Guérison du Syndrome de Séparation
Toutes se heurtèrent sans exception à un obstacle de taille : la frontière gardant la planète en quarantaine : le mons-trueux ego collectif humain !
Raison pour laquelle, le processus de guérison du Syndrome de Séparation permet à la fois de gagner un temps considérable, mais assure la réussite de la libération de l’âme. À l’heure actuelle, je doute qu’une personne même sincère dans sa démarche puisse y parvenir sans l’encadrement d’un spécialiste, ayant lui-même déjà traversé cette épreuve et connaissant les leurres.
En effet, étant donné la puissance de l’ego et de ses croyances, nul n’est suffisamment ob-jectif aujourd’hui pour reconnaître et endosser sa part de responsabilité dans cette affaire. La formule d’Intégration du Syndrome de Séparation offre à présent de surcroît, l’outil néces-saire pour accélérer la procédure et activer sa glande pinéale, réceptacle ou antenne princi-pale de la conscience primordiale (Voir mon ouvrage Intégration II – La Chimie de la Cons-cience publié aux éditions Ariane).
Par ailleurs, la guérison du Syndrome de Séparation implique de réapprendre à vivre, en plaçant la survie au second plan (travail, relation, carrière, famille, etc). Ce qui ne signifie pas ignorer ou mépriser cette dernière pour autant, mais suppose de la remettre en perspective pour la relativiser. Ce rétablissement requiert ensuite de la part de l’individu concerné, une remise en question de ses priorités.
Un effort conscient de tous les instants pour ne pas se faire happer à nouveau traîtreusement par les pièges, que l’ego ne manquera pas de lui tendre. Le travail accompli ne se trouve donc pas exempt de récidives. Contrarié dans son œuvre de sabotage systématique de l’âme, le moi veut recouvrir la tranquillité et l’assurance de son contrôle. Quant à lui le Soi veut préserver sa liberté et son élargissement retrouvés.
Or, j’ai remarqué qu’avec le temps une forte tension s’installe entre ces deux tendances, se traduisant par des ¡rechutes du patient. Celles-ci s’expriment sous diverses formes : une déprime, un mal-être, des frustrations, des changements drastiques dans le quotidien, etc. Des manifestations qui engendrent l’impression inexacte d’une régression.
Beaucoup finissent ainsi par laxisme, par céder aux pressions exercées par l’ego, plutôt que de se soumettre aux tests envoyés par le Soi, afin d’éprouver leur volonté. Incapables de faire la distinction entre ces deux directions, ils retombent insidieusement dans leurs an-ciennes habitudes. De toute évidence cette capitulation personnelle ne peut être imputée ni au processus (Ro-Hun), ni à la formule d’Intégration du Syndrome de Séparation !
Parallèlement, la majorité des gens venant me consulter pour la première fois me parle d’une quête perdue. Ils ne parviennent plus cependant à la définir : l’ego (le Je) les ayant déviés de leur trajectoire, de leur but initial dès leur descente en incarnation. Interprétée comme rele-vant exclusivement d’une aspiration personnelle, cette quête s’avère pourtant commune à l’humanité terrestre, car : Si l’ego veut être tranquille et l’âme libre, la conscience veut pouvoir progresser en toute tranquillité et sans entrave !
Dès lors, tant que l’âme se trouve sous le joug de l’ego, les chances que notre conscience puisse reprendre le cours de son avancement se montrent considérablement réduites. Toute l’énergie et l’attention se concentrent alors dans les 3 premiers chakras au détriment du cha-kra cardiaque et des 3 derniers.
Dans ces conditions, la glande pinéale reste inactive de jour et s’éveille la nuit, tributaire des limites de la 3D. Les portes des réalités subtiles et de leurs connaissances demeurent closes, tant l’ignorance de l’ego ne nous prépare d’aucune manière à pareille rencontre.
Raison pour laquelle, tous les potentiels extra-sensoriels, perçus de façon latente par mes patients, ne sont fort heureusement pas disponibles, même si certains espèrent naïvement les récupérer grâce à une approche thérapeutique. Si le moi s’emparait de telles aptitudes, son pouvoir deviendrait totalement incontrôlable !
Un phénomène observé notamment chez les personnes qui tombent sous le charme et les tentations des forces négatives, comme de la magie noire. L’éveil de conscience exige un investissement de temps, d’énergie et de nombreux sacrifices que peu sont prêts à fournir de nos jours. Celui-ci se résume à une équation très simple, bien que difficile d’accès :
– La réalisation, puis l’acceptation de l’emprise de l’ego dans notre existence.
– L’intention et la motivation imperturbables de guérir, puis de libérer l’âme en souf-france, afin de recomposer un Soi authentique.
– Le maintien du cap de l’objectif fixé originellement par l’humanité et de la cause réelle de son émergence : de créature devenir un créateur par le biais de la propagation de son amour et la progression de sa conscience.
Exiger de mes patients, de mes élèves ou de mes lecteurs pareil engagement n’est évidem-ment pas de mon ressort et ne m’appartient pas. Si beaucoup risquent de capituler, la cause en est élémentaire.
Première excuse : cet objectif paraît bien trop vaste ou trop vague pour être accompli dans cette vie.
Deuxième excuse : Il est impossible de confiner cette visée dans la minuscule case de notre survie narcissique journalière.
Au lieu d’aspirer encore à tirer bénéfice d’un tel engagement, il s’agit au contraire de le com-prendre comme l’expression d’un don. Un don d’amour, dépourvu de toute condition ou at-tente, afin que chacun s’inspire de notre présence pour oser s’élancer à son tour vers l’intégration. Cet acte est la clé de l’onde de propagation d’amour présentée dans Intégration I – La Conscience Divine et la Cellule de Vie Primordiale. Un cadeau souverain et impeccable du Soi authentique à l’égard de la Création…
Insistons sur le fait que cet amour ne fait pas référence à l’amour-propre. Pas plus qu’à l’attachement expérimenté de façon conditionnelle dans le cadre d’une relation. Il se rapporte à un état occulté par l’être humain et tributaire de l’intimité intérieure qu’il entretient avec son cœur réunifié. La recherche d’intimité avec autrui dans le rapport sexuel ne représente qu’un désir chimérique et irréaliste de puiser chez son partenaire une force vitale égarée à la res-semblance d’un vampire. Une tentative perdue d’avance, à en croire le nombre de divorces qui augmente chaque année. Le succès de cette démarche dépend donc avant tout, de l’instauration d’une architecture intérieure appropriée pour que la créativité du Soi authen-tique puisse enfin se manifester.
Cette créativité dépasse très largement l’impulsion de reproduction, ainsi que le penchant consistant à ne s’affilier qu’aux individus partageant nos valeurs. Une préférence des plus arbitraires, qui poussent les communautés à n’apprécier que les personnes leur ressemblant et haïr celles qui diffèrent !
Or lorsque notre âme s’intègre et que le Soi recouvre sa dignité, il aspire plus que tout à par-tager sa nature inhérente. Une offrande qui outrepasse non seulement la sphère personnelle, mais qui l’inclut. Ce nouveau paradigme ouvre la voie à de multiples possibles, à la fin de toute discrimination individuelle, raciale, d’espèces ou de genres. En se propageant à l’infini, elle transcende les frontières fictives de la planète Terre, de la galaxie et de l’Univers…
L’âme sait que l’ego appartient intrinsèquement à son expérience. Dès qu’elle décide de re-prendre son pouvoir, elle ne rejette pas le moi pour autant. Elle ne l’abandonne pas, mais elle l’accueille tout en reprenant sa juste place. L’ego fait donc partie de l’apprentissage de l’âme pour le bénéfice de la progression de la conscience humaine. De même, l’initiation de la division, de l’isolement et du reniement de notre essence profonde débouche nécessairement sur : la maîtrise des connaissances propres à l’observation et au vécu de la souffrance sous toues ses formes. L’ego ne fait que repousser l’échéance, en transformant cette étude en addiction.
La conscience au-delà du moi individuel et collectif revient avant tout à se sevrer de toute douleur, jugement, isolement, ainsi que notre irrépréhensible inclination à la plainte et au malheur, mais surtout notre peur du changement… »
Le processus du Syndrome de Séparation a été créé et développé sur une période de plus de 20 ans par Karène G.Le Drian sur la base d’un processus connu propre à la Ro-Hun thé-rapie : Le split-baby process. Elle a écrit son mémoire sur ce sujet novateur et inédit, afin de devenir Docteur et seule enseignante certifiée francophone de l’école-mère de Delphi aux Etats-Unis. Elle est par conséquent la seule à savoir le pratiquer et l’enseigner. Pour tous renseignements sur ce travail, qui dépasse le simple cadre du développement personnel, – et sur lequel elle s’appuie aujourd’hui pour débuter tout travail de Ro-Hun thérapie – merci de la contacter directement.
(Extrait ©, tiré de l’introduction Le Syndrome de Séparation – Le mystère de l’âme en souf-france de Ka Ren, publié aux éditions Intégration sous le N°ISBN : 978-2-8399-0363-9).
Ka Ren (Karène Le Drian), architecte d’intérieur et Docteur en Ro-Hun thérapie, est égale-ment l’auteure d’un ouvrage autobiographique, Le cœur a des raisons que la raison ignore, et de la série Intégration, Intégration I et II. À l’exception d’Intégration II, disponible en librairie, les trois premiers publiés à compte d’auteur sont en vente directement (et exclusivement pour les pays situés en dehors de la Suisse) sur son site : www.ka-ren.ch. Vous pouvez lui écrire à l’adresse suivante : [email protected]. Elle se fera un plaisir de vous répondre…
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