Quand la vie décide de nous coacher!

Passer de consultante performante mais stressée à coach ? C’est possible. Mais la condition préalable est d’avoir survécu au cancer. Louise dit que la vie l’a sculptée! Mais les gouges et les ciseaux utilisés ont été acérés et cruels. Un peu comme la publicité des rasoirs où le Monsieur disait : j’ai tellement aimé la compagnie que je l’ai achetée, Louise a fait un virage à 360 degrés dans sa vie et a adopté l’imagerie mentale comme son cheval de bataille. Une enthousiaste, une passionnée, une tornade! Elle prépare un voyage-atelier pour aller nager avec des dauphins sauvages en mai 2007!

Si vous aviez rencontré Louise Vincent vers la fin des années 1997, vous ne la reconnaîtriez pas aujourd’hui! Et pour cause! Le début de 1998, juste après le verglas de la Montérégie qui l’a laissée dans le noir onze jours de temps a poursuivi son œuvre de « déconstruction » tout le reste de l’année.

Louise dit que la vie l’a sculptée! Mais les gouges et les ciseaux utilisés ont été acérés et cruels : le cancer a frappé dans une famille qui n’avait pas d’historique, où l’action et même l’agitation étaient de mise et où se reposer était mal vu.

Elle était à ce moment-là consultante en informatique, un emploi très bien rémunéré mais stressant, où la performance est un ingrédient sine qua non. Et comme Louise était une superwoman, performante et même perfectionniste, ce poste lui allait très bien!

C’est donc avec choc et panique qu’elle entendit le verdict de cancer. Quoi? Moi??? Elle passa par toutes les étapes du deuil : choc, colère et agressivité, et même marchandage : je vais changer ce qu’il faut dans ma vie, m’endormir et me réveiller et tout sera ok comme avant. Mais le « comme avant » ne revint jamais.

Heureusement pour elle!

Durant l’année qu’il lui a fallu pour travailler à sa guérison, elle a affronté chirurgie, chimiothérapie et radiothérapie. Tout le kit! Mais chaque étape lui offrait de nouveaux défis, et elle abordait la suivante en se sentant de plus en plus « compétente » comme malade! Des amies lui ont parlé d’un livre de Carl Simonton, l’Aventure d’une guérison, et c’est avec ferveur qu’elle a pratiqué les exercices d’imagerie mentale préconisés par le célèbre cancérologue, couchée en travers du plancher du salon. Après une période de relaxation, elle se créait un film, un genre de rêve éveillé. Dans son imagerie préférée, elle était couchée sur un lit de gazon très vert et elle voyait une multitude de petits balayeurs aussi habillés de vert qui brossaient tout son corps de la tête aux pieds, enlevant toute toxine et toute cellule malade.

Elle a utilisé l’imagerie mentale pour apprendre à se calmer, pour apprivoiser sa grande peur des aiguilles qui devenait un véritable handicap et pour ne pas brûler lors des traitements de radiothérapie. Le radio-oncologue devant sa peau blanche et intacte a été surpris – agréablement – et lui a dit : dites-le à tout le monde! Cher docteur : vous n’avez aucune idée de la vague que vous avez ainsi créée!!!

Un peu comme la publicité des rasoirs où le Monsieur disait : j’ai tellement aimé la compagnie que je l’ai achetée, Louise a fait un virage à 360 degrés dans sa vie et a adopté l’imagerie mentale comme son cheval de bataille.

De consultante elle est devenue coach, suite à de la formation qui dure depuis plus d’un an et qui continuera encore cette année.  Ses études en psychologie et ses nombreuses formations en relation d’aide ont été mises à jour. Elle est en contact avec des experts en imagerie mentale qui la dirigent vers les bonnes études et les bonnes lectures. Et le summum, elle est allée perfectionner ses techniques d’imagerie avec le Dr Carl Simonton lui-même!

Qu’est-ce qu’elle fait avec l’imagerie mentale?

Elle a mis sur pieds une série d’ateliers qui durent entre six et dix rencontres et qui s’adressent aux patients atteints de cancer ou autres maladies graves; à leurs proches qui vivent la maladie par procuration mais qui vivent en plus leurs propres bouleversements et souvent confrontés à l’impuissance; aux intervenants, infirmiers et infirmières afin de garder leur propre cap dans ce milieu de maladie exigeante et de deuils à répétition.

Et elle a même adapté des ateliers pour stimuler et débloquer la créativité et cela sert entre autres aux écrivains et artistes qui ne croient plus à leur potentiel artistique, ou qui sont boudés par leur muse! Évidemment l’imagerie mentale peut aussi être enseignée et utilisée par monsieur et madame tout le monde, qui désire un nouvel outil d’exploration de soi afin de trouver ses réponses personnelles en cette société où on nous bombarde de diktats, de conseils et de modes à suivre si on veut être « in ».

L’avantage que l’imagerie mentale a sur la méditation est qu’elle convient aux personnes qui sont plus actives que méditatives. Mais elle permet la même profondeur d’introspection. Un participant sceptique a commenté que cela prenait la foi pour faire de l’imagerie mentale. Mais il n’avait pas lu la bibliographie fournie dans les notes de cours! En effet Louise base sa démarche sur les principes de Carl Simonton et utilise des exercices d’imagerie préconisés par des médecins et psychologues. D’ailleurs plusieurs psychologues sont enchantés de ses ateliers donnés dans les hôpitaux ou chez elle en Montérégie : en coaching de groupe, elle aborde certains thèmes et « ouvre » certaines portes qu’eux continuent à explorer en rencontres individuelles. Un parfait maillage dont le participants ou patient sort grand gagnant!

Il y a peu d’experts en imagerie mentale au Québec, et Louise se donne comme défi personnel de continuer à se perfectionner et de répandre cet outil autant que possible. Les témoignages des patients en traitements contre le cancer ont été touchants : certains ont réussi à vaincre des peurs paralysantes en utilisant cet outil pour se désensibiliser à ces situations; d’autres ont finalement trouvé le courage nécessaire pour faire les tests recommandés par leur médecin, augmentant ainsi leurs chances de survie. Certains ont su enfin se mettre au premier rang dans leur propre vie, trouvant même plaisir à se faire des gâteries longtemps ignorées. D’autres ont retrouvé le plaisir d’écrire, de peindre, de prendre du temps pour soi.

Louise travaille principalement à calmer la panique et la peur. Elle sait l’action néfaste et paralysante que ces deux émotions peuvent avoir dans une vie. Elle travaille aussi à mettre les agissements et les croyances en conscience : comment j’agis, et pourquoi. Et surtout, est-ce que j’ai encore besoin d’agir ainsi? Est-ce que mon environnement est toujours le même et requiert cette stratégie particulière de survie?

Son écoute est un outil de présence nécessaire et même crucial dans ce genre d’atelier : elle saisit le bon mot, le bout du spaghetti, comme elle dit, le filon d’or qui même à la réponse de la personne. Les commentaires fusent : je n’avais jamais vu cela comme cela… tu m’ouvres des portes… tu me fais réaliser que…

Il n’y a pas de rencontre facile avec elle! Formée comme coach à l’École Coaching de Gestion de Montréal, elle utilise des questions puissantes qui ne laissent pas de place aux faux-fuyants. Elle-même sensible, elle donne du feedback aux participants, dans le respect et le doigté qui conviennent à la situation.

Elle invite les participants à sortir de la comparaison, à prendre contact avec leur propre réalité et ce, sans jugement. Pas de « guilt trip » avec elle! Il n’y a jamais de bonne ou de mauvaise réponses. Quand elle donne à ses participants des grilles ou des questionnaires à remplir – ses « requêtes » de coach – elle les invite à les remplir à la mine, et à observer comment les réponses peuvent varier dans un mois ou deux. En apprenant à être des observateurs, elle les invite à être des Sherlock Holmes de leur propre vie! Des explorateurs aussi, et en bout de ligne, des créateurs…

Créatrice? Louise l’est certainement! Ses amis se demandent encore comment elle a réussi à vendre une maison en trois semaines au prix qu’elle voulait pour en racheter une autre quelques temps plus tard en deux semaines à un prix abordable en pleine flambée des prix avec une date d’occupation incroyablement courte… Ils en sont essoufflés pour elle!

Après des années d’hésitation, elle s’est mise à l’aquarelle et a même eu le courage d’en offrir une à Jacques Salomé, le préfacier de son livre, Survivante du cancer. Le livre qui a paru en octobre dernier chez Louise Courteau éditrice est présent dans les bibliothèques des hôpitaux, de la Fondation Québécoise du cancer, du Réseau Québécois pour la santé du sein et la Société Canadienne du Cancer.

Louise a noté dans son livre qu’être une battante a parfois été un problème, mais que dans ce cas, ce fut la solution. Elle n’a jamais baissé les bras. Au contraire, elle a pris à bras le corps les défis que la vie lui a imposés et a su en tirer des aspects positifs.

Aimerait-elle revenir « comme avant »? JAMAIS! Répond-elle avec urgence.

J’ai découvert en moi des qualités qui dormaient, entre autre la douceur, la patience, la tolérance, qualités qu’elle n’exprimait pas avant, en tant que « vieille » Louise.

« Quand je donne des ateliers à des gens en quête de sens de la vie, je sais par quoi ils passent; je connais leur angoisse, leur désespoir. Et je peux les aider à dédramatiser, à faire des petits pas dans le sens de leur propre renouveau. »

Elle prépare maintenant un voyage-atelier en mai 2007 pour aller nager avec des dauphins sauvages aux Bahamas !

Une enthousiaste, une passionnée, une tornade! Oui, mais une femme vivante!

Au menu :
– exploration quotidienne dans le territoire des dauphins sauvages
– atelier d’exploration de soi : intégrer le passé pour créer le présent désiré, s’accepter, intégrer son ombre et reprendre son pouvoir
–  yoga avant le déjeuner
– exercices de visualisation (imagerie mentale)
– exercices de respiration « quantique »
– méditations sonores
– célébration du feu
– exploration de la route de Bimini, soit où sont les restes de l’Atlantide, selon le Dr. David Zink, historien
– visite au bassin de guérison « The Healing Hole »
– méditation sur un vortex d’énergie
– visite des dunes de sables qui ont la même orientation que les monuments du plateau de Gizeh en Egypte
– et autres

Namaste.
Louise B. Vincent
Coach professionnel, membre de l’ICF (International Coaching Federation)
Auteure de Survivante du Cancer, chez Louise Courteau éditrice
Formatrice en imagerie mentale

POUR CEUX INTÉRESSÉS AU VOYAGE AUPRÈS DES DAUPHINS SAUVAGES :
Date de tombée pour donner son premier dépôt de 200 $ : le 28 octobre.

Je présenterai un vidéo de 30 minutes pris sur place ainsi que l’itinéraire du voyage auprès des dauphins sauvages en mai 2007 aux Bahamas lors des rencontres d’information.

IL Y AURA une PRÉSENTATION DE CE VOYAGE À QUÉBEC, VENDREDI 20 OCTOBRE 19 HRES
chez CPU Service inc. Au 2323 du Versant Nord, suite 100, Ste-Foy- Québec (Près du Palladium) 

UNE AUTRE PRÉSENTATION SERA FAITE VENDREDI LE 14 OCTOBRE 19 HRES au 2050 Chemin des Patriotes à RICHELIEU.

(450) 447-8880
ou par courriel : [email protected]
détails du voyage sur mon site Internet à : www.loupmarin.com

Notes additionnelles :

Louise est une survivante du cancer du sein qui a participé activement à son processus de guérison ce qui a amené un changement profond dans sa manière de voir la vie et de réagir aux évènements. Elle a découvert, développé et raffiné des outils psychologiques et spirituels puissants dont l’imagerie mentale.

Coach professionnel de formation, Louise met sur pied des ateliers qui invitent les participants à se découvrir, à retrouver leur identité, leur puissance intérieure et à reprendre leur pouvoir et leur autonomie.

Sa solide formation en psychologie et en relations humaines, son intérêt et son amour pour ses semblables, sa façon d’aborder les problèmes humains avec les couleurs de l’âme et du cœur, en font une personne à l’écoute particulièrement sensible aux défis que vous aurez à relever dans ce voyage-atelier.

Pour en savoir plus sur l’auteure, nous vous invitons à visiter sa fiche sur Alchymed.