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Vibrations climatiques

Rien n’est constant dans l’univers. Considérations pythagoriciennes sur un sujet chaud… Après avoir connu l’hystérie de l’an 2000 avec le fameux bogue qui n’est jamais arrivé, nous vivons maintenant bien malgré nous dans une nouvelle hystérie… climatique.

Nul n’ignore plus maintenant les soit-disant records de température, la fonte des glaces généralisée, le réchauffement « global », la menace d’engloutissement marin, la disparition d’espèces et d’écosystèmes à cause de la pollution humaine générant du CO2, le méchant gaz à effet de serre. Nous sommes bombardés tous les jours par ces « informations ».

Il y eût la guerre au terrorisme. Maintenant, c’est la guerre au climat.

Illusions dans les deux cas. Explications :

Climat de peurs :
Les américains sont doués pour inventer des ennemis qu’ils créent eux-mêmes ou qui n’existent pas …  Bush a ses terroristes, Al Gore son CO2. Et nos hommes et femmes politiques embarquent à fond dans ce climat d’illusions. Il est bon de ne pas perdre la boussole.  Nous sommes submergés par un ouragan de désinformation au sujet du climat de notre chère Terre… L’écologie à défaut de devenir scientifique (ce qu’elle sera à coup sûr dans le futur) est aujourd’hui une écologie émotionnelle, basée sur la peur du futur et la résistance au changement… (climatique).

Quelques exemples d’écologie émotionnelle :
Les bébés phoques.
On médiatise une sorte de chasse traditionnelle (la chasse aux blanchons) et à renfort de photos explicites (le sang sur la neige, ça tache!) on condamne cette chasse pour toutes sortes de raisons, entre autres la « cruauté ».

Il faudrait alors aussi condamner l’égorgement des bébés brebis et des bébés vaches, des bébés poules et des bébés dindes, etc. En Corée, on mange du chien ou du chat. Pour nous c’est horrible de tuer et manger ces adorables petites bêtes. Que dit alors un hindou devant des images d’abattoir où pendouillent des carcasses de vaches? Pour lui c’est affreux, car cet animal est « sacré ». Toutes ces réactions sont d’ordre culturel et émotionnel.

D’autres exemples d’écologie émotionnelle concerneraient le rejet des nouvelles technologies.
Condamner une nouvelle technologie parce qu’elle balbutie et que certaines « études » en montrent la toxicité… cela reviendrait à condamner l’électricité car des observations prouvent qu’il est possible de mourir foudroyé ou électrocuté. Et n’oublions pas ce que si des mouvements écologistes avaient existé au 18e siècle, ils auraient condamné les expériences de Benjamin Franklin au sujet de la foudre et du paratonnerre. Car cette idée révolutionnaire que de se protéger de la foudre éveilla à l’époque une grande controverse suscitant à la fois climat de peur (déjà!) et opposition morale (naturellement le Vatican s’en est mêlé). En 1752 fût réalisée à Philadelphie la démonstration du fameux cerf-volant équipé d’une pointe métallique.. Il fallût attendre encore 8 ans avant que le premier paratonnerre ne soit installé sur une bâtisse dans la même cité.

Lorsqu’il y a eu l’implantation du chemin de fer, il y avait des études « scientifiques » qui démontraient que nous ne pourrions survivre à une vitesse supérieure à 40 km/h et que serions asphyxiés à l’intérieur des tunnels, etc.

Il y a 2000 ans environ, un certain Aristote a ralenti la science en remettant en question les théories grecques de l’infini de l’univers, de l’héliocentrisme etc. À la fin du 15e siècle, Giordano Bruno a voulu remettre les pendules à l’heure, résultat il a été brûlé vif à Rome en 1600.

Heureusement, on ne peut pas stopper la science, juste la ralentir.

Revenons à nos moutons (climatiques)
Dans les années 1970, le New York Times nous annonçait un autre péril climatique, inverse à celui prédit aujourd’hui : « Un refroidissement majeur du climat est inévitable » pouvait-on lire dans les colonnes du journal. C’était le « global cooling »…

Nous sommes submergés par des croyances basées sur des hypothèses et qui déclenchent des peurs collectives et à terme rendent les gens malades. Car la peur rend malade.

Tout est cyclique dans l’univers : le climat n’y fait pas exception
Rien n’est constant dans l’univers. Car comme Pythagore le disait, « Tout est vibration ». Or, qui dit vibration, dit cycle et mouvement. Le climat ne fait pas exception à cette loi et il a beaucoup varié depuis des millénaires et le fera encore.

Une seule constance : l’inconstance
Les cycles astronomiques et géologiques ont été cités pour la première fois en 1920 par M. Milankovitch : il cita des cycles cosmiques de 400 000 ans, 40 000 ans, sans oublier la précession des équinoxes (20 000 ans, 2000 ans),  etc. Et naturellement il y en a d’autres, connus ou inconnus. Or cette perspective relativise notre climat actuel et montre qu’il n’est pas particulièrement chaud par rapport à d’autres époques antérieures beaucoup plus chaudes alors dépourvues de toute pollution humaine… En fait, le changement climatique est une norme, pas une exception et là pollution due à l’activité humaine n’y change rien car nous ne possédons pas encore une technologie capable d’influer sur les rythmes cosmiques. Nous ne parlons pas ici d’une pollution déclenchée par un conflit atomique, qui déclencherait un hiver nucléaire.

La Terre vibre
L’orbite de la Terre autour du soleil n’est pas fixe, elle varie, ainsi que l’axe des pôles. Ces variations font osciller l’exposition de la planète par rapport au soleil qui est lui même changeant dans son activité cosmique.

Une hypothèse n’est pas une vérité : Il n’existe pas de « climat global ».

N’en déplaise à Al Gore et ses apôtres, les études paléoclimatiques montrent que non seulement notre climat n’est pas si chaud que cela, mais aussi que notre atmosphère a déjà contenu beaucoup plus de CO2  (gaz carbonique) et de CH4 (méthane), à des époques dépourvues de pollution humaine. De plus, l’expression « climat global » ne correspond à aucune réalité scientifique : la température fluctue comme elle l’a toujours fait et le fera toujours : les variations sont locales, ponctuelles et non globales. Ajoutons que la météorologie est une science en plein développement et que les scientifiques ont beaucoup de mal à modéliser le cycle de l’eau qui a une influence drastique sur le climat, contrairement au CO2…

L’arbre qui cache la forêt
Le Climatic Research Unit (CRU) a montré en 2003 que le réchauffement constaté dans les deux périodes 1920-1944 et 1977-2001 n’est statistiquement significatif que dans 10 à 20 % des grilles de modélisation du globe. Ce qui exclut la notion de globalité.

Les « records » climatiques sont très médiatisés (températures, sécheresse, tempêtes, cyclones, ouragans, inondations, etc.) et viennent cacher les faits : Il y en a toujours eu et l’obsession du climat alimente le marché de la peur et fait vendre du papier afin de vendre ensuite peut-être… des médicaments!

La couleuvre qu’on veut nous faire avaler
Rappelons que l’effet de serre, c’est bon! Sans lui, on la terre serait inhabitable. La production  « humaine » (industrie, automobiles) représente à peine 2% de la production « naturelle » de gaz à effet de serre : 3 W/m2 (watts par mètre carré) contre 155 W/m2. En résumé, le protocole de Kyoto qui est sur toutes les lèvres, repose en fait sur des incertitudes majeures. Notre connaissance des modèles climatique est très incomplète : la météorologie est de nature locale, imprévisible et catastrophique, c’est-à-dire, statistiquement modélisée dans des expressions isolées, extrêmes et aléatoires (inondations, sécheresses, cataclysmes, etc.). Donc, faire baisser la production de CO2 ne changera rien au climat qui est un système chaotique, non-linéaire!

Rappelez-vous : c’est le soleil qui réchauffe la terre. Le CO2, les plantes en raffolent et elles en ont besoin alors que la vapeur d’eau représente l’élément le plus déterminant en matière d’effet de serre, sans parler des pets de vaches qui sont beaucoup plus polluants que le CO2.

De plus les normes « anti-pollution » imposées aux pays pauvres représentent un nouveau diktat impérialiste en créant un néo-colonialisme climatique représentant un frein de croissance majeur pour les pays du sud.

Les glaciers
Ils reculent, oui. Mais entre 1960 et 1970, ils ont avancé (augmenté) dans les Alpes. Et il est prouvé qu’il y a 3500 ans, ils étaient plus petits. On trouve même des traces d’agriculture très ancienne dans le haut Valais (Suisse) qui ont été découvertes récemment grâce au recul de la glace. La récession actuelle des glaciers n’est pas nouvelle, car elle est documentée depuis le 19e siècle qui marque fin du petit âge glaciaire durant lequel il a fait très froid en Europe entre 1550 et 1850. Le Kilimandjaro? : Il fond depuis très longtemps et entre 1912 et 1953, il avait déjà fondu de 45%… Les pôles? : Ils fluctuent depuis toujours : la glace fond à certains endroits et épaissit à d’autres… tout est mouvement, rien n’est constant.

Entre le 10e et  le 14e siècle, il faisait plus chaud qu’aujourd’hui (1,5 à 2 degrés C. de plus).

Au 10e siècle, Érik le Rouge et ses Vikings ont nommé une nouvelle terre Groenland (terre verte).  Les apôtres du réchauffement disent que l’appellation de cette terre était un mensonge pour attirer les colons. En même temps il est reconnu qu’à cette époque il faisait plus chaud qu’aujourd’hui donc cette terre était réellement plus verte qu’à notre époque. C’est à rien y comprendre, on nage en pleine confusion. Il y eût jusqu’à 400 fermes laitières dans ce pays. Cette période a été ensuite suivie par une autre, beaucoup plus froide.

Le GIEC (Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat – IPCC en anglais)
Cet organisme onusien conseille les chefs de gouvernements.  Les dirigeants de cet organisme ont des idées préconçues érigées en dogmes et ne tolèrent pas la dissidence. Des chercheurs ont démissionné parce qu’ils jugeaient non-scientifiques les méthodes employées par les chefs qui orientent l’interprétation des résultats de recherche en fonction d’idées préalablement établies qu’ils ont quant aux résultats qu’ils veulent démontrer. On parle de dictature qui cherche à éliminer ou museler toute forme d’opposition.

Par exemple, le Pr Henrik Svensmark et ses collègues du centre spatial national danois a découvert que  le climat de la Terre était modifié par l’influence cosmique et non par l’activité humaine.  Ses découvertes, publiées en octobre 2006 par la Royal Society de Londres, mettent en corrélation l’activité cosmique en provenance de la Voie Lactée  et l’activité des nuages de basse altitude (plus de nuages bas égale plus de chaleur). Il a remarqué que la proportion de la couverture nuageuse de la Terre augmentait lorsque l’activité cosmique bombardant la Terre en permanence augmentait et rétrécissait lorsque l’activité cosmique était en phase décroissante. Ces découvertes ont été qualifiées de naïves et irresponsables par les dirigeants du GIEC.

D’autres scientifiques ont reçu des menaces de mort car ils remettaient en question l’origine humaine du changement climatique. Ils ont déclaré que le débat sur le « global warming » a été piraté par une solide alliance de politiciens, scientifiques et environnementalistes qui ont étouffé tout questionnement au sujet du véritable impact environnemental des émissions de gaz carbonique qui est négligeable.
 
Le Pr Timothy Ball, climatologue de l’Université de Winnipeg, Canada, a reçu 5 menaces de mort par courriel. Il déclare notamment qu’il est irrévérencieux de lui reprocher d’être sceptique, car dit-il, c’est le travail d’un scientifique que d’être sceptique. La théorie du réchauffement global est devenue une religion dogmatique qui étouffe les avis divergents, d’où l’apparente « unanimité » de la « communauté scientifique ».

Nous n’en connaissons pas encore assez sur la musique des sphères…
Les données recueillies en 2005 par la NASA en provenance des missions Mars Global Surveyor et Odyssey suggèrent que le climat de Mars suit celui de la Terre, c’est-à-dire que leurs climats respectifs se réchauffent en parallèle : la « calotte glaciaire» d’oxyde de carbone proche du pôle sud de la planète rouge, diminue depuis trois ans. Mais ce réchauffement est dû à des causes naturelles, pas humaines : l’activité solaire… Habibullo Abdussamatov, directeur  de l’observatoire astronomique de Pulkovo de St-Petersbourg en Russie, dit que les données recueillies en provenance de Mars prouvent que les changements climatiques terrestres sont dus au soleil et pas à l’activité humaine, à moins que les sondes déposée récemment sur Mars par la Nasa aient eu un impact majeur sur l’influence de son climat…

Par Emmanuel Comte, Sonologue

© 2007 Emmanuel Comte

Références :
http://www.climat-sceptique.com
http://www.revuefusion.com
http://www.institutmolinari.org/editos/2004505.htm
http://www.uisba.com/documents/ANIMATION/COMPTES_RENDUS/CRROSSI.pdf

En anglais :

http://news.nationalgeographic.com/news/2007/02/070228-mars-warming.html
http://www.canada.com/nationalpost/news/story.html?id=d2113c58-030a-4390-a12c-30f45d75dfa5
http://www.friendsofscience.org/index.php?ide=4
http://www.telegraph.co.uk/news/main.jhtml?xml=/news/2007/03/11/ngreen211.xml
http://abcnews.go.com/International/story?id=2938762&page=1

Conférence : Changements climatiques, mythe ou réalité?
Par Emmanuel Comte

Les gaz à effet de serre du ‘réchauffement global’ sont-ils une théorie ou un fait?
Devant l’ampleur et la tournure du débat médiatico-politique sur le sujet du ‘réchauffement global’ et ses causes réelles ou imaginaires, nous allons nous interroger sur ses bases scientifiques au-delà de toute idéologie et faire la différence entre une écologie émotionnelle et une écologie scientifique. La plus grande peur humaine est-elle la résistance au changement? Un sujet chaud.

Mercredi 11 avril 2007 – 19h30 
Prix d’entrée : 20$
Centre St-Pierre, 1212, rue Panet, Montréal
Un Événement Vox-Populi

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