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HISTOIRE DE FŒTUS… ET ESTIME DE SOI

Apprendre à s’aimer… Le conseil possiblement le plus prodigué. Conseil qui parfois nous réconforte ou qui parfois nous irrite. Nous réconforte parce que l’intelligence de notre cœur y trouve une vérité incontestable et nous irrite parce que …

 

… malgré la reconnaissance de cette sagesse, et de nos efforts, nous ne réussissons pas à satisfaire ce besoin.

L’estime de soi est la valeur que nous nous accordons. Cette valeur  est directement reliée aux perceptions de soi. Les expériences et les dynamiques relationnelles  qui chevauchent notre vie construisent la façon de nous définir à nos propres yeux, motivent cette quête d’amour de soi.

Le besoin d’être aimé, besoin légitime et naturel de tout être humain, est animé de grandes attentes, attentes qui deviennent d’autant plus grandes que le besoin est grand, grandeur souvent établit par sa transmission d’une génération à l’autre. Le milieu familial est le terreau par excellence pour construire notre identité. Il porte le poids des générations précédentes, il est arrosé d’émotions sclérosantes, semé de pensés limitatives et renforci  par l’engrais quotidien d’habitudes et d’attitudes venant conforter les origines inconscientes de tous ces malaises. La majeure partie de notre estime  de soi s’est construite par la façon dont nous avons été regardés, écoutés et touchés par les êtres qui nous étaient le plus chers, les êtres de qui l’ont souhaitait le plus être aimé.

L’impact qu’ont les regards, les paroles et les touchers de nos proches sur la construction de notre estime de soi, trouve d’abord sa source dans nos croyances identitaires. Ce sont des certitudes profondes, existant d’abord à nos propres yeux, venant définir ce que l’on croit être autant dans ses aspects positifs que négatifs. Ces croyances identitaires nous rendent sensibles à l’expression des autres à notre égard. Elles jouent aussi un rôle important dans la création de comportements, d’attitudes et de réactions.

Si le milieu familial est le terreau de notre estime de soi, les espaces de vie intra et extra-utérins sont le berceau des croyances identitaires. Ce sont de ces espaces-temps que se vivent les toutes premières expériences de non amour. La découverte d’une «grossesse accident», des confits conjugaux face au nouveau venu, les insécurités affectives, l’anxiété, les manques de toutes sortes, les réactions violentes, etc…. L’être en devenir baigne dans cet environnement bio-psycho-émotionnel, courroie de transmission de ce qui est vécu par ses parents, mais aussi par des générations précédentes.

Témoin des souffrances de ses êtres chers, il devient vite acteur  afin de faire tout ce qu’il peut pour soulager, mais avec ce réflexe aimant  vient l’association. C’est-à-dire qu’il va sentir qu’il fait partie de cette souffrance, qu’il en est la cause. Et comme de toute évidence, il est à ce moment dans l’impossibilité de changer quoi que ce soit, dans la déception et l’impuissance se forge une image négative de soi, ces croyances identitaires comme : je suis de trop, je dérange, je ne suis pas important(e), je n’ai pas ma place, je ne suis pas correct, c’est de ma faute, je ne suis pas belle (beau), je ne suis pas fin(e)/gentil(e), je dois disparaitre, je suis seul(e), je ne suis pas accepté(e), je ne suis pas à la hauteur, je n’en fais jamais assez, je n’en vaux pas la peine., je n’ai pas de place… C’est de cela que découle les toutes premières perceptions dévalorisantes de soi. C’est en soi que prend toute la force de ces croyances et qu’elles peuvent ainsi traverser le temps. C’est enfoui dans l’inconscient qu’elles se cachent pour mieux exercer tout leur pouvoir contre notre volonté.

Ce sont dans les espaces-temps de -9 mois à la conception, de gestation et +9 mois après la naissance que se bâtit le solage de notre identité et par le fait même, de notre estime de soi. Par la suite, les expériences de vie ne viennent que s’imbriquer, en résonnance avec ces croyances identitaires, et consolider ce que l’on pense déjà de soi. Si ce qui est énuméré ci-haut  fait partie de votre discours, soyez certain que vous venez d’en découvrir l’origine.

La Thérapie des Mémoires Intra et Extra-Utérine (TMIEU) permet de transformer définitivement ces croyances identitaires. Elle réussit à rendre cohérent ce que vous ressentez à ce que vous pensez avec une efficacité exceptionnelle «enfin, ce je ressens et ce que je pense est identique».  La TMIEU permet de recréer au présent la biochimie de l’expérience programmante qui devient l’information codée permettant, par un support méthodologique, de revivre l’expérience en temps réel et d’avoir un pouvoir de transformation immédiat et définitif par la création d’une nouvelle expérience réparatrice. Ce n’est pas du «rebirth» ni de la catharsis. Sachant que le cerveau n’est pas la mémoire, mais un organe de liaison avec la banque de données du champ morphogénétique dans lequel sont contenu le passé, le présent et le futur, elle met en plan l’intra-sensorialité pour transformer définitivement les expériences souffrantes.
Pour plus d’informations, je vous réfère à mon site
www.anxiete-stress.com

Quel que soit l’endroit sur la planète, je peux travailler avec vous comme si j’étais dans votre salon via SKYPE. Alors, ne laisser pas la distance mettre un frein à votre bien être !

De même, une invitation toute particulière aux femmes enceintes afin qu’elles puissent se conforter dans ce rôle des plus important que d’être maman et bénéficier de la chance exceptionnelle de transformer deux être à la fois !

En espérant que ces quelques mots ont su apporter lumière.
Bien à vous !

Pour consultation ou information :
Brigitte Levesque 514-369-1359

[email protected]

www.anxiete-stress.com



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