Traiter la thyroïde en homéopathie !

Il existe des produits homéopathiques qui peuvent régulariser le fonctionnement de la thyroïde. Il existe des alternatives à l’utilisation des médicaments chimiques de type « syntroïdes». Voici un cas parmi d’autres d’une femme de 50 ans avec un diagnostic de mal fonctionnement de la thyroïde (de l’hypothyroïdie). Les symptômes dont elles souffrent sont : – Constipation – Dépression – Fatigue – Gain de poids – Intolérance au froid – Mal de tête – Ongles cassants – Peau sèche et froide – Perte d’appétit.

L’analyse sanguine donne les résultats suivants : THS à 21.72 (la normale est 6.)     

Pendant trois ans, elle sera sous un traitement. Sa condition s’améliorera et l’analyse sanguine se stabilisera autour de : THS 12.46.

Cependant, comme nombre de femmes à la recherche d’une solution naturelle et craintive des effets secondaires d’une médication chimique, elle est à la recherche d’une alternative naturelle. L’homéopathie se présentera à elle.

Le choix du remède homéopathique sera fait sur la base de symptômes psychiques caractéristiques (ils sont souvent d’une importance capitale pour un homéopathe) et de certains symptômes généraux.
Entre autres :
– Ne parle pas de ses émotions    
– Plusieurs chagrins qui n’ont pu être communiqués   
– Vit sa vie pour ne pas être jugée   
– Ne cesse de penser à ce qui a pu la contrarier pendant la journée
– Peur des voleurs 
– Des feux sauvages sur les lèvres suite à de trop fortes émotions 
– Le vent la fait larmoyer      
– Aggravation à la chaleur; en tout cas, pas trop de soleil l’été!  

Le remède homéopathique qui lui est conseillé correspond tout autant à ces symptômes qu’au problème d’hypothyroïdie.

En l’espace de 3 mois, elle abandonnera d’elle-même la prise de syntroïdes. Pendant ce temps, la plupart des symptômes disparaîtront (la fatigue, les maux de tête occasionnels, etc.) et l’état psychique sera grandement modifié (elle se décrira beaucoup plus « extravertie », capable de communiquer plus facilement ses états d’âme).

Après une visite chez le médecin, 6 mois après avoir débuté le traitement homéopathique, elle apprendra que l’analyse sanguine révèle les résultats suivants : TSH 6.09 (la normale et 6; elle avait au début un TSH de 21.72). Celui-ci se montrera heureux des résultats. Elle ne lui admettra cependant pas qu’elle ne suit plus son traitement depuis plusieurs mois.

Les possibilités de l’homéopathie sont souvent extraordinaires. Diabète, maladie d’Alzheimer, sclérose en plaques, dépression, fibrose kystique, etc.

Le 23 août, à l’université du Québec à Montréal, se tiendra le congrès d’homéopathie du Québec où une vingtaine d’homéopathes exposeront certaines de leurs plus belles réussites (cas de paralysie, dépression, tumeur, migraine, polyarthrite, etc.).

Pour plus de renseignements et pour vous inscrire au congrès :
www.chquebec.com
ou (514) 994-8561

Le congrès s’adresse à tous.

Pour en savoir plus sur l’auteur, nous vous invitons à visiter sa fiche sur Alchymed.