L’élévation de conscience, mythe ou une réalité?

… « l’humain est-il bon ou mauvais? », il faut néanmoins essayer de comprendre pourquoi il existe tant d’actions, tant de faits, tant de situations en opposition avec le rêve de l’humanité de vivre dans la joie et le bonheur.

La violence, le chaos, l’injustice a toujours occupé une part important dans l’histoire de l’humanité. Sans entrer dans le débat sur  «l’humain est-il bon ou mauvais?», il faut néanmoins essayer de comprendre pourquoi il existe tant d’actions, tant de faits, tant de situations en opposition avec le rêve de l’humanité de vivre dans la joie et le bonheur.

Est-ce un fait typiquement humain? Je ne crois pas. Il serait naïf de croire que seuls les humains ont ce monopole. La violence se trouve à tous les niveaux de l’évolution, tuer n’est pas une invention de l’homme mais bien de la nature. Dans la nature la notion de mal et de bien n’existe pas, le crocodile ne s’excuse pas d’avoir croqué la jambe d’un touriste imprudent, ni la lionne d’avoir déchiqueté un jeune impala qui courrait moins vite que les autres vu son jeune âge…

Nous avons nous les humains glorifiés et anoblis cette violence par des attitudes sociales moralisantes. Le mythe du Héros en est un bon exemple : le super policier qui tue tous les méchants ou encore les 300 héros des temps anciens qui ont mit en pièce des milliers voire des millions de méchants barbares…   N’est ce pas aussi de la violence ? Ce comportement humain ne vient-il en ligne directe d’un comportement biologique que l’on retrouve à tous les niveaux du règne  biologique, végétal et minéral? Elle emprunte des aspects les plus complexes.  Pour ne parler que du règne biologique, à l’échelle moléculaire, les myxobacteries se regroupent en meute pour attaquer leur proie. Les fourmis qui mettent au point des stratégies pour attaquer une autre colonie et en faire leur esclave. Les singes qui forment des alliances pour s’emparer des femelles et du territoire d’un clan adverse ou encore le mâle dominant qui se défoule sur les autres situés en bas de l’échelle de préséance…  Les humains s’inscrivent bien dans ce plan naturel de la vie. « Ce mal est donc génétiquement inscrit dans nos gènes et ce mal viendrait d’une projection de certains mouvements internes que nous avons en nous depuis l’aube des temps et que nous refusons parfois de voir. Ces monstres cachés sont inhérents au fonctionnement intime de notre monde biologique enfoui dans notre nature inconsciente. Nous ne pouvons renier nos origines même si celles-ci nous font voir la nature intime de l’être humain à  ce stade de notre évolution».  … et pourtant.

Il existe ce que nous appelons la conscience ou l’état de conscience. J’aimerais faire une distinction avec la conscience primaire passive et la conscience supérieure d’accès active (la Conscience Absolue). La conscience primaire passive est présente chez de nombreux animaux et nous permet principalement d’avoir conscience par nos sens de notre environnement accompagnée d’aucune impression subjective d’être une personne (comme la conscience de soi)  avec un passé et un futur (présent remémoré). Cette conscience fonctionne sans attention nécessaire et laisse l’inconscient diriger totalement notre vie, puisque elle est passive, l’information venant de l’inconscient vers le conscient.  Notre corps biologique fonctionne à 98% d’une manière inconsciente sans même que nous y pensions. Hors dans cette inconscience flottent toutes nos souffrances du passé et les réactions inconscientes teintée de passé génétique dont nous avons parlé plus haut.  La conscience supérieure d’accès active qui s’ajoute à la conscience primaire, est matérialisée par son action volontaire dans son environnement. Celle-ci ne fonctionnant qu’en état d’attention et d’éveil.  Et l’information cette fois circule du conscient vers l’inconscient.  C’est ainsi qu’une action menée avec cette conscience absolue  permet d’agir sur notre corps biologique ramenant, par exemple, la paix et l’harmonie dans notre être la ou régnait le chaos et la souffrance.

La Conscience Absolue existe au sein même de nos cellules, c’est ce que Bruce Lipton, docteur en biologie appelle la conscience cellulaire. Le corps humain où vivent de plus de 50000 milliards de cellules  est une merveille d’intelligence, d’harmonie et d’énergie biologique.  L’évolution de notre nature continue et cette conscience cellulaire transcende le corps humain pour que se constitue dans une autre étape de l’évolution le corps de l’humanité. Cette conscience supérieure d’accès doit être active, volontaire et permanente, ce que j’appelle la Conscience Absolue. Ce corps  de l’humanité s’intègre ou se réintègre à un principe encore plus grand, la Conscience Universelle.

Notre conscience absolue n’est pas entièrement réalisée et a ou a eu besoin d’une période de transition. De cet état de conscience est apparu ce que l’on appelle dans différentes traditions  « état de souffrance », « corps de souffrance » ou  la chute de l’Eden, le péché originel … etc.  Mais pourquoi devrions nous souffrir pour accéder à une conscience supérieure?

À titre de comparaison permettez moi d‘illustrer mes propos par une histoire fictive bien que très réaliste.  Nous sommes il y a quelques millions d’années  dans un environnement luxuriant et  verdoyant, type Tahiti en été. Notre peau est lisse et sans poil, température oblige (quand je dis nous, je ne parle pas de vous et moi, mais les créatures peuplant notre terre il y a plusieurs millions d’années..). Soudain, badaboum! Le climat se détériore et vlan, nous voilà avec un environnement type pôle nord du jour au lendemain ou du moins sur un délai très court. Que va-t-il se passer?  La plupart des créatures risquent de mourir de froid et même de faim. Et pourtant la nature en perpétuelle évolution et adaptation va réagir. En effet pour permettre aux créatures de survivre, notre corps va produire un élément miracle, le poil, la fourrure… et cela tout « naturellement ».  Bien sûr beaucoup n’auront pas la chance de survivre n’ayant pas suffisamment de poil pour se protéger du froid,  d’autre souffriront aussi cruellement du froid mais survivront et avec un peu de chance certains pourront ainsi transmettre génétiquement ce besoin de long  poils pour survivre aux générations suivantes jusqu’au jour où la mutation sera terminée et la souffrance disparue. Enfin le retour au bonheur et la joie de vivre… Merci mère nature. Nous sommes actuellement nous aussi dans une transition. Et Cette transition vers cet état de conscience supérieur me fait penser à cette histoire. Nous sommes dans la souffrance car il nous manque « du poil ».  « Ce poil » n’est pas assez long pour nous protéger de « notre passé inconscient » dominant notre vie et des monstres qu’il a engendré : égo destructeur assoiffé de victoires, mental dominant et exploiteur, pulsions incontrôlées, émotions esclavagistes…  Il y a vraiment de quoi souffrir!

Il est donc nécessaire que chacune de ces cellules qui composent l’humanité c’est-à-dire nous les humains, soyons tous conscients de la nécessité de créer l’équilibre au sein même de ce corps et de notre environnement.  De nous réveiller à ce besoin vital d’accéder à cette conscience sous peine de disparaître, tous morts « d’inconscience  chronique » ou de manque de « poil » . Nous ne pouvons pas faire n’importe quoi. Imaginez-vous ce qui se passerait dans notre corps si chaque cellule de notre corps biologique se mettait à faire n’importe quoi…   c’est pourtant un peu ce qui se passe dans nos actes et actions pour nous mêmes et pour notre planète. Ne nous souhaitons tous pas le bonheur  dans cette vie? Cet état de félicité tant rêvé, tant voulu par nos démarches, dans nos cris… Pour cela il faut s’y mettre … heureusement l’humanité est en « mutation » et beaucoup ont déjà bien amorcé le changement vital. Nous sommes responsables de notre Vie,  Vie qui coule en nous comme dans tout ce qui nous entoure et le reste de l’univers.  Nous sommes avant tout la Vie, soyons la Vie!  Ne pas en Être conscient c’est se considérer comme « inexistant » et c’est surtout  risquer de mourir de  « froid » et dans la souffrance.  Il reste un peu de chemin à faire et cela commence par le « HIC ET NUNC » devise de la chevalerie de 11e siècle qui veut dire, comme vous l’avez certainement deviné « ICI ET MAINTENANT ».

Comment franchir le « passage » de cet état «conscience primaire », état incontrôlé de chaos, source de bien des maux, à l’état de conscience Absolue et le rester d’une façon permanente ?

Comment faire évoluer notre conscience jusqu’au sein de nos cellules et profiter de tout le potentiel de la présence de soi en soi ?

C’est ce que propose l’atelier  « l’Instant Présent » et la formation en Magnétisme Épigénétique. L’atelier  permet de mieux prendre le contrôle de notre vie, de notre état physique, de notre état mental et de notre état spirituel en se plaçant au cœur même de la Vie, au cœur même de l’Énergie qui la compose.

La formation est emplie de cette quête de félicité et d’harmonie Corps-Esprit nécessaire à la pratique du Magnétisme Épigénétique ou de la vie simplement.

Merci de d’avoir pris un peu de votre temps pour me lire,  je vous souhaite la vie heureuse et épanouie  …

Giulio Fioravanti, Fondateur, formateur et praticien du Magnétisme Épigénétique

www.corpus-energie.ca
514-792-1199

Initiation à l’INSTANT PRÉSENT
Du 16 au 17 juillet  2011

Avertissement :
Vous allez entreprendre un voyage au cœur de la vie sans filet ou presque. Vous allez passer dans un court laps de temps différentes épreuves ou étapes afin d’arriver au « seuil de la porte ». Seuil de porte que vous franchirez seul(e)…
Renseignement : 514-792-1199  ou   http://bit.ly/gt9XnJ