DEVENIR UN ÊTRE HUMAIN RESPONSABLE DE SA VIE

Un être humain responsable de sa vie s’approprie ou accepte la responsabilité de toutes ses perceptions personnelles face à tout ce qui s’est produit et se produit dans sa vie. Il accepte de regarder tous ces événements et de se poser cette question: «Qu’ai-je à apprendre de cette expérience?». Notre moi profond, notre identité profonde sait très bien pourquoi nous sommes ici sur la terre, vers quoi nous évoluons et dans quel but. Tout ce concours de circonstances qui nous entourent nous offre les conditions parfaites à notre évolution.

Nous découvrons la spiritualité à travers la maladie ou à travers des expériences traumatisantes. Tous ces événements nous servent de leçons pour grandir, nous épanouir, nous faire prendre conscience de ce que nous sommes réellement. C’est une ouverture vers notre champ de conscience. Un être humain responsable de sa vie est aussi une personne qui permet aux personnages de son entourage (conjoint, enfants, amis, employés ou autres) de régler leurs propres problèmes afin qu’ils puissent eux aussi être plus conscients de ce qu’ils sont.

Devenir un être humain responsable de sa vie est impossible si nous demeurons un enfant dans un corps d’adulte, si nous conservons une façon excessive de réagir aux événements.

Ainsi, nos relations ne peuvent pas être satisfaisantes et nos communications ne sont pas authentiques, dès que le profil de responsabilité que nous avons développé dans le passé pour fonder notre image de nous-même demeure lui aussi infantile. Cette image de nous-même est directement construite à partir de nos perceptions personnelles des actions posées et des paroles prononcées par les autorités parentales. C’est à la suite de ces perceptions que se sont installées les différentes croyances qui auront des conséquences sur les expériences que nous créerons dans notre vie. Ces conséquences détermineront notre «Je suis».

Les questions que les gens se posent
— Pourquoi dois-je toujours travailler aussi fort?
— Pourquoi est-ce que je n’arrive pas à m’amuser?
— Pourquoi les gens ne reconnaissent-ils pas ma valeur?
— Pourquoi suis-je toujours rejeté?
— Pourquoi suis-je toujours de trop?
— Pourquoi est-ce que je permets aux autres de m’utiliser?
— Pourquoi ai-je de la difficulté à me faire plaisir?
— Pourquoi est-ce que je m’embarque toujours dans des relations abusives?
— Pourquoi suis-je incapable de dire non?
— Pourquoi suis-je aussi exigeant(e)?

Ce que j’ai PERÇU, je l’ai CRU
Ce que j’ai CRU, je l’ai CODIFIÉ
Ce que j’ai CODIFIÉ est devenue Ma Vérité
Ma VERITÉ a fait ce que JE SUIS
QUI SUIS-JE?

Ma perception est devenue ma croyance,
ma croyance est devenue ma vérité,
ma vérité est devenue mon guide
et mon guide a déterminé mon «Je suis».

Chacun de nous devient comme l’un de ses parents (en partie), habituellement la femme comme sa mère et l’homme conme son père (dans l’acceptation ou dans le rejet des qualités masculines ou féminines) et nous entrons en relation avec quelqu’un qui ressemble à notre autre parent. Si nous acceptions de regarder de près ces mécanismes de formation de notre couple idéal et si nous estimions leur réelle importance, nous pourrions non seulement mieux créer notre bonheur, mais nous pourrions aussi atténuer la profondeur des blessures chez nos enfants intérieurs.

Dès que l’on reprend l’entière responsabilité de ce que nous ressentons et de ce que nous vivons, nous devenons aptes à trouver ce qui est essentiel au maintien de notre équilibre psychologique et nous sommes plus sensibilisés à nos valeurs humaines personnelles: notre liberté, notre identité, le respect de soi et notre compréhension personnelle des choses.

DEVENIR UN ÊTRE HUMAIN RESPONSABLE DE SA VIE, C’EST AUSSI:
– être  capable de s’écouter si l’on veut être à l’écoute des autres
 – accepter d’être disponible envers nous-même si nous voulons l’être pour les autres
 – nous aimer dans nos différences et nos contradictions afin d’aimer l’autre tel qu’il est
 –  nous accorder l’estime, la reconnaissance, l’accueil et la compréhension à nous-même avant de les accorder aux autres
 –  nourrir nos propres besoins sans attendre l’approbation des autres, avant d’aider les autres à répondre à leurs besoins
 – accepter de faire le point sur nos besoins au lieu de continuer d’agir par devoir, par habitude, parce que l’on n’a pas le choix ou pour être aimé de l’autre. 
 
En faisant le point, nous devenons plus conscient de ce que nous faisons et du pourquoi nous le faisons.

– accepter de prendre conscience des croyances fondamentales qui déterminent notre «Je suis»,
– conserver les croyances qui sont positives et créatrices et modifier celles qui sont négatives et destructrices et qui nous entraînent à de l’autosabotage et  nous accepter entièrement dans notre «Je suis»,
– nous donner le droit de nous exprimer, nous dévoiler, nous montrer tel que nous sommes avec nos forces et nos faiblesses, notre richesse et notre pauvreté,    nos vérités et nos contradictions,
– accueillir nos talents, notre fantaisie, notre identité et notre créativité, c’est enlever tous nos masques et être vrai en toutes circonstances
– être guidé par la joie d’aimer et de donner plutôt que par la peur de ne pas être aimé et de ne pas recevoir
– tirer partie d’une situation pour grandir au lieu de nous laisser nous empêtrer dans notre souffrance ou de nous énergiser dans notre rôle de victime
– accueillir en nous nos besoins de fondamentaux tels le besoin d’identité, de sécurité affective et maternelle, d’intégration et de partage dans un groupe,besoin de liberté et d’autonomie, besoin de reconnaissance ou d’accomplissement, besoin de présence et d’attention, besoin de faire confiance et . .recevoir la confiance et besoin d’aimer et d’être aimer.

– nous respecter et redire tous les jours cette affirmation:
«J’accueille totalement toutes les décisions prises, les actions posées et les réactions manifestées jusqu’à aujourd’hui comme étant des expériences importantes qui m’ont permis de devenir ce que je suis maintenant.

J’accueille et j’accepte que, étant donné les circonstances et mon état d’être à chacun de ces moments-là, toutes les décisions que j’ai prises étaient bien correctes».

Dès que nous ne prenons pas la responsabilite de notre vie, nous ne sommes pas nous-même dans notre façon de vivre nos relations avec notre conjoint, nos enfants, nos parents et nos patrons. Si nos besoins de sécurité et de confiance intérieure n’ont pas reçu toute l’attention nécessaire pour se développer, nous éprouvons de la difficulté à être vrai.

Notre capacité de nous aimer nous-même est égale à notre capacité d’être vrai.

Par Christiane Fortin

Évaluation et expertise: la liberté de votre âme
Rencontre individuelle au Centre d’Écriture « Retour sur Soi » pour évaluation. Différentes circonstances empêchent les individus d’être libre au niveau de leur âme.

Trois volets vous seront présentés :
1 : si vous éprouvez de la haine, de la rage, de la rancune ou du ressentiment envers quelqu’un, votre âme n’est pas libre. Ces émotions vous gardent prisonniers.
2 : si une personne chère est décédée et que vous n’avez pas accepté ce départ ou que vous vivez de la culpabilité, votre âme n’est pas libre.
3 : si une ou plusieurs âmes en détresse exercent une emprise sur vous, votre âme n’est pas libre.

La liberté de l’âme
– Vous êtes présentement en arrêt de travail,
– Vous éprouvez de grandes difficultés dans la vie,
– Vous êtes toujours très fatigué,
– Vous ne dormez pas bien,
– Vous êtes facilement irritable,

Peut-être que la cause n’est pas du tout ce que vous pensez ou même ce que l’on vous a dit.

En communiquant au 418-875-4774 ou 1-866-241-4774,
je pourrai vous donner plus d’informations.

Pour en savoir plus sur l’auteure, nous vous invitons à visiter sa fiche sur Alchymed.