Tu cours après le trouble…. Si tu ne travailles pas assez, tu vas perdre ce que tu as… Vous savez ce genre de programmation aliénante. À mon insu, celle-ci avait regagné une plus large place en moi, alimentée de ce qui était véhiculé autour, en moi et en société : faire pour avoir! J’avais parfois l’impression que du dedans je voyais, j’entendais et je percevais tout du dehors et que ma conscience en étant éclairée, je m’appliquais ensuite ma propre médecine. J’ai même puisé dans mes propres livres quelques messages, à certaines reprises. Cela m’a fait sourire, soyez-en convaincu!

Ceux qui ont lu mes livres, particulièrement « L’argent et l’abondance par droit divin », savent que j’ai libéré une grande partie de ma blessure d’insécurité. Cependant la vigilance est de mise pour conserver l’orientation de guérison, en devenir. Avec le temps et les circonstances douloureuses qui furent miennes, j’avais diminué le maintien d’attention portée à déceler mes mécanismes d’autodestruction et de sabotage.

Libre… je sens ma voie se préciser dans tous les espaces de ma vie.

J’en suis donc à présent à un nouveau constat, cette fois favorable. Je viens de traverser une autre classe expérimentale de guérison de la peur du manque et de l’insécurité. Je suis sortie de cette phase d’anesthésie qui me tenait prisonnière du faire et du travail sans relâche. Quand bien même je voudrais me sentir insécure, il y a une espèce de structure énergétique qui crée une barrière,  m’empêchant de pénétrer le champ vibratoire de l’insécurité. Cette barrière me protège de moi-même en premier. Elle est construite par l’amour et le respect que je m’accorde.

De plus, j’ai redécouvert le plaisir de prendre du temps pour moi, libre de culpabilité. Je me donne le droit à la vie, c’est-à-dire de jouir de moments de joie profonde et de plaisir, tout en poursuivant mon travail d’enseignante, d’écrivaine et de thérapeute, sous des angles divers pour exprimer ma différence avec respect.

Je viens de terminer une intensive de quatre jours. Cela a été merveilleux à maints points de vue. Aujourd’hui je remercie ce que je suis de m’accorder le droit de ne rien faire. J’avais oublié comme c’est beau de regarder la neige tomber, d’écouter le silence et de caresser mon chat et mon chien aussi longtemps que j’en ai le goût. J’étais sortie de ma voie vers l’amour, sous des motifs certes louables d’apporter aide à autrui, mais je ne respectais plus mes limites. Je m’étais piégée, anesthésiée sans ordonnance! J’étais sortie de ma voie vers l’amour en croyant que par le faire quasi compulsif d’aujourd’hui, demain je pourrais donner davantage et aider un plus grand nombre de personnes.

C’est plutôt en faisant ce que j’aime le plus : écrire, qu’en ce moment par ma réflexion, je saurai nourrir la vôtre. Cela fait partie de moi, que de me révéler au besoin,  pour aider. Ainsi c’est en jouant à écrire que je contribuerai, je le souhaite, à apporter en votre journée et votre devenir, une douceur et un plaisir que vous aussi aviez peut-être oublié.

Dernier commentaire amusant… Cette aventure m’a fait choisir d’éliminer de mon agenda des activités et de reporter à plus tard certains projets qui me sont chers. Le vide appelle le plein. Alors devinez ce qui se passe. Un nombre plus grand d’inscriptions se manifeste. Merci et encore! En prenant soin de moi, je prends soin de l’univers. Il le reconnaît et prend aussi soin de moi. L’anesthésie est terminée. Vive l’instant présent.

La Grèce m’a donné un grand cadeau… Merci!

Je vous souhaite une période des Fêtes remplie de douceur et de moments de paix, une année 2008 sous le signe du Meilleur en tout, ainsi que la Réalisation de vos rêves les plus fous et les plus beaux. Merci pour votre intérêt et votre confiance en 2007.

En passant, j’organise un cinquième voyage-atelier en Égypte à l’automne 2008. Viendrez-vous y chercher aussi un cadeau qui aligne et transforme constructivement?

Atelier : Lâcher Prise avec Dolores Lamarre
15 et 16 Mars 2008

Ah ce cher lâcher prise…! Comment acquérir la souplesse essentielle au lâcher prise? Y a-t-il des recettes secrètes? Mais au fait, qu’est-ce que le lâcher prise et cela vaut-il vraiment le coût de s’y intéresser? 
 
Profil

Permet d’approfondir la notion de lâcher prise. Aide à identifier ce à quoi vous avez de la difficulté à lâcher prise ainsi que certains blocages qui minent votre énergie. Fournit des outils pour y arriver. Amène à une meilleure connaissance de vous-même par une approche psychoénergétique, spirituelle et corporelle. Si vous vivez l’angoisse, la peur de perdre, du manque…, êtes en burnout, vivez une rupture, des relations difficiles personnelles ou au travail, apprendre à lâcher prise peut certes vous aider.

Objectifs :

– Faciliter l’évolution personnelle en amenant à la conscience de chacun l’importance de la connaissance de soi, afin d’améliorer son mieux-être au quotidien, au travail comme à la maison.

– Fournir des clés permettant d’identifier et de transformer des comportements ou des situations répétitives difficiles. Démontrer comment ces clés aident à traverser des passages plus ardus.

– Identifier : Comment se joue l’exercice du pouvoir, le contrôle ? Quelles blessures, quelles peurs et quelles croyances, y sont associées dans votre vie? Comment celles-ci bloquent-t-elles le lâcher prise?

– Sensibiliser la personne à l’utilisation de son pouvoir intérieur pour nourrir la voie de l’équilibre dans sa vie. Développer sa capacité de choisir afin de lui aider à apprendre à discerner, à s’aimer, à se respecter et ceci dans le respect des autres. Le processus décisionnel est facilité vu sous l’angle du lâcher prise.

– Permettre à la personne, par son lâcher prise, de bénéficier davantage d’énergie pour s’épanouir, au lieu de dépenser celle-ci, inconsciemment, à résister et à lutter contre le mouvement naturel de son être, à se battre contre son environnement ou divers facteurs extérieurs.

Démontrer comment lâcher prise favorise une circulation énergétique optimale, un état d’esprit plus calme et une meilleure santé.

Lâcher prise aide à diminuer les tensions, le stress, la fatigue et contribue à améliorer la qualité de vie.

Contenu:

– Définir la notion du lâcher prise: nous entendons souvent dire« LÂCHE PRISE » ! Que signifie cette expression, quel en est le sens ? Lâcher prise À QUOI ?

 Bienfaits du lâcher prise: les effets sur la santé globale et le mieux-être au quotidien.

– Les (5) étapes pour lâcher prise.

– Les Principes du lâcher prise: SIMPLES à pratiquer et à intégrer doucement dans notre vie.

– La structure énergétique et son rôle au quotidien: nous sommes habitués à évaluer, juger, baser nos diagnostics de maintes formes à partir de ce que l’on perçoit par nos sens. Il existe en nous des espaces invisibles, subtils, pourtant d’importance majeure, car ceux-ci véhiculent notre énergie vitale. Comment dissoudre et prévenir les blocages qui gênent la circulation d’énergie ?

Dans l’ignorance de la physiologie énergétique vous accumulez des lourdeurs d’origines diverses et peu à peu l’inconfort, le mal être, les malaises voire même les maladies risquent de s’installer. Acquérir quelques notions afin de favoriser votre santé et votre équilibre est intéressant.

Aider à identifier ce à quoi lâcher prise, personnellement: un temps est disponible à chaque participant afin d’explorer les assises sur lesquelles sont fondées sa façon de choisir, ses attitudes, ses réactions, ses mécanismes de contrôle…

– Identifier les blocages qui vous empêchent de lâcher prise: aide à identifier les croyances limitatives, les peurs, les blessures passées…afin de travailler à en libérer le poids.

– Outils: fournit des moyens de poursuivre le lâcher prise suite à l’atelier, en apprenant de plus en plus à le mettre en pratique dans les situations du quotidien. Prévient aussi les déséquilibres des plans émotionnel, mental ainsi que la maladie. Apprivoiser certains exercices énergétiques, afin de diminuer le stress et d’acquérir de la souplesse de corps et d’esprit.

 
Dolores croît fermement que le lâcher prise devrait être enseigné à tous, dès le bas âge, voire même inclus dans les programmes éducatifs et scolaires. Lâcher prise n’a rien à voir avec négliger ou laisser aller. Au contraire, c’est apprendre à assouplir la rigidité mentale personnelle, pour mieux vivre chaque journée et favoriser une meilleure santé.

Cet atelier est aussi pour la personne qui a le goût de comprendre pourquoi tel événement difficile s’est produit dans sa vie et comment apprendre à en décoder les leçons ainsi que comment traverser les difficultés avec équilibre. Il est facile d’appliquer ensuite ce que vous aurez appris au travail, à la maison et dans vos diverses activités. Vous ne pouvez contrôler la température, les ouragans, mais lorsqu’il se produit une tempête dans votre vie, comment vivre celle-ci avec un minimum de stress et d’anxiété?

Prochain atelier :

Lieu : Hostellerie Rive-Gauche à Beloeil, sous le regard du Mont-Saint-Hilaire en Montérégie.
Dates : 15, 16 mars 2008
Horaire: (2) jours de 9:00 à18:00.
Coût: 260$ + taxes = 296.27$. 
10% de réduction si inscription complétée avant le 15 janvier 2008.
Avant le 15 janvier 2008 : 234$ + tx = 266.64$

(Un dépôt de 50$ confirme votre inscription).

Cet atelier est aussi un pré-requis à la Formation M.E.M..

Créez vos groupes et recevez l’atelier en régions.

Postez votre chèque de 50$ à :
Institut Dolores Lamarre+
384, rue Prince Albert
Otterburn Park, Québec
J3H 1L7

Lecture facultative pour vous y préparer :
« LE TEMPS DE LÂCHER PRISE »
Grand Prix du Livre Montérégien 1999
Réédité chez Éditions Quebecor 2006

Dolores Lamarre 
Consultante en médecine psychoénergétique
Burnout, relations difficiles, pertes…, maladie
Conférences, ateliers, voyages-ateliers
Fondatrice et Formatrice du Programme S.A.I.M.E.
(Système d’Aide et d’Interventions en Médecine Energétique)
Maître enseignante en Reiki Usui et Karuna®

Pour la rejoindre ou vous inscrire :

Tél 450 714-1275, Fax : 450 714-1276
Courriel :  [email protected]

Web : www.doloreslamarre.alchymed.com

A propos de l'auteur

Alchymed réunit des centaines de spécialistes oeuvrant dans le domaine du développement personnel, des thérapies alternatives, des médecines douces, pour la santé et le bien-être global de ...

Nombre d'entrées : 4140

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