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Ces maux qui prennent naissance en nous

Petits malaises ou maladies graves tirent majoritairement leur origine de ces pensées que nous entretenons avec force pour ne pas dire avec conviction… Il y a peu de temps, je partageais à l’un de mes proches mes états d’âme lui signifiant que je ressentais, pour utiliser les termes exactes, un trop-plein ou encore une « écoeurite aiguë » dans ma vie actuelle. Moins de 12 heures plus tard, j’étais aux prises avec nausées, vomissements et tout un tas de malaises reliés à mon système digestif qui ont perduré plus de deux journées entières me laissant passablement affaiblie.

Bien que pour certains, la gastroentérite soit un malaise courant, pour moi, qui ne succombe jamais à celle-ci, il s’agissait du reflet exact et d’une résultante directe de mes pensées, de mes inquiétudes et d’un stress que je m’imposais de surcroît en alimentant sans cesse ces dites pensées.

J’ai appelé à l’aide une amie thérapeute en soins esséniens qui m’a confirmé, entre autres choses, que les chakras reliés à mon système digestif « ne tournaient pas rond ». Aucune surprise de ma part, à voir les efforts que je déploie en ce moment à résister à ce qui est, à demeurer figée sur place, bloquant toute avance, tout mouvement, et ce, par peur ou par manque de foi. Ah? manque de foi… ça me rappelle quelque chose… J’ai repris le livre d’Anne « Lecture d’auras et soins esséniens » et suis tombée sur ce passage :

« Les formes-pensées que nous émettons sont toutes à l’origine de nos maux actuels. Un accident, un rhume, une crise de foie ou de foi, ce qui souvent se ressemble, ont vu le jour au moment où nous avons pensé avec force, d’une façon orageuse. Une colère peut agiter le troisième chakra qui va envoyer une information à la vésicule, qui elle-même créera des maux de tête. Quand nous ne parlons pas, le corps nous parle, quand nous parlons « mal », il nous parle encore. »

J’ai bien sûr continué ma lecture, ai feuilleté quelques pages, et vous partage ici une partie de son enseignement qui vous éclairera sur notre responsabilité en tant que créateurs de cette réalité qu’est la maladie.  

Par Viviane Turgeon

Naissance d’une maladie
(tiré de « Lecture d’auras et soins esséniens » aux Éditions SOIS)

La maladie peut prendre sa source dans l’enfance, dans le moment présent ou dans une autre vie. Elle peut aussi avoir été générée par une façon erronée de comprendre un événement, par un sentiment dévastateur, par une vieille culpabilité, peu importe, elle ne se trompe jamais de route et ira droit à l’organe ou à l’endroit qui lui correspond.

Elle mettra simplement quelques instants à agir dans le cas d’un accident, quelques jours s’il s’agit d’un rhume ou quelques années pour un cancer. L’entité-maladie [1] ne comptabilise pas son temps, cette notion lui est étrangère car elle se nourrit en permanence des pensées non évacuées que nous émettons quotidiennement.

Lorsque je conseille dans les soins de couper les vivres ou de cesser d’alimenter une forme-pensée, il s’agit bien de cela. C’est aussi pour cette raison qu’il est important de retrouver nos vieux contentieux, nos nœuds non réglés et souvent oubliés car si notre conscient fait mine d’oublier, le travail de destruction ne cesse que lorsque tout est nettoyé.

Le pardon envers nous-même, le pardon envers « l’autre » est le facteur le plus puissant de cette dissolution. Il éclaire la vie différemment, demande de la compassion pour accepter et comprendre ce que nous étions, ce que l’autre était… à ce moment-là. Savoir qu’avec la compréhension que nous avions de part et d’autre, il ne pouvait en être autrement, facilite le processus de pardon véritable.

Si je parle de « pardon véritable », c’est parce que j’ai bien souvent constaté que l’on croyait sincèrement avoir pardonné alors que nous n’avions fait qu’effleurer le sujet.

Pardonner en superficie, intellectuellement, mentalement, ne peut suffire à éradiquer une forme-pensée car celle-ci n’est pas dupe et vous ne pouvez la tromper. S’il reste au fond de votre cœur la moindre particule de grief, le nettoyage n’est pas fait et le résultat sera toujours en dessous de ce à quoi vous vous attendiez.

Certains sont déçus en disant : « J’ai fait tout ce qu’il y avait à faire et rien n’a changé… ». Dites-vous bien que si rien n’a changé c’est parce que votre pardon n’était pas total. Fouillez au fond de vous, faites-vous aider, mais ne laissez rien, aucune scorie vous détruire encore…

[1] Entité-maladie : à l’époque essénienne, les maladies étaient considérées comme des êtres à basses vibrations se nourrissant de la force vitale d’un organe ou d’un corps entier.

Anne Givaudan, accompagnée de son conjoint le Dr. Antoine Achram, sera au Québec en juin pour y donner les conférences et ateliers suivants :

Conférence sur les formes-pensées :
Le mercredi 4 juin 2008 à 19 h au Centre St-Pierre à Montréal,
Info :
(514) 734-8257

Le mardi 17 juin 2008 à 19 h à l’école Lafontaine à Chicoutimi,
Info :
(418) 672-4136

Atelier sur les formes-pensées :
Du 6 au 8 juin 2008
à Bromont,
Info : (418) 654-1404 ou (819) 357-1864

Formation Lase niveau 1 :
Du 12 au 15 juin 2008
à Bromont,
Info : (418) 654-1404 ou (819) 357-1864

Pour en savoir plus, consultez sa fiche sur Alchymed.

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