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Joie de vivre et métaphysique, vos alliés bonheur

Tout d’abord, je tiens à démystifier le mot métaphysique. Il signifie au-delà du physique. Donc, cette science englobe l’aspect intérieur de notre être. L’art de faire contact avec soi dans ses aspects les plus profonds y compris la spiritualité …

… qui n’a rien à voir avec la religion, mais étant plutôt le sens qu’on donne à notre vie. La métaphysique nous amène à devenir conscient de nos valeurs profondes, à faire jaillir la joie, la santé, l’harmonie, à se connecter à notre Intelligence Supérieure, à se réaliser de façon heureuse.

Elle nous démontre aussi que les réponses sont au fond de nous, mais il nous suffit de faire place à ce jardin secret pour les laisser émerger, ce qui demande de la pratique j’en conviens. De là l’importance de se faire aider au besoin pour en arriver à ce que ce soit fluide. La pleine réalisation de soi, le bien-être, la sérénité appartiennent à ceux qui se font le cadeau de plonger dans cet espace et d’y faire la connexion avec leur source comme on dit, au lieu de tenter de tout gérer avec le mental, ce qui, on le sait, peut devenir très déroutant.

Aujourd’hui, je vais m’attarder à faire le lien entre la joie de vivre et le mode de vie métaphysique, qui me passionne et que j’ai étudié…et ça continue. Ce partage amène à la fois réflexion et invitation à l’action par le biais de certains petits exercices simples que vous retrouverez vers la fin du texte.

Donc, la joie de vivre est comme un sentiment en soi qui jaillit grandement à partir du moment présent. Nous sommes dans un mode de vie qui allie stress, travail surchargé, rapidité et j’en passe. Est-ce que votre joie de vivre est à l’agenda ?

Est-ce possible d’oser avouer sincèrement que la joie de vivre peut être manquante …et que ça ne viennent pas de l’extérieur ? Est-ce possible aussi de l’assumer pleinement s’il y a lieu, sans tenter de la camoufler parce que l’entourage s’en prive ?

La joie au fil des âges

Si on regarde l’évolution de la joie au fil de la vie, on réalise qu’un enfant saura vraiment la puiser spontanément dans le moment présent. Qu’il soit en train de s’amuser à jouer à la poupée ou avec des camions, il est entier dans ce qu’il fait. Il sait rire, pleurer pour se libérer aussitôt, jouer, jusqu’à ce que le monde adulte lui envoie ses reflets empreints de trop plein de sérieux. On remarque souvent des adultes qui ne sont pas à l’aise de rire et de jouer par peur d’avoir l’air bébé, d’avoir l’air moins matures, moins professionnels, etc. Ah les croyances… ! Qu’est-ce qui compte le plus pour soi ? Se choisir ou se subir en quelque sorte ?

L’adolescent, puisera sa joie dans ses projets de vie, dans la découverte de son monde, dans le plaisir de se réaliser. Vivre n’est-ce pas une joie en soi ? On remarque au Québec ces temps-ci une vague sociale qui s’élève pour conscientiser les effets de l’intimidation auprès des jeunes, et on constate que ça va aussi au-delà des jeunes, et enfin on parle ouvertement du problème. En passant, vous remarquez peut-être que je ne dis pas « une vague sociale contre l’intimidation », car comme Mère Thérèsa disait semble-t-il, « je ne suis pas contre la guerre mais pour la paix. » Alors dans le cas de l’intimidation, qui est totalement anti joie de vivre, soyons des phares axés sur l’amour, la compassion, la communication et le respect entre les gens pour répandre ces valeurs profondes afin de transformer pas à pas la situation. La joie de vivre a donc besoin que la personne qui l’a perdu, parle, agisse pour faire changer les choses en soi d’abord et avec toute l’aide que ça prend au besoin.

Rendu à l’âge adulte, est-ce qu’on peut dire qu’au réveil on sent notre énergie couler de façon fluide en soi, que tous nos sens s’ouvrent à ce qui est, qu’on se permet de rire, de faire des choses enjouées qui cassent la routine, de mettre de la musique entraînante ou autre, ne serait-ce que de « déconner » (comme on dit au Québec) allègrement en famille, entre collègues, de jouer avec un petit enfant si possible, pur bonheur, n’est-ce pas ? La joie se doit d’être un sentiment heureux, pur et simple au cœur de soi et qui demeure peu importe les évènements. Cette force intérieure, ce branchement avec notre force supérieure font en sorte que l’harmonie est davantage présente et si un problème arrive, on peut plus facilement le traiter avec efficacité au lieu de se noyer dans l’émotion. La joie de vivre aide à dédramatiser le quotidien.

Être présent en soi

Au réveil ou à toute heure du jour, pensez-vous à remercier pour ce que la vie vous apporte sur tous les plans (apprentissages, aspect matériel, affectif, moments heureux, etc.) ? Est-ce possible de prendre plaisir à se sentir joyeux en faisant quelque chose d’aussi banal que la vaisselle, le repassage, au lieu de maugréer ? La vie est source d’évolution on le sait, mais qu’en fait-on ? On évolue sur la voie de la souffrance ou sur celle de la facilité, de la sérénité ? Sans culpabilité svp. On peut apprendre à s’observer agir et réagir pour mieux reconnaître nos fuites d’énergie, découvrir ce qui nous enthousiasme vraiment, etc. La joie naît plus facilement de cette capacité de se sentir en accord avec soi-même. Imaginez quand on fait de l’ordre dans un entrepôt, on y voit plus clair. C’est la même chose quand on fait de l’ordre en soi, on trouve mieux nos réponses et le contact avec notre être profond se fait plus facilement.

Que l’on soit entouré d’une famille ou seul, il y a une multitude de joies simples au quotidien. On n’a qu’à penser au confort des couvertures au moment de dormir, le parfum d’une fleur, manger un fruit, se regarder dans le miroir avec amour et douceur, la caresse d’un chaud rayon de soleil ou d’une douce brise, la prise de conscience des tensions dans le corps pour mieux les relâcher…C’est tout ça le moment présent au lieu d’être dans l’attente d’un ultime bonheur dépendant de telles ou telles conditions. La joie, c’est maintenant qu’elle peut s’allumer.

S’ancrer en soi et rester simple

À l’instant même, vous pourriez juste vous amuser à ressentir votre corps, comme si vous preniez plaisir à vous ancrer en vous. Le simple fait de respirer profondément, de prendre conscience de votre posture sur la chaise ramène au présent. Vous pourriez imaginer de grandes racines sous vos pieds qui vous relient à la terre tout en sachant que votre connexion spirituelle est aussi bien présente. En même temps, vous pourriez vous accrocher un doux sourire intérieur ou extérieur. N’est-ce pas plaisant que de ressentir la vie qui circule en soi, simplement, sans grandes théories ?

Juste le fait de bien respirer, c’est vraiment prendre sa place en soi, ce qu’on ne fait pas assez souvent. Vous pourriez même prendre plaisir à bailler volontairement. Ça relâche les tensions. La joie de vivre n’a pas besoin de raison pour être. Je me fais parfois demander, pourquoi je souris, car c’est tellement naturel pour moi…Le simple fait d’Être, au grand sens du terme, ça le justifie. Le plaisir d’exister, de grandir à travers le mouvement de la vie, ça inspire à sourire. On est sur terre pour quoi, si ce n’est que d’apprendre à mieux se connaître au plus profond de soi et de se réaliser pleinement.

Malheureusement, la course folle à l’argent, au superficiel, handicape l’essentiel et je n’ai rien contre l’abondance, ça fait partie de la vie, mais il y a une différence entre l’abondance créée sur le dos des autres ou à y perdre sa qualité de vie par exemple et celle qui allie santé, joie, amour, douceur, plein épanouissement et l’aspect matériel. Il y a une différence entre avoir une auto de luxe par satisfaction et plaisir et en avoir une pour attirer le regard des autres pour se sentir plus fort et en subir l’endettement et les affres d’un ego bien ancré. La différence est notable, n’est-ce pas ? Il se peut aussi qu’une personne puisse posséder beaucoup matériellement et ne pas sentir la joie, car le matériel ne peut combler ce vide. Une autre personne peut avoir très peu et déborder de bonheur. Tout est question d’attitude et de qualité de contact avec soi.

La joie, c’est métaphysique, ça vient de l’intérieur

La joie vient du cœur, de l’âme, de là l’aspect plus métaphysique. Elle génère une énergie accentuée, vibrante en soi, elle amène à se libérer du besoin d’être dans les normes. Elle génère une humeur joyeuse sans raisons mentales. Elle amène à sentir la pulsion de vie en soi. Elle se goûte, se ressent, s’entend, se voit quand elle s’anime et cela, ça ne vient pas de l’extérieur à la base. C’est impossible. Les joies provenant des autres ne sont que la cerise sur le sundae comme on dit. C’est l’état de présence en soi qui attire le meilleur et fait qu’on est sensible et attentif aux petits et grands bonheurs qui se présentent.

Les moments où on peut ressentir les plus grandes joies, sont ceux qui jaillissent quand on est en accord avec soi. Il est important de s’éloigner de ce qui nous « bouffe » nos énergies et d’être vigilant sur le plan personnel, car on est bien capable de se les « bouffer » soi-même aussi. Il importe d’avoir foi en notre capacité d’aller de mieux en mieux et avoir foi en l’arrivée du meilleur dans notre vie et dans le monde. Un à un, on se transforme et faisons en sorte que les vieilles structures désuètes soient remplacées progressivement par des fondations d’unité avec la bonté. Que ce soit sur le plan personnel ou international !

Votre cahier « Joie de vivre »

Je vous invite à vous tenir un cahier « Joie de vivre ». Vous lisez un livre par exemple et un passage vous marque particulièrement. Vous pouvez l’écrire dans ce livre. Vous lisez un tel article et ça vous parle, vous le photocopiez et le mettez dans votre cahier. Vous avez des idées de génies pour faire avancer votre bonheur, vous les notez dedans, etc. Lors de jours plus ternes, si vous le ressortez, que se passera-t-il ? Je vous encourage même à le tenir au quotidien en y notant ce qui vous a plu durant la journée et ce que vous pouvez faire pour améliorer le reste, à y ajouter des pensées trouvées au passage, etc. Vous avez retenu des choses d’une conférence, vous les notez dedans, etc. Un ami vous a dit une phrase clef, vous la notez…La joie pourra se réanimer plus facilement. En fait, la joie s’entretient comme une fleur, un jardin. Faire la paix avec soi, se pardonner d’avoir vécu telle ou telle chose, c’est aussi très libérateur.

La joie, c’est une décision

· Elle naît du désir de légèreté, de facilité, de paix, de rire, de sourire, bref du désir de se sentir vivant et enjoué et de se détacher du passé.
· Elle nous offre de reconnaître ce qui nous fait plaisir, de le lister au besoin, de rechercher des expériences heureuses, de faire des choses qui nous nourrissent, qui nous font se sentir léger.
· Elle requiert parfois de prendre du recul, de passer du temps seul quelque jours pour se recentrer, etc.
· La joie, c’est l’estime et l’amour pour soi d’abord.
· Elle demande aussi qu’on s’interroge à savoir si on a vraiment envie d’une telle activité par exemple ?
· Elle demande de lâcher prise sur le passé, de cesser de l’étirer et enfin s’en créer un tout nouveau à partir d’ici et maintenant. D’en conserver l’expérience et l’apprentissage et se détacher des émotions le plus possible, ce qui ne renie aucunement ce qui a été vécu, mais on avance alors, riche de ce parcours et non en y étant enchaîné.
· Dans la vie, souvent on pense à régler les problèmes et ensuite à se faire plaisir. Si on faisait le contraire, il y aurait fort possiblement moins de problèmes, car on serait encore plus sur la fréquence porteuse des bonnes choses.

La joie vient du contact avec l’âme, qui aime la légèreté, le sentiment d’accomplissement heureux. Avant d’être un corps, on est un être énergétique qui habite ce corps et qui recherche à prendre la place qui lui revient et quand on prend notre place avec amour et douceur, c’est source de bien-être et de paix. À défaut d’écouter son intérieur, d’être présent en soi, l’ego prendra la place, pour ne pas dire les autres aussi.  Attendre le bonheur en provenance des autres, c’est un peu choisir le bonheur par procuration comme le mentionne Jocelyne Bélanger dans son livre Éloge de la joie de vivre aux Éditions de l’homme, qui est très bien en passant et qui m’inspire le développement de ce sujet. Bref, il s’agit de faire ce qui amène à se sentir vibrant de joie sans nuire à qui que ce soit.

On pourrait dire que l’ego est à une fréquence énergétique plus basse et se nourrit de disharmonie. L’énergie du cœur, de l’âme vibre à un niveau beaucoup plus élevé et attire les bonnes choses. C’est vivifiant. La joie émerge au-delà du mental, au-delà de l’ego, qui en sont des vecteurs limitatifs.

Si on est trop dans le mental en reniant trop souvent les signaux que le cœur, l’âme ou le corps tentent d’envoyer, le rationnel qui aime contrôler prendra bien de la place. Tôt ou tard, le corps notamment, risque de finir par parler, mais malheureusement ce langage n’est pas très entendu et trop peu enseigné socialement. Le jour, où ces valeurs de vie seront généralisées dans la population, le monde vivra une profonde mutation. Heureusement ça avance en ce sens. L’auto responsabilisation face à nos résultats de vie est la voie de la légèreté intérieure, la voie du réel changement, soit celui qui émane de soi et qui transforme notre vie par la suite.

Si on n’a pas eu les résultats escomptés, à nous de voir à améliorer les choses avec toute l’aide nécessaire, on le dira jamais assez, car ça ne se fait pas tout seul bien souvent, ces profonds changements. On a parfois besoin d’aide pour ouvrir la voie menant à notre monde intérieur tellement les émotions, les mémoires sont enchevêtrées. J’ai des personnes très précieuses pour moi qui m’ont tellement aidée à certains moments et elles sont toujours là au besoin. Je vous en souhaite autant.

En résumé, voici trois clefs pour accéder à la joie de vivre :

1. Choisir la joie au quotidien
2. Être en contact avec soi, c’est-à-dire vibrer à un mode de vie métaphysique, donc être plus intériorisé, bien branché intérieurement.
3. Choisir de s’engager à se choisir d’abord et à faire ce qui fait se sentir bien.

Quel est votre objectif « joie de vivre » ?

Spontanément, sans y réfléchir, laissez l’ensemble de votre être répondre à ces questions, soit votre cœur, âme, corps et esprit.

· En un mot ou une image mentale par exemple, quel type de joie recherchez-vous ? Ex : simple, douce, fluide !
· En un mot ou une image, comment vous sentirez-vous une fois la joie de vivre présente en vous ou comment cela vous fait-il sentir si vous l’avez déjà amplement ? Ex : fera sentir en paix, enjoué, léger, en contact avec soi…
· Toujours en un mot ou une image, demandez-vous pourquoi la joie de vivre n’est pas encore dans votre vie si tel est le cas ? Ex ; Blocage, ego, influence extérieure, une certaine lassitude à se prendre en main à ce niveau, rancune, accroché au passé, etc.
· Finalement, quelles ressources vous seraient utiles pour atteindre la joie de vivre ? Ex : apprendre à dire non, activer vos détecteurs internes face aux manipulateurs et face à vos attitudes, enfin passer à l’action, aller chercher de l’aide thérapeutique, augmenter l’amour et l’estime, etc.

Vous pouvez réfléchir à comment vous vous êtes senti dans cet exercice, à ce qui en émerge et savourez les prises de conscience avec joie ! Quelles idées en ont émergé et quelles actions pourraient s’en suivre, car les idées n’ont de valeur que si une action leur succède. Que pouvez-vous faire pour laisser vibrer votre coeur d’enfant et garder votre lumière bien allumée au plus profond de vous ?

Exercice de prise de contact avec soi : Bien respirer

1. Installez-vous confortablement et prenez plaisir à prendre cinq bonnes respirations abdominales sans forcer. Juste ressentir le plaisir, la détente et cette douce sensation, le plus calmement possible. Bien respirer, c’est aussi faire un bon massage aux poumons. C’est laisser entrer et circuler la vie en soi. Ce n’est pas pour rien l’expression : Souffle de vie ! La joie de vivre, c’est de se sentir bien vivant et vibrant, la respiration est à la base du contact avec soi.
2. Prenez un peu de temps pour ressentir les effets.
3. Reprenez cinq autres bonnes respirations selon le même processus et soyez très présent tout simplement en ayant un sourire intérieur par amour pour vous. Ressentez le calme se faire.
4. Amusez-vous à faire ce petit exercice si simple un peu partout au quotidien, que ce soit au travail, durant le plein d’essence, au coucher, etc. Cet exercice permet de rentrer en soi, de se dissocier du monde extérieur quelque peu, de se centrer au présent.

Exercice : Apprendre à ne rien faire

J’adore aussi cet exercice. Très puissant.

1. Faites en sorte d’être le plus certain possible de ne pas être dérangé (aucun téléphone, ni musique, ni livre, ni télévision, ni personne, etc).
2. Gardez juste un crayon et un papier à proximité de vous.
3. Installez-vous dans un endroit qui vous inspire, que ce soit à la maison ou autre.
4. Durant 60 minutes, idéalement ayez même une minuterie, assurez-vous de ne rien faire, vraiment rien. Vous êtes en pause totalement.
5. Faites vos cinq respirations abdominales et faites juste ressentir ce qui est présent en vous.
6. Même si ce que vous ressentirez serait plus ou moins agréable, faites juste être observateur dans le ici et maintenant. Laissez les pensées passer tout simplement sans vous y arrêter. Juste garder contact avec votre intérieur.
7. Prenez plaisir à vous apprivoiser, à vous parler en tant que personne la plus importante pour vous,  celle que vous aimez le plus.
8. Prenez votre espace autant par la respiration que par l’amour que vous vous portez. Ressentez la vie entrer et circuler via vos poumons qui se gonflent.
9. Chassez toute impression de perte de temps qui pourrait venir du mental, même si ceci peut sembler suggestif. Un temps pour soi est un cadeau bien mérité.
10. Il peut se reproduire toutes sortes de réactions bien normales. De la sérénité, de la tranquillité, mais peut-être de la tristesse, un sentiment de fatigue, etc. Laisser libre court à ces émotions qui profitent peut-être juste de votre présence pour se faire entendre afin de se libérer.
11. Finalement, prenez conscience le plus possible de ce que vous avez besoin pour optimiser votre joie de vivre, que ce soit des moments de repos comme ça, besoin de parler, d’être écouté, de faire de nouvelles choses, d’en cesser certaines, etc.
12. Permettez-vous d’écrire ce qui monte et qui pourrait vous aider.
13. Vous pouvez imaginez que vous allez dans votre jardin secret. Laissez aller votre imagination au niveau de la visualisation. C’est peut-être le bord d’un lac calme, une forêt, le bord de la mer, etc. Vous pouvez imaginez que vous jasez avec un vieux sage, mais qui est en fait votre sage intérieur, etc. Jouez à vous faire du bien.
14. Écoutez et ressentez ce qui s’y passe.
· Par la suite, demandez-vous comment vous avez vécu ce moment particulier avec vous-même.
· Quel était l’état de votre joie de vivre durant cette heure ?
· Qu’est-ce que cet exercice vous a apporté ?
· Vous pouvez bien sûr répéter cet exercice au besoin pour vous aider à prendre contact avec vous et à faire le point.
·  Plus vous aurez de facilité à faire le vide ainsi, plus vous serez efficace et joyeux. Vous serez à l’écoute de ce qui se passe en vous et autour de vous pour mieux agir et réagir.

Chaque jour :

· Si vous écoutez votre corps, il saura vous informer s’il a l’énergie nécessaire pour avancer ou s’il a besoin de repos, d’une meilleure nourriture, d’exercice, etc.
· Si vous êtes à l’écoute de votre cœur, il vous dira s’il y a de la joie et du plaisir ou de la morosité.
· Si vous apprenez à écouter votre tête et à vous en faire un bon allié au lieu d’un porteur d’ego, elle vous indiquera votre qualité de vie, s’il y a harmonie ou pas.
· En étant attentif à votre âme, elle vous fera percevoir si vous êtes dans un état porteur d’éléments de souffrance ou sur la voie de l’harmonie et de la joie.

Sur ça, je vous souhaite de très Joyeuses Fêtes, remplies de joie et une année 2012 merveilleuse.


Info-activités

Il y a deux journées ressourcement de prévues prochainement

Une le 14 janvier à St-Ferdinand, entre Thetford Mines et Victoriaville et une autre le 29 janvier à St-Jean-sur-Richelieu.

Les détails sont sur www.linebolduc.com/conferences-et-ateliers-publics

Réservez tôt, car on était complet à St-Jean lors de la dernière journée faite en novembre et le groupe de St-Ferdinand est déjà nombreux. Il y a aussi plusieurs conférences publiques d’indiquées sur ce même lien. Celles au privé n’y figurent pas.

Les livres et les CD sont disponibles sur la boutique en ligne via le lien www.linebolduc.com

Voici les produits offerts, ce sont des cadeaux à offrir et à s’offrir qui sont réellement porteurs de joie :

Livres
· Le mieux-être par le rire
· Choisir l’abondance
· Renaître du passé
· Destination plaisir et mieux-être
· Se libérer de la dépendance affective
· Les messages de l’ego
www.linebolduc.com/catalog/24

Les CD audio
· Estime de soi, rire et joie de vivre
· La prospérité
· La santé par l’autoguérison
· Atteindre et conserver son poids santé par le plaisir
· Série détente (confiance, santé, prospérité, sommeil)
www.linebolduc.com/catalog/27


Line Bolduc
Auteure, conférencière

www.linebolduc.com

 

A propos de l'auteur

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