La maladie, un message d’Amour à comprendre

Mais tout d’abord je peux me poser la question : « La vie est-elle vraiment un jeu? ». Au lieu d’attendre plus loin pour donner la réponse, je tiens à la donner maintenant et c’est OUI!.. Mais peut-être qu’en lisant cette réponse, j’aurai le goût de ne pas poursuivre la lecture de cet article si je vis de grandes souffrances, si j’ai de la difficulté à joindre les deux bouts, si tout l’univers qui m’entoure semble aller de travers; alors de me faire dire que la Vie est un jeu peut m’amener à penser que l’auteur ne vit certainement pas sur la même planète que moi ou bien qu’il est branché sur d’autres réalités un peu imaginaires.

Ce que je puis dire, c’est que les cinquante dernières années m’ont permis de faire un travail sur moi pour pouvoir justement changer mon point de vue face à la vie et recouvrer la liberté qui m’appartient dans ce monde, souvent au prix de grands efforts. La Liberté oui, mais aussi plus d’Amour et de Sagesse, c’est possible.

Pendant plusieurs années, j’ai eu ce mal de vivre qui me poursuivait. Cependant, j’avais en moi cette détermination à vouloir m’en sortir.  Et c’est ainsi qu’au fil des années, j’ai fait bon nombre d’expériences pour faire en sorte de comprendre ce qui se passait dans ma vie, pourquoi je vivais telle ou telle situation et comment faire pour changer ce qui ne me convenait pas.  Cela m’a pris des années à comprendre vraiment que tout le travail que je ferais sur moi m’amènerait plus tard à aider les autres. De la partie rationnelle de mon être et avec ma formation d’ingénieur électricien, la vie m’a présenté bon nombre de situations pour me faire expérimenter ma partie non rationnelle ou intuitive en rapport avec les émotions qui semblaient contrôler ma vie.

Pour ce qui est de la maladie, sauf à de très rares exceptions, nous avons tous été touchés un jour ou l’autre par une maladie même minime, par exemple une grippe.  Si ce n’est pas moi qui ai été touché par une maladie, il y a certainement, dans mon entourage immédiat, des personnes de ma famille et de mes amis qui l’ont été. Je peux trouver les explications en me disant que c’est un virus que j’ai attrapé, que c’est une faiblesse familiale, que c’est à cause du stress, etc. Pour ma part étant jeune, je souffrais de constipation chronique, d’insomnie et je me sentais très irritable.  C’est ce qui m’a amené durant toutes ces années à chercher à comprendre ce que je vivais personnellement.

Je peux me poser des questions en rapport avec le titre de cet article, à savoir en quoi la maladie porte-t-elle un message d’Amour?  Pour y répondre, il est important de comprendre le processus qui conduit à la maladie.

Fonctionnement du cerveau

En résumé, mentionnons que les travaux des dernières années ont permis de mettre en évidence le fonctionnement du cerveau en rapport avec la maladie. De façon succincte, disons que lorsque le cerveau se retrouve en position de surstress psychologiques, il transfert ce surstress psychologique en un stress biologique sous forme de maladie afin de « libérer » le cerveau de ce surstress afin d’augmenter les chances de survie de l’espèce biologique car mon cerveau est un ordinateur extrêmement puissant dont la priorité est la survie de l’espèce et celle de l’être humain.  C’est un fonctionnement que le cerveau utilise depuis des milliers d’années.

En effet, le fonctionnement de mon cerveau n’a guère changé depuis des milliers d’années. La technologie, les connaissances ont avancé mais le fonctionnement du cerveau est resté le même en regard du stress. Ainsi il y a des milliers d’années, si j’étais un chasseur et que je me retrouvais en surstress psychologique, je me trouvais en danger de mort, pourquoi? Parce que je risquais de n’être pas suffisamment efficace pour la chasse et de revenir sans gibier pour nourrir ma famille. Si je me retrouvais en surstress psychologique, je me trouvais en danger de mort, pourquoi?  Parce que je risquais de n’être pas suffisamment vigilant lors de la chasse et il se pourrait qu’un fauve me tombe dessus et me tue et, ainsi privé de nourriture, mette le reste de ma famille en danger aussi.  Si je me retrouvais en surstress psychologique, je me trouvais en danger de mort, pourquoi?  Parce qu’étant toujours en état de surstress, je risquais de ne pas récupérer suffisamment et de me retrouver encore plus dans la situation de ne pas être efficace à la chasse ou de me faire tomber dessus par un prédateur.

Les travaux du Dr Ryke Geerd Hamer ont mis en évidence la relation qui existe entre les conflits relationnels et  psychologiques et la maladie.  De ceci est sortie ce que l’on appelle la loi d’Airain du cancer. Selon cette théorie, « il y a une corrélation qui se vérifie toujours » entre le type de conflit vécu, l’endroit du cerveau où la rupture du champ électromagnétique se produit, vérifiable à partir de scanner, et l’organe touché par le cancer. [1] »

« Le 9 décembre 1988, l’équipe du professeur Jörg Birkmayer, docteur en chimie et docteur en médecine, de l’université de Vienne (Autriche) a vérifié point par point la totale reproductivité de la loi d’Airain du cancer…. Ils confirment donc à 100 % les travaux de Hamer. (…) Le 11 septembre 1998, dix ans plus tard, une nouvelle confirmation scientifique a été apportée par une équipe de l’université de Bratislava.  De nouveau, tous les critères de Hamer ont été vérifiés à 100% (ce qui n’avait jamais été le cas avec aucune théorie médicale jusqu’alors!). (…) parmi les 6,500 patients dont les adresses avaient été confisquées lors de perquisitions au Centre de Médecine Nouvelle dirigé par Hamer, plus de 6,000 étaient encore en vie après 5 ans (soit environ 95%), alors que les statistiques nationales pour les patients soignés par chimiothérapie ou par radiothérapie donnent des chiffres de moins de 30% de survie après 5 ans. » [2]

Ainsi, il n’est plus nécessaire pour moi de penser à prouver la relation qui existe entre le stress biologique et la maladie car ceci a été démontré de façon scientifique sur des milliers de cas.  C’est le temps et l’ouverture de conscience qui permettront à de plus en plus de gens d’être informés de cette réalité.

La relation entre l’Amour et les conflits biologiques

Disons que beaucoup de conflits psychologiques proviennent d’une interprétation d’un manque d’Amour que je peux avoir face à une situation.  Ainsi je peux vivre du rejet, de l’abandon, de la trahison, de la dévalorisation, ce qui pourra créer un stress chez moi.  Si l’événement est important dans l’instant ou s’il se situe sur une période plus ou moins longue, ce stress s’accumulera et, jusqu’au jour où il y aura « la goutte qui fait déborder le vase », deviendra un surstress au niveau de mon cerveau que celui-ci devra gérer et trouver une solution pour diminuer ce stress. La solution trouvée depuis des milliers d’années est celle de transférer ce surstress psychologique en un stress biologique sous forme de maladie afin de libérer le cerveau pour qu’il continue d’être le plus efficace possible. C’est cette relation que met en évidence le livre « Le grand dictionnaire des malaises et des maladies » qui me permet de devenir plus conscient de la cause de la maladie.  Je peux alors m’appliquer à trouver une solution afin de remettre de l’Amour dans la situation qui fera en sorte de rétablir la santé. Je dirais que 99% des maladies sont psychosomatiques mais cela ne veut pas dire de mettre la médecine ou d’autres approches de côté qui sont là pour m’aider en attendant de trouver la solution.

Il est intéressant de savoir qu’il est impossible que je fasse un cancer des os et que je ne vive pas de dévalorisation dans ma vie ou que je fasse un cancer du sein et que je ne m’en fasse pas, consciemment ou inconsciemment, pour mes enfants ou ce qui, pour mon cerveau, représente mes enfants.

Ma responsabilité face à la maladie

C’est donc à moi que revient la responsabilité de changer mes attitudes, mes comportements, mes façons de penser, de consulter en psychothérapie, acupuncture, traitement énergétique, saine alimentation, etc., afin de retrouver la santé ou du moins faire en sorte que la maladie ne revienne pas. Il est important que je sache remettre de l’Amour dans la situation qui est à l’origine du conflit ou du moins développer le point de vue de l’acceptation qui permet de remettre cet Amour en place.

Dans le livre « Le grand dictionnaire des malaises et des maladies », la notion de responsabilité à 100% est constamment présente en toile de fond.  Responsabilité ici ne veut pas dire culpabilité.  Même si cela peut me paraître dérangeant à première vue, il est important de savoir que lorsque j’accepte que je suis responsable à 100%, consciemment ou inconsciemment, de tout ce qui m’arrive, c’est alors que je reprends le plein pouvoir sur ma vie et ainsi, si je me suis fait arriver d’avoir une maladie, j’ai le pouvoir de retrouver la santé.  Voilà l’énorme cadeau que je me donne même si cela implique que je doive faire des recherches pour connaître le conflit à l’origine de ma maladie, même si cela demande de changer mes attitudes ou habitudes de vie ou de pensée face à ma vie, je reprends les rennes de MA VIE. Aussi lorsque je guéris, je me retrouve avec plus d’Amour, plus de Sagesse et plus de Liberté.

Si je m’ouvre au fait que tout est possible, je pourrai ainsi aborder des sujets qui autrefois étaient encastrés dans le béton et à voir d’autres avenues possibles.  Je serai ainsi davantage conscient que je reprends mon propre pouvoir face à ma santé en utilisant les moyens qui sont à ma disposition incluant ceux qui sont traditionnels ainsi que les nouvelles approches.  Tout en ce monde a sa raison d’être, que ce soit la médecine ou les approches alternatives.  Il s’agit de prendre le meilleur de chacun en rapport avec ce que je vis dans l’instant présent.

Si quelqu’un en ce monde détenait le monopole de la vérité, je n’aurais qu’à l’écouter et toutes mes situations s’harmoniseraient d’elles-mêmes. Tout dans cet univers est en équilibre même si je vis une situation que j’appellerais « la maladie ».

Souvent lorsqu’on parle de maladies on pense aux maladies physiques plus spécifiquement.  Cependant toutes les situations qui nous ont occasionné des blessures émotionnelles suite à du rejet, de l’abandon, de la critique, de la trahison ont laissé des traces qui nous font nous sentir malade ou du moins mal à l’aise face à bon nombre de situations. Les résultats se font sentir rapidement dans notre vie à mesure que l’on fait un travail sur soi.

C’est ainsi que j’ai pu remarquer aussi que mon efficacité à l’intérieur des ateliers de croissance personnelle augmentait à mesure que je continuais à faire un travail personnel sur moi. C’est important lorsqu’on est thérapeute de continuer ce cheminement personnel sur soi. Je me suis rendu compte que le changement ou la guérison des participants passait par ce phénomène de transfert qui se faisait à travers moi par ce fluide énergétique que l’on appelle l’Amour. C’est ainsi qu’au cours des années, les guérisons et les prises de conscience se faisaient de plus en plus rapidement, de plus en plus en profondeur chez les participants qui démontraient une ouverture d’esprit face à leur moi supérieur. Cependant, ceci ne pouvait se faire en autant que j’acceptais de me laisser guider par l’intuition ou mon moi supérieur, tout dépendant du nom que l’on veut bien lui donner. C’est pourquoi certains thérapeutes, pour avoir suivi l’atelier, ont avancé que l’atelier « Retrouver l’Enfant en Soi » sur 40 heures représentait 3 à 5 ans de thérapie, 2 ou 3 ans pour d’autres ateliers.

Ce qui résulte du travail avec l’enfant intérieur, c’est une plus grande efficacité au niveau intellectuel, une plus grande paix intérieure au niveau émotionnel et une amélioration au niveau de la santé physique.

Il y a un maître spirituel américain qui disait : « Ce n’est pas ce que je sais qui fait la différence mais c’est ce que je fais avec ».  Alors je peux me demander ce que je suis prêt à faire pour rester en santé ou retrouver ma santé. Le choix est le mien, c’est moi qui ai le pouvoir d’amener des changements dans ma vie pour que cela se produise.

L’Amour est le vrai guérisseur

[1] Le langage de la guérison, Jean-Jacques Crèvecoeur, Éditions Jouvence, p 62
[2] Le langage de la guérison, Jean-Jacques Crèvecoeur, Éditions Jouvence, p 62

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