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Cheminer vers son plein potentiel

François a 6 ans, il est le troisième enfant d’un couple de parents instruits, tous deux ingénieurs. Ses deux frères ainés réussissent très bien à l’école et dans les activités sportives ou culturelles auxquels ils participent. François lui est malhabile, hyperactif, ne semble rien comprendre, n’a pas de mémoire et ne socialise avec aucun adulte sauf pour les interrompre ou les déranger. Ses parents ne comprennent pas pourquoi il n’est pas comme ses frères. Parfois, il les étonne avec ses raisonnements très intelligents et appropriés. Pourquoi son potentiel d’apprentissage et de socialisation est-il bloqué?

Il a apparemment été élevé de la même façon que ses frères et il a les mêmes gènes. Est-il condamné à devenir un décrocheur, un rejet de la société? Vers quoi évolue-t-il?

Y a-t-il une solution? Comment le libérer de ses blocages? Comment lui permettre d’être dans son plein potentiel?

Ces blocages sont parfois chez l’enfant et parfois chez l’adulte. Comprendre le fonctionnement du cerveau et travailler avec celui-ci est la solution que propose la Biologie Totale autant au niveau des maladies que des difficultés d’apprentissage et des troubles de comportements.

En effet la Biologie Totale des Êtres Vivants a clairement démontré comment le cerveau automatique, grande centrale de commande du corps humain, fonctionne à partir de mémoires de survie emmagasinées depuis le tout début de l’évolution humaine. De l’être unicellulaire jusqu’à l’homme moderne, l’évolution a été marquée par des phases d’adaptation et de transformations allant jusqu’à l’apparition de nouvelles espèces de plus en plus complexes. À chaque étape, il y a eu mémorisation des nouveaux mécanismes de survie et transmissions de ces mécanismes aux générations suivantes. L’être humain moderne porte donc toutes ces mémoires de mutation et d’adaptation pour la survie. Mais son évolution ne s’arrête pas là puisque les forces coercitives du milieu qui ont généré ces mutations persistent et correspondent aux grands mouvements universels, ininterrompus.
 
Les biologistes modernes, chacun à leur façon et dans leurs jargons respectifs témoignent de ce processus d’évolution passant par l’adaptation et la mémorisation. Ne citons ici qu’Henri Laborit, Bruce Lipton (La Biologie des croyances), Geerd Hamer (La Médecine Nouvelle Germanique) et Claude Sabbah (Biologie Totale des Êtres vivants).

Si l’adaptation et la mémorisation pour la survie ont été les moteurs de l’évolution animale et humaine, ce processus toujours présent, à une autre échelle, pourrait aussi expliquer les troubles de comportement et les difficultés d’apprentissage chez l’enfant, voici comment :
Dès l’apparition des cellules germinatives (l’ovule et le spermatozoïde), il y aura multiplication et spécialisation des cellules selon les codes biologiques et archaïques accumulés à travers l’évolution humaine. Grâce à la mémorisation cellulaire l’enfant recevra aussi certains traits spécifiques, biologiques et psychologiques de ses parents. Ces cellules ont donc la faculté d’enregistrer et de manifester les mémoires accumulées. Elles vont ainsi continuer à accumuler et à manifester des mémoires ayant contribuées à la survie de l’enfant et ce tout au long de sa vie ou jusqu’à ce que ces mémoires soient modifiées.

Si par exemple, pendant 6 à 7 mois de grossesse, l’enfant entend sa mère dire ou penser comment il est merveilleux de le sentir bouger dans son ventre et que ce mouvement est même générateur d’une baisse de stress chez sa mère parce que celle-ci a eu des fausse-couches avant lui, il emmagasinera cette mémoire « gagnante » et continuera de la manifester sous forme d’hyperactivité jusqu’à ce qu’elle soit remise à jour c’est-à-dire,  jusqu’à ce qu’on l’informe qu’il n’a plus à être super actif pour calmer maman. 

Parmi les mémoires de survie qu’accumule l’humain, il y a tous les mécanismes de survie qui sont les façons dont on a géré un grand stress et toutes les mémoires de la première fois. Celles-ci sont très nombreuses durant la grossesse, lors de l’accouchement et au cours de la première année de vie.

L’accouchement qui se vit généralement dans un grand stress, est un moment intense d’accumulation de mémoires. Comme la mère est en travail l’enfant y accumule ses premières mémoires de travail. Celles-ci se manifesteront lorsqu’il se retrouvera à l’école, son premier lieu de travail après l’accouchement. Si l’accouchement a été long et pénible, le travail, ici l’école, sera long et pénible pour l’enfant. Si l’accouchement a été craint par la mère, l’enfant aura peur de l’école, il ne voudra pas aller à l’école. L’enfant très minutieux dans ses préparatifs scolaires sera fort probablement celui pour qui les parents se sont minutieusement préparés à la grossesse et surtout à l’accouchement.

L’enfant agressif et « petit boss des bécosses » à l’école est probablement celui pour qui l’un des parents a géré très impérativement voire agressivement tout le processus d’accouchement sans écouter le moindrement ce que disait le personnel médical ou la sage-femme. 

L’enfant qui a besoin constamment d’assistance pour travailler est peut-être celui que l’on a gardé sur le moniteur durant l’accouchement ou pour qui il a été nécessaire de suivre étroitement sa croissance durant toute la grossesse.

En fait, l’enfant aura tendance à recréer à l’école ce qui s’est déroulé lors de l’accouchement puisqu’il a survécu à ce grand stress, y a enregistré des mémoires de survie et des mémoires de la première fois. Si l’accouchement influence particulièrement  l’attitude et les aptitudes que démontrera l’enfant à l’école ou autour des travaux scolaires, le contexte de sa conception, de sa naissance et sa première année de vie auront tout autant d’impact dans d’autres domaines de sa vie.  

Un trouble spécifique en algèbre (là où on est à la recherche du x = l’inconnu) pourrait être lié à un secret de famille vécu autour de sa conception.

Un trouble en mathématique pourrait être lié à un mauvais calcul du temps d’ovulation ou à un trouble financier suite à un mauvais calcul fait par les parents autour de la grossesse.

La personne souvent en retard est peut-être celle qui est née en retard (passé les 40 semaines normales de grossesse) ou finalement conçue après une longue attente des parents.

Le travail de reprogrammation de ces mémoires est d’autant plus simple que l’enfant est jeune et qu’il n’a pas encore enregistré les conflits secondaires reliés à ses comportements ou à ses difficultés d’apprentissage. Ce qui n’exclut pas un travail de reprogrammation même chez l’adulte, puisque les troubles d’apprentissage non corrigés se répercuteront, bien sûr, dans le milieu de travail.
  
Cette connaissance apportée par la Biologie Totale a aidé plusieurs enfants à réaliser leur plein potentiel et à éviter, si ce n’est à en sortir, des stress reliés à l’étiquetage accolé aux élèves hyperactifs, dyslexiques, inaptes à l’apprentissage ou au comportement inadéquat.

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Par Louise Laplante
Naturothérapeute, conseillère
et formatrice en croissance personnelle
sur la base de la Biologie Totale.

Pour en savoir plus sur l’auteure, nous vous invitons à visiter sa fiche sur Alchymed.

A propos de l'auteur

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