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Dossiers de presse – Dolores Lamarre

ÉMERAUDE PLUS – BIEN-ÊTRE Méditez, relaxez et faites du yoga en famille Dolores Lamarre y livre ses trucs pour y arriver. Lire l’article   VIE DE COUPLE Pourquoi vivre avec un être qui vous empoisonne la vie? Tel est le thème discuté… Titre : Vie de couple Media Dolores Lamarre à TQS Date : 04 09 2008 […]

ÉMERAUDE PLUS – BIEN-ÊTRE

Méditez, relaxez et faites du yoga en famille

Dolores Lamarre y livre ses trucs pour y arriver.

Lire l’article

 

VIE DE COUPLE
Pourquoi vivre avec un être qui vous empoisonne la vie?

Tel est le thème discuté…

Titre : Vie de couple
Media Dolores Lamarre à TQS
Date : 04 09 2008

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Lâcher prise… Une façon de se respecter.

Par Dolores Lamarre

Je ne reviendrai pas sur l’importance du respect de soi et de l’autre, sauf pour mentionner que personnellement je fus davantage, enfant, enseignée sur le respect que je devais porter à autrui que sur celui entretenu à mon égard.

Pour les personnes adhérant à cette philosophie de vie, les conséquences en découlant furent qu’il n’a pas souvent été facile de faire leurs choix en tenant compte de ce qu’elles voulaient vraiment. Elles se sont plutôt senties égoïstes ou coupables de réaliser leurs rêves ou de mettre en action des projets souhaités. Ainsi, de multiples raisons surgissent, favorisant le mieux-être individuel de l’autre ou d’un collectif. Remettre à plus tard devient la règle. S’accumule ainsi frustrations silencieuses, sous la charge croissante d’un oubli de soi trop souvent injustifié.

C’est ainsi que la vie s’écoule à travers les cascades du quotidien, sans trop s’apercevoir que le temps file, conduisant à la porte de la retraite.

La retraite… Sujet qui fait rêver et insécurise à la fois. Pendant maintes années la fourmi laborieuse accumule ses denrées afin que l’hiver venu elle puisse manger. Cela vous rappelle quelque chose ? Eh oui ! M. de La Fontaine avait dans ses écrits cette sagesse qui intelligemment exprimée pouvait nourrir d’une connaissance renforcée, celui qui prenait le temps de s’y arrêter.

Plusieurs ont choisi de remplir leur bas de laine dans l’espoir d’un demain confortable en toute sécurité. Mais la vie est un maître et elle enseigne par l’expérience. Cela, il a été oublié de nous le mentionner.

Le travailleur avançant vers la quarantaine se croit à l’abri dans ses horaires et responsabilités trop chargés. Il a été habitué à ignorer ses limites et à ne pas les respecter. À ne pas « se » respecter.

Comme une machine programmée à partir du disque dur de ses blessures trop souvent ignorées, il continue de performer, aveuglé par la manne tentatrice du gain à accumuler. Petit REER de plus… Quelques heures supplémentaires… Travail apporté à la maison… Insouciance marquée devant son besoin de reconnaissance et son insécurité maladive, devenue la clé de voûte déterminant ses choix.

Puis, un jour le poids de la tâche, devenu subtilement accablant, l’écrase. Que reste t-il ? Quelle décision prendre ? Ayant habitué les autres à sa capacité de rendre l’objectif demandé au centuple de celui attendu, l’employé usé commence à étouffer devant la consistante et continuelle demande. Le corps réagit. Le sommeil chute. L’estomac se cramponne. Le stress atteint peu à peu son apogée jusqu’à ce que l’angoisse meurtrière avale tout un passé, basé sur la peur de perdre… avant de le recracher, entier et non réglé.

L’enjeu est lourd de conséquences. Comment agir ?

Après tant de batailles basées sur la peur du changement, de l’inconnu et j’en passe, il est venu le moment de choisir avec discernement et conscience ce qui est mieux, pour soi. C’est ici que plusieurs basculent. N’osant se respecter, évitant d’écouter « leur petite voix », celle qui dit en premier quelle voie choisir. Encore une fois, ils chercheront à être aimés en reproduisant leurs patterns passés. L’étau se refermera sur eux, malgré leur faux combat pour une liberté illusoire et une insécurité masquée par l’ombre de la peur déguisée.

Non maître de leur vie, une fois de plus ils auront remis leur pouvoir. Trop d’entre eux y perdront leur santé, leurs relations précieuses. Cherchant à s’assurer des liens permanents, ils en détruiront un à un les fondements. Trop centrés sur leur besoin de sécurité, ils utilisent leur énergie à performer. Dans ce combat, croyant contrôler ils ne pourront jamais éviter d’être transformés.

L’énergie de vie est active et puissante. Sans cesse, elle alimente le mouvement en soi et autour de soi. La transformation est inévitable.

Lorsque l’humain centre son attention à vouloir en ralentir le processus, le résultat en découlant peut être désastreux, car en effet rien dans le combat ne se façonne ni se crée avec grâce. Au contraire, l’angoisse sera le compagnon s’abreuvant de l’énergie résiduelle à peine perceptible, jusqu’à ce que la mort du feu de la joie profonde assombrisse la voie et ferme le cœur à l’amour.

Devant un tel constat malheureux, maintes fois rencontré chez les gens venant me consulter, je ne peux qu’encourager à apprendre à lâcher prise, pour vivre mieux et en santé.

Titre : Lâcher prise… Une façon de se respecter.
Media Alchymed
Date : 30 10 2007


L’école buissonnière… ou régler ses affaires!
Une pause réflexion sur le moment présent…

Titre : L’école buissonnière… ou régler ses affaires!
Media Portail Alchymed
Date : 30 05 2007

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QUELQUES ARTICLES DE DOLORES LAMARRE

Un magasinage enrichissant !
Par Dolores Lamarre

C’était l’une de ces belles journées de printemps. Celles que l’on attend depuis si longtemps. Laurence avait décidé de sortir magasiner. Pressée, elle fit le plein de sa voiture et s’élança à toute vitesse vers son centre commercial préféré.

Guérir d’une autre façon…
Par Dolores Lamarre

Lorsque ça ne va pas, qu’une personne ne se sent pas bien, que ce soit au niveau physique, mental ou émotionnel, lorsque le stress et/ou l’angoisse …

La leçon de la guenille
Par Dolores Lamarre

Saviez-vous que les guenilles peuvent parler? Il était une fois… Dans une entreprise de sa localité, une dame travaillait à offrir des services de nettoyage pour maisons et commerces.

La peur de lâcher prise
Par Dolores Lamarre

En lisant ce titre, avez-vous envie de passer par-dessus la lecture de cet article? Est-ce que vous vous dites que c’est bien le lâcher prise, mais que vous n’en avez pas besoin ou que vous n’êtes pas rendu là?

Ce matin je me sens fatigué …
Par Dolores Lamarre

J’ai l’impression de donner plus que je ne reçois. Est-ce une impression ou ma réalité derrière laquelle je cache mes émotions par des comportements, des choix et des décisions quasi automatiques?

Faire naufrage ou Lâcher Prise?
Par Dolores Lamarre

Au début des années 90 alors que ma vie basculait, j’étais loin de me douter de tout ce que la vie me réservait de beau et de bon… Ma vie a alors certes vacillé, moi aussi d’ailleurs… et ce fut le naufrage! Perdue, ne sachant pas nager dans cette mer inconnue, j’avais très peur et je me sentais seule. À l’aube de ce passage, la femme, la maman, l’infirmière que j’étais, avaient été plutôt occupées à remplir parfaitement et avec un brin d’excessivité, …

Le Miracle des Étoiles
Par Dolores Lamarre

Voici les besoins que je choisis de combler avec votre aide. «Il fut donc convenu que je rencontrerais cette dame le 23 décembre à 11:00 heures le matin, sous la supervision de la personne responsable de la maison d’hébergement pour femmes victimes de violence.»

Cheminer en couple
Par Dolores Lamarre

Il y a seulement quelques années derrière nous, le terme cheminer n’était que peu utilisé. De nos jours, cette expression commence à être in, pour utiliser le langage commun de la rue.

La victime et son corps physique
Par Dolores Lamarre

Depuis notre naissance nous avons tous vécu des problèmes de santé, dans une échelle variable pour chacun. De la poussée dentaire aux troubles associés au processus de vieillissement, nous rencontrons diverses douleurs, malaises, inconforts du corps physique.

Les dauphins… ces anges de la mer.
Par Dolores Lamarre

Ah, les dauphins! Combien de fois ai-je entendu des personnes me raconter que l’un de leurs plus beaux rêves était celui de nager avec les dauphins? J’avais aussi ce rêve.

Le temps de lâcher prise
Par Dolores Lamarre

S’ouvrir à la connaissance de soi. Ce livre est une seconde édition. La première publication le fut en 1998 par Les Éditions du Rayon d’Or et a remporté alors Le Grand Prix du Livre de la Montérégie dans la catégorie essai. Un guide à l’intention de ceux qui souhaitent se libérer de leur armure, retrouver leur pouvoir intérieur et devenir maître de leur destinée.

La redevance
Par Dolores Lamarre

J’ai le souvenir d’une période de ma vie, alors que j’étais jeune femme. À cette époque, je ne me connaissais qu’à travers ce que je croyais être, la personne que j’étais : une bonne travaillante qui aimait prendre soin de son foyer, popotter et sauver !

ll était une fois…
Par Dolores Lamarre

Un homme habitait dans un village qui venait de subir une inondation et le niveau de l’eau continuait d’augmente . Attendant que se calme la situation, il avait choisi de s’installer sur le toit de sa maison.

S’éveiller : devenir conscient, observateur
Par Dolores Lamarre

Devenir conscient demande un effort pour choisir et aussi pour s’apercevoir que l’on dort et que notre vie n’est pas significative au sens pur de ce mot.

Que signifie pour moi : la manifestation ?
Mon Notre Père par Dolores Lamarre

Dans la prière Le Notre Père, il est dit que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. J’entends en ceci les paroles de Thot aussi appelé Hermès qui dit :Tout ce qui est en haut est en bas et vice versa.

Choisir d’aimer
Par Dolores Lamarre

Le verdict est tombé! Dans son cœur, les mots résonnent encore. Assis devant la fenêtre de sa grande maison, Jules écoute la solitude lui parler…

Le couple à son Meilleur
Par Dolores Lamarre

Il est étonnant de constater combien de personnes souhaitent rencontrer l’âme sœur et vivre une relation harmonieuse à deux. Pourtant, beaucoup d’entre elles craignent l’union.

Moment de réflexion
Par Dolores Lamarre

Je ne peux avancer dans cette journée, banalement, en me centrant sur mes besoins et mes problèmes.

Pourquoi choisir de vivre un voyage-atelier ?
par Dolores Lamarre

Je considère le voyage-atelier comme un outil fort riche, contribuant au développement personnel…

Tous droits réservée. Copyright 2006.

Titre : Quelques articles de Dolores Lamarre
Media Portail Alchymed
Date : 23 05 2007


Conferencia

Tiempo a los participantes para identificar las bases de sus élecciones, actitudes, reacciones y mecanismos de control…

Titre : Conferencia
Media Barcelone, Espagne
Date : 10 05 2007

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Un magasinage enrichissant !
Par Dolores Lamarre

C’était l’une de ces belles journées de printemps. Celles que l’on attend depuis si longtemps. Laurence avait décidé de sortir magasiner. Pressée, elle fit le plein de sa voiture et s’élança à toute vitesse vers son centre commercial préféré.

La tête dans les nuages, les mains posées distraitement sur le volant, elle rêvait à ses futures vacances en compagnie de l’homme qu’elle aimait tant. Le temps de planifier dans sa tête quelques menus détails pour sa fin de soirée et sa bagnole s’engageait sur la sortie menant au centre d’achats. Quelques minutes plus tard, elle se dirigeait d’un pas alerte vers une porte d’entrée.

Anesthésiée par ses pensées, elle déambulait machinalement dans les allées, ramassant en passant quelques vêtements qui lui plaisaient. Le temps filait. Hâtive de rejoindre son amoureux, elle décida de passer à l’étape de l’essayage. C’était la partie qu’elle aimait le moins du magasinage. Voulant faire vite, elle déposa son sac à dos sous un banc au fond de la cabine, enleva ses vêtements et comme une poupée de chiffon que l’on habile et déshabille elle passa du blouson au pantalon, des jupons au maillot. Ses pensées demeuraient absorbées par le goût des vacances et le besoin de repos.

C’est le cœur joyeux qu’elle ressortit tenant fièrement ses trouvailles. Un brin de curiosité l’amena ça et là, si bien qu’elle perdit la notion du temps.

Et vlan! Elle venait de se rendre compte qu’elle avait laissé son sac à dos dans la cabine! Son cœur battit soudainement à tout rompre. Des images lui venaient, toutes les unes plus laides que les autres. Dans son sac il n’y avait pas d’argent car elle avait choisi d’utiliser sa carte de crédit. Il s’y trouvait toutefois son permis de conduire, les clés de sa voiture et de sa demeure, son adresse, ses cartes d’identité et de crédit et bien des petits souvenirs. Le drame : elle ne pourrait plus entrer chez-elle, n’avait plus d’auto, ne pouvait même plus dire à quelqu’un qui le demande : « Je suis Laurence, voici une carte qui vous le confirme »!

Une puissante poussée d’adrénaline l’envahissait en même temps que la peur et l’insécurité prenaient le contrôle. Elle avait chaud et froid en même temps. Sa tête bourdonnait. Tous ces symptômes apparurent à la vitesse de l’éclair. Elle se mit à chercher, en refaisant le trajet dans la boutique. Rien… Elle rencontra un commis et lui fit part de la situation. Graduellement elle se calma en se disant, résignée, qu’elle devrait aviser les autorités du vol de ses cartes. Elle se voyait, fatiguée, faisant les démarches pour avoir de nouvelles cartes, un nouveau permis etc.

Victime, elle se sentait vide et impuissante. Pourquoi cela arrivait-il à elle? Elle avait pourtant eu son lot de difficultés dernièrement. C’est injuste pensa t-elle. Elle ne pourrait plus prouver qui elle était. Mais au fait, qui était-elle?

C’est alors que quelque chose d’un peu bizarre se produisit. Comme guidée, elle se dirigea vers un coin de la boutique. Laurence y tassa des vêtements placés sur un support. Elle n’en cru pas ses yeux. Son portefeuille était par terre. Ses doutes étaient confirmés.

Elle l’ouvrit fébrilement, pour constater que tout y était. Probablement que la personne qui avait volé son sac à dos cherchait de l’argent et voyant qu’il n’y en avait pas, elle avait choisi de jeter le portefeuille. Pas de trace de son sac à dos qui contenait ses clés et d’autres choses très personnelles.

Déçue, lâchant prise elle accepta que les choses étaient ainsi. C’est à ce moment qu’elle entendit une préposée du magasin l’appeler en se dirigeant vers elle, son sac à dos au bout de ses bras.

Ouf! Elle était comme dans un rêve. Un peu étourdie, avec de la difficulté à croire ce qu’elle voyait. Nerveusement elle remercia la dame. Tout était dans son sac. Elle eut une bonne pensée pour la vie qui, en conclusion de l’expérience, l’avait supportée favorablement. Son quotidien reprit là où elle l’avait laissé.

Cette histoire suscite en moi un questionnement.

Qu’est-ce qui fait que nous accordions autant d’importance à ce qui représente pour nous notre identité? Sommes-nous si loin de soi, que nous croyions que nous ne sommes que cette identité matérielle officialisée en de multiples facettes?

Une réaction telle celle de Laurence n’est certes point bénéfique. Lorsque cela prend des papiers pour dire à quelqu’un qui il est et que celui-ci limite son identité à ceci, il y a de fortes probabilités que cet individu rencontrant une tempête dans sa vie, sera un arbre facile à déraciner. Les déséquilibres s’installeront ensuite subtilement et rapidement.

La valeur que nous nous accordons est précieuse, fondamentale au maintien de notre équilibre personnel. Elle n’a rien à voir avec notre titre, notre compte bancaire, nos réussites ou pertes. L’essentiel est que la personne se porte une reconnaissance inscrite au plus profond d’elle, en dehors de toute forme de nourriture pour son ego.

L’état de panique que Laurence brièvement a traversé était tel que devant le risque de perdre la vie, il en aurait été ainsi. C’est inquiétant que la plupart des gens remettent leur pouvoir à qui veut bien les reconnaître, supposément, à partir de leurs accomplissements, de leurs rendements, de leurs biens matériels etc.

Quand sera-t-il enseigné dans les écoles au primaire, que l’être humain ne doit pas mesurer sa valeur aux vêtements griffés ni aux réussites comparées? Nous crions haut et fort en faveur d’une jeunesse que l’on veut solidement formée, mais nous, qu’attendons-nous pour prendre le retour à l’école de la vie, au chapitre de l’apprentissage de l’amour sans conditions et à celui du lâcher prise. C’est un devoir que d’être responsable de notre évolution.

Risquer de perdre le contrôle en voulant paraître fort, en refusant de perdre la face par orgueil ou en exerçant les pouvoirs de l’autorité par exemple, n’est que travailler à s’accorder une valeur superficielle par un jeu de rôles.

Plus une personne s’accorde une valeur fondée sur les acquis de ses expériences, sur la découverte de son potentiel et sur sa capacité à maîtriser ses émotions, davantage cette personne se sentira heureuse. Elle aura le goût de poursuivre son chemin de découverte d’elle-même.

Elle guérira l’insécurité graduellement, s’en libérant totalement. Il lui sera alors aisé de vivre au présent chaque expérience difficile, en gardant son calme. Sa santé n’en sera qu’améliorée car le stress est mauvais compagnon.

Unie au soi divin l’habitant, peu importe où va une personne sur notre belle planète, elle sera avant tout connectée à l’amour même dans les situations traumatisantes et… l’amour est source de vie. La perte ne sera pas perçue comme menace mortelle. Nous avons oublié que nous sommes des êtres spirituels dans une enveloppe charnelle. Nous donnons tant d’importance à l’aspect matériel que l’un de nos objectifs est de faire pour avoir, dans l’illusion d’être reconnu. Nous sommes ainsi programmés. Nous n’avons alors pas le temps de s’arrêter à découvrir notre identité. Dommage, car nous avons tous en soi de beaux cadeaux enveloppés.

Il est triste d’attendre que des événements fâcheux viennent assombrir notre vie avant de chercher à l’intérieur de soi ce qui peut nous donner un souffle nouveau. Nous avons l’opportunité à chaque jour de mettre nos talents et nos forces au service de notre mieux-être. C’est un devoir, selon moi, que de travailler à utiliser nos talents pour bâtir un avenir heureux à partir d’un passé en guérison et d’un présent rempli de confiance en soi et en la vie. Y croyez-vous? Moi, si…

Choisir d’aller à la rencontre de soi est une voie accessible à tous. J’encourage ceux et celles qui ont le goût d’y plonger, ne serait-ce que par le biais de lectures, d’échanges avec des amis, des personnes ressources…

Développer la sécurité dans l’insécurité… pour s’accomplir sans peur de perdre!

Programme de Formation S.A.I.M.E.

Formation dynamique et intéressante d’intervenants en médecine énergétique, qui vous mènera au cœur de vous-mêmes et à explorer votre potentiel avec équilibre.

Le Système d’Aide et d’Interventions en Médecine Energétique est un programme de formation comprenant une partie théorique, une partie pratique et des travaux. Sa durée est au Québec de sept stages en week-ends (en France ultérieurement offert en 3 blocs de formation intensive) et un stage final d’une semaine en hébergement. Cette formation est en deux cycles sur une année, permettant la pratique et l’intégration. Se rappeler que l’assistance à la guérison demande à l’intervenant d’identifier d’abord ses propres déséquilibres pour favoriser son équilibre personnel et de travailler ainsi positivement à son évolution et à son mieux-être. Il serait illusoire de penser entrer dans cette formation que pour apprendre à donner des soins !

Le slogan de S.A.I.M.E. est S’aimer pour semer…

Les inscriptions sont en cours pour septembre 2007…

Prochain groupe au Québec : début cours #1 : 15, 16 septembre 2007.
Pré requis à prévoir : Reiki 2.
Pour en connaître plus, informez-vous.

Les intervenants pouvant vous aider sont identifiés par leur appartenance légale à L’Association des intervenants et intervenantes S.A.I.M.E. ® ( A.I.I. S.A.I.M.E.)

S.A.I.M.E. sans frontières
Service d’aide et d’interventions offert à la collectivité, soit en régions ou à l’étranger.

Projet pilote en cours parrainé par Dolores Lamarre et l’Association des I.I. S.A.I.M.E. :
Pour souligner les 150 ans de Havre-St-Pierre – communauté québécoise située en Minganie, Basse Côte-Nord – et faire connaître ce service d’aide au mieux-être ainsi que les intervenants diplômés locaux, un groupe de diplômés S.A.I.M.E. offriront gratuitement à cette population des interventions, durant trois jours en juin 2007.

Dolores Lamarre
Auteure de plusieurs livres en développement personnel.
Consultante en médecine psychoénergétique :
Burnout, relations difficiles, pertes…, maladie
Suivi individuel, conférences, ateliers
Formatrice au programme S.A.I.M.E.
(Système d’Aide et d’Interventions en Médecine Energétique)
Maître enseignante en Reiki

Pour la joindre ou vous inscrire :
Tél. 450 714-1275, Fax : 450 714-1276
Courriel : [email protected]

Web : www.doloreslamarre.alchymed.com

Titre : Un magasinage enrichissant !
Media Portail Alchymed
Date : 01 05 2007


La leçon de la guenille
Saviez-vous que les guenilles peuvent parler?

Il était une fois…

Dans une entreprise de sa localité, une dame travaillait à offrir des services de nettoyage pour maisons et commerces. Depuis plusieurs années elle s’affairait à faire rayonner la bonne humeur là où elle passait. Cette dame aimait rire. Elle apportait souvent sans le savoir de la détente et du mieux-être à ses clients.

Elle aimait son travail car elle s’y sentait heureuse et libre. Elle appréciait beaucoup les personnes de son équipe. Une belle complicité régnait au sein de celle-ci et tous les efforts étaient mis pour trouver des solutions aux nouveaux problèmes environnementaux afin de favoriser par le respect, le mieux-être individuel et collectif. L’équipe était régulièrement invitée à donner son opinion sur divers produits utilisés. Une place était ouverte afin que chacun puisse apporter ses suggestions. Clients et travailleurs étaient heureux.

Le soir venu, satisfaite, elle entrait chez-elle, son sac de guenilles sous le bras. C’est en se rappelant certains événements de la journée qu’elle jetait une à une ses précieuses collaboratrices dans la laveuse. Chacune semblait vivante. Elle en prenait grand soin, les pliant presque avec tendresse.

Un jour, elle apprit qu’une réunion spéciale réclamait la présence de tous. En effet, de grands changements y furent annoncés. Elle devrait quitter ses habituels clients car une réorganisation de l’entreprise en croissance demandait l’introduction de nouvelles manières de faire. Ce soir là elle entra chez-elle triste. Elle se sentait impuissante et ne savait pas comment lâcher prise à son mental bavard qui alimentait son insécurité et ses peurs.

Les mois passèrent. Le secteur qui lui avait été attribué apportait certes de bons avantages : plus près de chez-elle, la possibilité d’un horaire flexible et un revenu répondant davantage à ses besoins. Elle ne comprenait toutefois pas qu’est-ce qui faisait qu’en son cœur demeurait une certaine nostalgie. Les choses avaient beaucoup changé… Entourée de nouveaux visages, elle assistait aux réunions d’équipe avec inconfort. Elle n’était pas arrivée à s’y sentir chez-elle.

C’est lors de l’une de ces réunions qu’il fut proposé que dorénavant les guenilles seraient lavées par une seule personne. L’annonce de cette décision la bouscula, la projetant dans une réactivité qui cachait mal sa colère accumulée. Incapable de l’exprimer, c’est maladroitement qu’elle lança :

– Mais nos guenilles seront-elles identifiées?

Ce qui provoqua le rire général. Un peu mal à l’aise, elle s’unit au groupe demeurant toutefois interrogative et bousculée.

Ce soir là en arrivant chez-elle, c’est avec tristesse qu’elle accomplit son rituel. Se penchant pour retirer ses guenilles du sac, elle cru entendre une voix!

Se disant qu’elle était plus fatiguée qu’à l’habitude, elle allait reprendre sa tâche lorsqu’à nouveau elle entendit un murmure. De toute évidence, le bruit venait du fond du sac. Lâchant prise à son analyse, elle vida le sac sur le sol pour s’apercevoir que l’une de ses guenilles était toute dorée. Elle la prit dans sa main et c’est alors que celle-ci lui dit :

– Pourquoi es-tu triste? Nous avons entendu ce qui s’est dit à la réunion car nous étions avec toi dans ton sac. Nous n’avons pas peur. Au contraire, sache que nous sommes heureuses de cette décision car enfin nous pourrons rencontrer des consoeurs et discuter de nos taches. Puis, il y en a parmi nous qui aimerions prendre leur re-traite. Tu es tellement attachée à nous que nous ne pouvons pas imaginer comment cela pourra se réaliser. Peut-être cette dame choisira t-elle de t’offrir de nouvelles collaboratrices et ainsi mes sœurs pourront se reposer en devenant des tapis tressés, couchées sur le sol ensoleillé.

La ménagère resta bouche bée… La guenille continua :

– Tu sais nous t’aimons aussi. Tu nous as toujours bien traitées. Ainsi aujourd’hui nous te faisons un cadeau en te donnant un indice pour dorénavant te sentir plus heureuse dans tes nouvelles fonctions. Derrière ton besoin de prendre soin de nous, se cachent ton besoin de contrôler et ta peur de perdre ce que tu crois t’appartenir. Dépêche-toi vite à libérer ces blessures qui t’ont créé par le passé du chagrin. Nul besoin de nous retenir. C’est en ayant peur de perdre qu’arrivera dans ta vie des situations dans lesquelles tu seras confrontée à cette peur. Utilise donc l’expérience actuelle comme tremplin pour ta guérison. Tu es à transférer sur nous ton hier non complètement guéri et tu nuis à notre liberté. Ne crains rien, nous serons contentes de te revoir, lorsque nous te serons destinées pour t’aider à accomplir tes tâches. Souris…!

Notre héroïne demeurait silencieuse. Dans sa tête des images défilaient comme les maints morceaux d’un puzzle qui s’assemblait. En effet, quelques années plus tôt elle avait eu à traverser une épreuve difficile qui lui avait demandé de transformer sa vie et sa vision de la vie. Sans le savoir, elle était à reproduire son éternel besoin de s’attacher par insécurité et peur de perdre. Ce qu’elle ignorait, c’est qu’un événement fâcheux était à se préparer pour lui signifier qu’elle avait choisi d’apprendre à s’aimer pour mieux semer l’amour. Malheureusement, dans son ignorance d’elle-même, elle avait oublié son engagement et était à recréer l’attachement. Le changement de secteur était un message pour l’aider à lâcher prise, mais occupée à entretenir avec ses guenilles des liens quasi amoureux, elle n’avait pas vu en ceci le pattern ancien se réinstaller.

Le message du chiffon fit son chemin… Elle décida sur le champ de s’ouvrir à nouveau au détachement. Elle choisit ce qui dans sa vie actuellement s’avérait être le plus précieux cadeau auquel elle se sentait attachée. Consciente de se qu’elle allait faire, elle versa une larme, puis visualisa qu’elle déposait ce trésor convoité dans un gros ballon de couleur dorée. Elle remercia pour la joie et l’amour et laissa partir vers le ciel le ballon. Elle avait compris qu’en retenant ce que l’on a peur de perdre, un jour ou l’autre on le perdra.

Elle remercia la guenille pour sa leçon et promis qu’à partir de cet instant elle chercherait, en tout et à travers tout, à retirer respectueusement le meilleur de chaque instant présent. Elle observa sa peur de perdre diminuée dans son emprise et avec sécurité dans son insécurité elle se dit qu’elle était bénie. Désormais, c’est ravie qu’elle danserait avec la vie, confiante que rien n’arrive pour rien.

Auteure Dolores Lamarre.

Titre : La leçon de la guenille
Media Cyberjournal Alchymed
Date : 26 03 2007

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Faire naufrage ou Lâcher Prise?
Au début des années 90 alors que mon univers basculait, j’étais loin de me douter de tout ce que la vie me réservait de beau et de bon… Mon navire a certes alors vacillé, moi aussi d’ailleurs… et ce fut le naufrage! Perdue, ne sachant pas nager dans cette mer inconnue, j’avais très peur et je me sentais seule.

À l’aube de ce passage, la femme, la maman, l’infirmière que j’étais, avaient été plutôt occupées à remplir parfaitement et avec un brin d’excessivité, non seulement toutes les tâches associées à mon travail, mais tous mes rôles et engagements. Un peu essoufflant je vous l’avoue!

J’étais tellement aveuglée par ce que je croyais être la bonne façon de faire, que je ne me suis même pas sentie perdre le cap et couler vers un précipice qui se creusait en moi. Devant moi il y avait un iceberg colossal et je ne le voyais pas. J’étais le Titanic! Je surestimais ma capacité à donner à pleine vapeur. J’avançais avec une fierté déguisée sur l’océan de ma vie, cherchant à paraître dans la norme de ce qui m’était montré comme ce que je devais faire et avoir, pour être comme les autres et aimée.

Mon navire prenait l’eau et le seul capitaine à bord était la somme du contrôle que j’exerçais sur moi, en mon insu, pour répondre aux exigences et aux normes. De plus, me croyant sur la voie juste navigable, je dérivais entraînant avec moi mon enfant, à qui j’enseignais à faire parfaitement les choses et à être parfait. Je regarde cela aujourd’hui avec compassion envers mon moi d’alors.

Il arriva ce qui devait arriver et mon équilibre fut rompu. Ma santé s’affaiblit graduellement. Comme je refusais d’accepter ce qui était et qu’il m’était difficile de demander de l’aide, je me suis agrippée à mes convictions et à mon ancienne vision de la vie, jusqu’à ce que mes systèmes nerveux et hormonal me donnent l’ultime signal. Il était trop tard! J’ai frappé l’iceberg. Ce fut le naufrage!

Ce matin là, me rendant au travail, prise de panique dans le tunnel; Louis-Hyppolite Lafontaine, en proie à une douleur qui me serrait le cœur et m’étouffait, je me fis le serment que si je sortais du tunnel, je regarderais ma vie et… je l’ai fait! Question de survie…

Ce fut une période difficile. Mes points de référence étaient disparus et l’ignorance de l’attachement que j’avais envers certaines croyances et concepts m’a demandé d’entreprendre un travail personnel, afin de découvrir où j’en étais dans tous les aspects de ma vie. Des événements m’entraînant dans une suite de pertes de toutes formes, autant affectives que matérielles, furent les facteurs enclenchant ma réflexion. J’ai eu à re-choisir la vie. Mon premier voyage initiatique s’est vécu en moi. Je suis partie à la quête du mieux-être et du bonheur. C’était ma recherche du Graal.

J’ai ensuite eu à traverser une période tumultueuse. Il faisait froid en mon cœur. Je n’avais pas su, ou pas voulu, entendre la voix de mon âme qui m’avait indiqué le chemin. J’étais tellement prise par mes obligations et mes responsabilités dont certaines, non nécessaires, avaient été créées et nourries par moi, sous le prétexte alors inconscient de devoir faire ceci et cela…

Je me considère aujourd’hui privilégiée de m’en être sortie avec un meilleur équilibre et d’avoir réinventé ma vie. Depuis, j’aide les autres à voir les pièges qui les mènent tout droit vers un iceberg. Je leur enseigne comment maîtriser la force de leur engin et comment utiliser leur navire en demeurant capitaine à bord…

Voici quelques questions pour vous :

– Selon vous, est-ce nécessaire de se faire autant mal pour apprendre, d’aller aussi loin, de s’user autant?
– Est-il possible de prévenir la catastrophe?
– Quels sont les enjeux du contrôle que l’on exerce sur soi subtilement et qui minent notre énergie vitale?
– Y a-t-il danger, ne sachant pas lâcher prise, d’entraîner avec soi dans la débandade ceux que l’on aime?
– Quels sont les symptômes précurseurs du burnout, de la dépression et y a-t-il risque de glisser silencieusement vers le suicide?
– A trop vouloir retenir, peut-on perdre? Quelles sont les manières inconscientes utilisées pour se contrôler et contrôler en pensant agir pour le bien de l’autre?

Titre : Faire naufrage … ou Lâcher Prise?
Media Alchymed
Date : 23 02 2007


Cheminer en couple

Par Dolores Lamarre
Il y a seulement quelques années derrière nous, le terme cheminer n’était que peu utilisé. De nos jours, cette expression commence à être in, pour utiliser le langage commun de la rue.

En fait, cheminer signifie progresser lentement vers une conscience plus élargie,
vers un état de mieux-être global. Parler de conscience n’est plus limité à faire
un examen de conscience personnel de ses fautes et de ses mérites. C’est plutôt
une capacité à se développer graduellement pour ouvrir notre regard sur soimême,
sur les autres et le monde, avec une certaine objectivité en devenir.

La vie est un parcours, un chemin sur lequel nous avançons lentement,
rencontrant difficultés et facilités. Sur cette route, nous pouvons demeurer
inconscients de nos pas. Nous ne nous rendrons pas compte alors où nous
posons nos pieds, ni comment et pourquoi, nous choisissons telle direction.
Nous pouvons ainsi marcher endormis, comme deszombi, jusqu’au jour ou un
événement particulier d’ordre accidentel ou naturel, vienne nous éveiller. Cela s’appelle devenir conscient.

Débute alors une série de questionnements suscitant doute et allégresse en alternance.
Le chemin de la vie est malheureusement long et pénible pour plusieurs. Toutefois lorsqu’une personne consciente, prend en charge d’améliorer sa qualité de vie, celle-ci trouvera naturellement sur sa route des expériences et des ressources, qui lui permettront d’envisager des jours meilleurs et plus sereins, quelque soit ce qu’elle vit. Elle apprendra à développer une attitude positive face à elle-même et à la vie. Dans les plus durs combats, elle sera soutenue par une foi et une clarté qui l’aideront à prendre ses décisions, afin de favoriser son mieux-être et celui d’autrui.

Ce processus personnel découle d’un choix personnel. Nulle personne ne peut imposer à l’autre d’entrer sur une route de recherche, de connaissances et d’apprentissage. Le chemin choisi peut être aussi un prétexte pour quelqu’un afin d’éviter la vie à deux ou pour y mettre fin, alors que le couple était déjà fragilisé. L’une ou l’autre personne n’a pas nécessairement le goût de travailler à améliorer la santé du couple, préférant parfois nier le malaise ou masquer la problématique. Il y a derrière ce choix d’autres éléments subtilement souffrants et cachés le plus souvent. Terré dans sa routine et ses rituelles habitudes, l’on peut avoir l’illusion
que la solitude et le célibat sont les choix à privilégier pour avancer sur le chemin du coeur.

Peut-être que oui, peut-être que non ? Qu’en pensez-vous ?
En se permettant de réviser sa décision, une personne gagnera à être authentique en sa réflexion. Elle aura avantage à faire une synthèse de ses expériences passées et présentes, pour en tirer les leçons et pour identifier les blessures anciennes qui risquent, si non cicatrisées totalement, d’influencer son choix de prendre soin de son équilibre personnel, sachant que l’autre refuse de voir. Le sentiment d’impuissance relié au refus de l’autre à l’accompagner dans sa quête, peut empêcher d’ouvrir son coeur à la découverte de soi.

La peur de perdre, le besoin de protéger l’autre, d’avoir son accord, la peur de déplaire, la peur d’être jugé, critiqué, rejeté… sont tous des freins à la liberté. Le cheminement est donc une affaire personnelle qui se marie très bien à la vie de couple en autant que chaque partie soit confortable dans son choix et respecte l’autre en ne le brimant pas ou en n’essayant pas de le transformer.

Au contraire, une personne qui travaille à développer son mieux-être sera graduellement mieux dans sa peau et épanouie. Le couple en bénéficiera. Au contraire, refuser de répondre à la voie intérieure qui appelle à la découverte peut créer frustrations et aigreur et risque de conduire à nourrir un côté non sain dans le couple. Une personne heureuse contamine son entourage. En général elle ne constitue une menace qu’auprès de ceux qui ont peur, vivent l’ignorance de leur propre vérité en choisissant d’être et d’agir comme la collectivité le suggère. L’individualité dans la découverte de soi est à privilégier car nous arrivons seul sur cette planète, nous en repartirons seul et nous avons à développer la responsabilité d’apprendre à nous aimer pour aimer.

Titre : Cheminer en couple
Media Portail Alchymed.com
Date : 13 12 2006


La victime et son corps physique

Par Dolores Lamarre
Depuis notre naissance nous avons tous vécu des problèmes de santé, dans une échelle variable pour
chacun. De la poussée dentaire aux troubles associés au processus de vieillissement, nous rencontrons diverses douleurs, malaises, inconforts du corps physique. Accidents, maladies traversent nos quotidiens sans que nous prenions le temps d’y trouver un sens afin d’en tirer une conscience plus large et une meilleure connaissance. Il est intéressant de s’abandonner à découvrir ce que la métaphysique, la psychokinésiologie et d’autres approches similaires nous
révèlent de soi.

En effet, ce savoir nous aide à décoder ce que le corps physique a à nous dire.
En identifiant des liens présents entre la partie atteinte du corps et les aspects
des plans mental, émotionnel, spirituel qui sont nôtres, il est possible d’arriver à
identifier nos causes profondes de souffrance et maladie. Choisir ensuite d’agir
sur ces causes potentialise alors la guérison, améliore la santé et/ou nous aide à mieux vivre la maladie et même se préparer sereinement à la mort, si telle est l’expérience à rencontrer.
Nombre d’ouvrages traitent de ce sujet. Pour ma part, j’ai été très attirée, il y a déjà plusieurs années, par l’étude de la métaphysique.

C’est particulièrement sur moi-même que j’en applique activement la pratique. J’élargis en devenir, mon champ d’exercice de pratique, en incluant cette connaissance dans mon service de
consultation individuelle. Mes années d’expertise dans le domaine de la santé appuient cette vision ancienne mais rafraîchissante, qui éclaire plus rapidement sur les blocages énergétiques causés par des facteurs extrinsèques et intrinsèques et menant aux malaises et maladies.

Certaines personnes deviennent donc, ou risquent de l’être, victimes du corps physique. C’est une autre façon d’exercer parfois du contrôle sur une personne, un groupe, son entourage… La maladie et l’incapacité limitant l’autonomie peuvent être utilisées pour garder près de soi un être cher ou permettre de recevoir certaines gratifications, ceci consciemment ou non. Il est facile de perdre force, courage et estime de soi lorsque l’on souffre. La douleur physique provoque des
changements de comportements, d’habitude et peut nourrir une certaine intolérance.

En général, nous n’apprécions pas le changement et encore moins lorsqu’il transforme notre façon de faire, de vivre. Il s’ensuit des réactions de frustrations, des états de solitude, de tristesse, d’insécurité, des peurs et dépendances, transitoires ou permanentes. Pour certaines personnes il est difficile d’avoir à demander, l’orgueil et l’ego manifestant leurs désaccords.
Comment peut nous atteindre l’état de victime du corps physique ?

Pour illustrer mes propos, permettez-moi d’utiliser une expérience qui fut mienne espérant que cet exemple puisse simplifier votre compréhension. Il y a quelques mois, alors que je me préparais pour une tournée de conférences au Québec, je me suis fracturée un pied. Suite à un accident banal chez-moi, un bousculement débuta dans la plupart des sphères de ma vie. Comme la réaction de ce livre traitait justement de la victime, j’ai profité de cet événement pour explorer plus en profondeur cet aspect, au niveau du corps physique, dans les circonstances données. Ce qui
suit s’en veut une synthèse.

L’accident est survenu en début d’un après-midi. Je travaillais à mon bureau. Je venais de partager à une collaboratrice la grande joie qui m’habitait face aux développements favorables de ma carrière d’écrivaine et de thérapeute. Plusieurs années de travail à semer, pour voir enfin la moisson se lever et la récolte de l’abondance.

Dans cet état de bonheur, presque euphorique, je me suis précipitée pour accueillir une cliente. Celle-ci arrivait plus tôt à son rendez-vous. Sans m’en apercevoir, j’étais dans ma vie à reproduire l’ancien : courir pour répondre à la demande.

Certes, j’étais bien arrivée depuis plusieurs années à transformer ce besoin d’en faire beaucoup et
rapidement, mais depuis quelques mois la demande grandissait et mon agenda laissait de moins en moins de place à l’équilibre… N’avais-je point demandé, un jour, de demeurer consciente de mes risques de déséquilibres? Ainsi, cet accident fut un sévère avertissement et son décodage m’aida à rechoisir encore une fois le juste milieu.

Je fus vite éclairée par le langage de mon corps, sitôt que mon pied, ayant glissé dans les marches du palier, se fractura. Une douleur vive m’engourdit le pied. J’eus l’impression qu’elle allait jusqu’à mon âme. J’intervins rapidement et sagement avec l’aide du Reiki et cela même durant la consultation. Lorsque je me suis demandée ce que j’avais à comprendre de cette situation, j’entendis ma petite voix intérieure me souffler: cesse de courir, tu es arrivée.
En arrêtant mon esprit de piailler, j’ai pu commencer à observer comment mes peurs de la réussite et du succès sabotaient ma liberté. J’accueillis ce décodage. Je suis demeurée calme. Le lendemain, bandage élastique au pied, j’ai continué mon travail. Je me surpris à quelques reprises à jouer à la femme forte. J’ai rencontré aussi celle qui avait peur que sa blessure révèle
une fracture sérieuse. Cette dernière éventualité fut confirmée par une radiographie le jour suivant.

Mon seuil de tolérance étant assez large, j’avais réussi à écarter la victime physique en moi. Celle des plansémotionnel et mental grandissait cependant. Une grande peur de ne pouvoir faire la tournée m’envahit. Il y eut la crainte aussi de la douleur physique, de l’inconnu, de décevoir, de perdre, de ne pas être à la hauteur; de ne pouvoir répondre à mes engagements, l’obligation de demander de l’aide, de ralentir… L’insécurité dans ses multiples facettes! L’orthopédiste choisit de plâtrer mon pied pour au moins quatre semaines. J’aurais droit à un talon de marche, quelle merveille! Je repris donc mes activités en m’adaptant à un nouveau rythme, imposé.
La douleur était au rendez-vous m’obligeant à réduire mon temps de travail et nuisant à mon sommeil. L’infirmière en moi observait, intervenait. Ma partie spirituelle alimentait ma confiance en une guérison optimale au plus tôt, mais un doute subsistait, inexplicable, face au mode d’intervention du spécialiste et cela accroissait mon insécurité. Ma plus grande souffrance était ma limite d’action et la peur de ne pas être à la hauteur des attentes. C’était bien là le reflet de toute ma vie. Revenu subtilement, ce pattern voulait reprendre sa place. Mes guides, par
cet accident, m’en avertissaient. J’avais ici à m’observer.

C’est plâtrée que j’ai débuté ma tournée à travers le Québec! Je me sentais victime des circonstances. Après tant de travail, de détachement, une belle aventure s’ouvrait à moi, une chance d’être plus largement connue et d’enseigner à une échelle plus étendue et j’avais à vivre cela plâtrée… Zut, ce n’était pas juste…! Je me suis donnée le droit de pleurer ma peine puis j’ai rechoisi de ne pas nourrir ma victimite : j’utiliserai plutôt cette expérience pour m’enrichir et en parler dans mon livre.

Je me souviens: de ma première sortie, de la peur de glisser car il y avait de la glace, de ma gêne à utiliser une canne et à demander de l’assistance. J’observais le regard des gens. Je lisais même parfois le jugement, la pitié ou leur malaise face à une personne handicapée. Il y avait aussi leur impuissance, leur peur d’aider, par manque de connaissance.
Il y avait ma crainte, légère cependant, du ridicule et aussi un peu de tristesse face à mon image. Ce n ‘était pas la grande forme! Devant l’auditoire, j’aurais voulu paraître et être au meilleur de ma forme, de mon esprit et de mon âme pour enseigner l’amour.

Le thème de cette série de conférences était : le lâcher prise. Dès les premiers instants qui ont suivi mon accident, j’ai compris que je vivrais ce thème tout au long de l’itinéraire des trois semaines de tournée. J’avais à m’aimer dans cette expérience et à dépasser mes limites de conscience. En ouvrant mon coeur à moi-même, en acceptant et en m’acceptant dans les circonstances, j’ouvrais mon coeur aux autres. Il serait plus aisé de diffuser la connaissance du lâcher prise. Je me surpris à rire de tout cela. Encore une fois, l’expérience du lâcher prise était vivante.

Entourée d’une assistante ensoleillée et des personnes organisatrices de l’événement, c’est par une neige tombant abondamment que débuta le périple : Val-d’Or – Gatineau … Ce qui me dérangeait le plus était ma limite de mouvements, de rapidité à avancer, à m’occuper de mes bagages, même accomplir mes soins personnels parfois était une corvée. Mon autonomie était brimée. J’appris à accueillir et à demander de l’aide. J’aurais aimé m’investir plus auprès d’autrui, mais j’ai compris l’importance de prendre le temps et un recul. J’avais été peu habituée à faire prendre soin de moi. C’est ce qui m’était donné d’apprendre. Être moins dans l’action pour mieux Être en moi et me préparer sagement à passer mes messages. Voilà une autre classe en cette École du Lâcher Prise.

Il y avait la douleur causée par la lésion et l’enflure et cela malgré l’application des soins appropriés. Il m’arrivait dans la fatigue de la fin de journée de rencontrer un passage d’émotions : injustice, colère, tristesse. Je donnais droit à la victime en moi, à ma personnalité de s’exprimer. Par la suite, le soleil revenait. J’ai choisi d’être vraie au maximum face à moi et aux autres et cela fut, selon moi, ma plus belle décision.

Au moment d’écrire ces lignes, je récupère progressivement. Il y a déjà plusieurs semaines que le plâtre fut enlevé. Pour résumer, j’ai passé le tiers de ma tournée plâtrée et le reste en réadaptation, utilisant une canne et devant demeurer vigilante car le cal osseux était fort fragile dû à la complexité de la fracture.

Ce que j’en retiens aussi, c’est le support et l’écoute de ceux qui m’ont accueillie dans ma souffrance. Je remercie mes proches et les autres qui m’ont apporté leur aide, quelque en soit la forme, sans me juger.

C’est de Bayonne dans le pays basque, au sud-ouest de la France, que je laisse actuellement ma plume vous causer. Des circonstances ont fait que j’ai choisi de traverser l’Atlantique pour dépasser mon insécurité et ma peur de ne pas être à la hauteur. Je me suis jointe à un groupe de futures infirmières venues en stage au Centre Hospitalier de la Côte Basque.

Quelque chose d’inexplicable me poussait à venir vivre ici cette expérience de croissance et de dépassement. J’ai remis en question à diverses reprises ma décision, la guérison de ma fracture se voulant très lente. Il y a plus de trois mois que l’accident est survenu et les tissus osseux cicatrisent difficilement. La marche est plus lente et exige la vigilance et le repos au besoin. De plus, il est important d’éviter le transport d’objets lourds.

Imaginez-vous :avion – train – escaliers – bagages – déplacements… C’est plus ardu que métro – boulot – dodo! Tout pour nourrir mon insécurité. Avec prudence cependant, j’ai entrepris ce voyage, consciente que rien n’arrive pour rien et que j’ai à faire aussi confiance à l’univers. J’ai appris que pour qu’un enseignement s’intègre en soi, un temps est nécessaire. Baigner dans mon expérience depuis des semaines me montre jusqu’à quel degré j’étais à reproduire, de manière différente, mon ancien pattern de sauveur et d’exigences pour moi-même, victime de mes choix parfois.

Ce voyage au pays basque m’a permis d’écrire plusieurs pages et une conscience nouvelle a vu le jour. L’être humain est en constante évolution, alors je suis heureuse de me développer pour découvrir le meilleur en moi et continuer ainsi de me libérer. Je remercie la vie de me guider dans cette expérience de croissance. J’ai eu à maintes reprises en ce voyage, qui m’amena de Paris vers Bayonne, l’Espagne et la Suisse à lâcher prise. Encore une fois, la magie de l’amour et de la vie m’a apporté son aide et ses cadeaux.

Je garde dans mon coeur les plus belles images et le sourire des neufs charmantes personnes qui
m’accompagnaient. J’ai le goût ici d’envelopper d’une pensée ensoleillée plus particulièrement mon amie, instigatrice du projet.

Extrait de « Êtes-vous sauveur, victime ou bourreau ?
Auteure Dolores Lamarre. Tous droits réservés© Editions Le Dauphin Blanc.
Coaching privé et de groupes en développement personnel.
Consultations, conférences et ateliers.
Pour rendez-vous et informations complémentaires :
450 714-1275, fax : 450 714-1276
[email protected]
Visitez : www.doloreslamarre.alchymed.com
Dolores propose :

Voyage-atelier
Terres Mayas, pyramides et dauphins
24 février au 3 mars 2007

Thème de l’atelier : Danser avec la vie…

Ah, les dauphins…! Combien de fois ai-je entendu des personnes me raconter que l’un de leurs plus beaux rêves était de nager avec les dauphins? J’avais aussi ce rêve. Pour différentes raisons, je ne pensais pas le vivre et pourtant m’en donner le droit un jour a été l’une de mes plus précieuses expériences. Depuis, j’ai amené plusieurs groupes réaliser ce rêve au Yucatan. La vie est bien orchestrée, même si parfois nous pensons que les choses ne vont pas de la manière dont nous souhaitons. L’évolution est présente à l’intérieur de chaque situation. Il est sage d’apprendre à en tirer le meilleur. C’est ce que ceux qui me suivront en décembre prochain apprendront à travers mes enseignements, lors de l’atelier donné au Yucatan.

Bien entendu la rencontre des terres anciennes mayas, des pyramides et de vieux lieux de culte servira aussi à ouvrir des portes nouvelles sur votre vie afin qu’au retour chez-vous, votre perception des gens, de votre environnement et même des problèmes qui vous perturbent, soit plus éclairée pour faciliter vos choix et vous sentir en harmonie. Cet atelier agira positivement sur votre énergie vitale et potentialisera vos forces pour vous aider à poursuivre votre route avec équilibre. Vous apprendrez à identifier le stress qui, silencieusement parfois, agit sur vous en nuisant à votre santé et vous découvrirez comment une saine gestion du stress peut contribuer à construire et non à vous détruire.

Qui que vous soyez, vous avez eu et vous aurez à rencontrer des mouvements inattendus qui laissent amer, blessé ou dans l’illusion d’avoir dépassé et réglé un problème. Les dauphins valsent dans l’eau en mouvements. Ils dansent et sont remplis de joie en permanence. Ils enseignent à jouer, à dédramatiser. Cet atelier vous apprendra à danser avec la vie en découvrant comment à l’interne de chaque expérience il y a de la place pour jouer, s’amuser tout en demeurant dans la conscience de l’instant présent et les deux pieds sur terre. Les anges de la mer vous attendent pour vous réconcilier avec certains espaces de votre passé et par leur inconditionnalité vous apporteront une énergie de guérison favorisant votre mieux-être en devenir et une vision du futur réaliste et enrichissante. Ces amis cétacés ont choisi ce milieu de vie afin de vous y rencontrer.

C’est en quelque sorte leur mission que de vous y recevoir. S’ils vous appellent, s’adressant à
l’enfant en vous, sachez lâcher prise et accueillir leur amour pour Danser avec la vie! Leur attitude est d’ouverture et la vôtre l’est-elle aussi? Êtes-vous prêt à dépasser vos conditionnements, vos insécurités et vos peurs pour réaliser un rêve avec simplicité et joie?
Nantie de l’expérience des nombreux voyages-ateliers en Égypte, Pérou, Inde…qu’elle y a organisés et animés, Dolores vous accompagnera avec simplicité et respect.
Pour informations et coûts :
450 714-1275.
Dépôt (300$) pour réserver une place.

Titre : La victime et son corps physique
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Date : 06 11 2006

 

Tout bouge. Tout évolue… La médecine aussi!
Par Dolores Lamarre

La médecine traditionnelle ne peut échapper à ce mouvement naturel qui d’ailleurs actuellement la rattrape. En effet, après tant de temps à s’être située au premier barreau de l’échelle des ressources pouvant protéger la personne et améliorer sa qualité de vie et sa santé globale, voilà que certaines pratiques alternatives de plus en plus faisant leurs preuves, permettent à la médecine énergétique de gagner en notoriété.

Le corps médical a reçu longtemps toute la reconnaissance de ses pairs oeuvrant dans divers champs cliniques parallèles et scientifiques et cela dans un appui quasi inconditionnel. J’ai travaillé nombre d’années à titre d’infirmière et de gestionnaire en soins de santé. Au cours de celles-ci, j’ai pris toutefois conscience que des limites s’imposaient à la capacité curative de la médecine traditionnelle, pour guérir et pour potentialiser le mieux-être.

À l’époque, je me questionnais sérieusement car tout en demeurant très respectueuse dans ma pratique et auprès des différents intervenants du réseau de la santé et de l’industrie pharmaceutique, ma formation davantage axée sur la science que sur l’énergie vitale, soutenait mes choix et parrainait mes opinions en général, rejoignant celles de la collectivité à laquelle j’appartenais idéologiquement.

Graduellement, un besoin insistant et inexplicable d’en savoir plus m’a habité. Des circonstances dans ma vie personnelle ont fait que j’ai eu recours à d’autres formes d’aide que celles que je connaissais. Il s’agissait d’approches non conventionnelles d’aide à l’individu, fort enrichissantes et dénuées de vouloir exercer un contrôle sur moi.

En m’ouvrant à une perspective plus large de ma réalité et de celle de mon environnement, j’ai pu, grâce au support d’intervenants respectueux qui sont venus sur ma route, retrouver un état optimal de santé et un meilleur équilibre que jamais auparavant je n’avais senti.

Ces personnes m’ont enseigné le respect de moi-même. Elles m’ont mise en garde contre le trop grand besoin que j’avais de faire beaucoup et plus… pour être aimée. J’ai appris à reconnaître mes limites et à les respecter. J’ai appris à mieux me connaître et peu à peu je me suis mise à transmettre à mon tour ces nouveaux paramètres vers le mieux-être. Les années ont passées…

J’ai acquis au cours de celles-ci un bagage et une force intérieure qui guident chaque jour mes pas vers une réalisation de ce que je suis, de mes rêves et de mes capacités manifestées. Nantie de mon sentiment de confiance et ayant foi en la vie, j’ai aussi appris à tirer le meilleur des moments plus difficiles. De ceux-ci est sortie ma force en devenir…

J’ai eu le goût de partager avec d’autres ce que j’appelle un humble savoir. Je souhaitais qu’une masse croissante de personnes puissent avoir accès à ces services. Je ne disposais pas assez de temps pour répondre à une demande grandissante d’aide. J’ai senti le moment venu de former des gens pour m’assister et prendre la relève un jour. J’ai cru en moi et en ma petite voix…

Du plus profond de mon âme je fus inspirée de créer un programme de formation par lequel je pourrais aider, en transmettant à des personnes intéressées ce savoir, afin de contribuer au mieux-être personnel et collectif. C’est ainsi que le programme de formation S.A.I.M.E. est né. C’est la quatrième année que ce champ de connaissances est offert à travers moi, par le biais de ce programme et je continue de récolter des encouragements à poursuivre. D’ailleurs, au programme de formation des intervenants s’ajoute maintenant celui de formateur, échelonné sur plusieurs années.

Ce programme : Le Système d’Aide et d’Interventions en Médecine Energétique comprend une partie théorique, une partie pratique et de travaux. Sa durée est de sept blocs intensifs en week-ends, échelonnés en deux cycles sur un an, permettant la pratique et l’intégration. Un stage d’une semaine intensive complète l’année.

Si au début, malgré un sentiment de confiance en l’expérience, une insécurité transitoire m’envahissait, aujourd’hui je ne peux que dire merci à la petite voix qui m’a guidée à écrire et à mettre en marche cette formation. Depuis, régulièrement des personnes ayant bénéficié du support des intervenants par le biais d’interventions et autres formes de soutien, font part de leur satisfaction.

Un esprit sain favorise un mieux-être et le corps ne peut qu’en bénéficier. Il est donc salutaire de prendre soin de soi en agissant sur le stress, l’anxiété et l’origine le plus souvent intangible des maux. Le programme S.A.I.M.E. vise à apporter à l’intervenant, déjà en milieu de pratique ou à celui qui en sent l’appel, une connaissance rafraîchie et complémentaire, afin d’oeuvrer à aider l’individu en souffrance, des points de vue psychoénergétique et/ou émotionnel, physique, spirituel et au besoin en complémentarité avec la médecine traditionnelle, pour potentialiser les effets curatifs de celle-ci, favorisant ainsi la préservation de l’équilibre de la personne et le renforçant

L’approche en médecine psychoénergétique, que j’ai développée au fil des années, est basée sur l’utilisation respectueuse de l’énergie naturelle de guérison et peut certes, même si non reconnue, améliorer l’état de santé ou du moins amener la personne dans la conscience de ce qui cause ses problèmes de santé et de là, développer en elle la sérénité. Parmi les techniques enseignées dans S.A.I.M.E., RÂ-VIE est celle de base du système. Elle harmonise et détend.

Un examen écrit et pratique réussis donnent accès au diplôme permettant de s’enregistrer comme membre à : l’Association des Intervenants et Intervenantes S.A.I.M.E., entreprise légale incorporée et à but non lucratif.

Tout évolue, tout est en transformation sans que nous nous y arrêtions vraiment, pressés que nous sommes à faire pour avoir, sans se soucier de prendre soin de soi, jusqu’au jour ou…

Le slogan de S.A.I.M.E : S’aimer pour semer !

Mon plus grand vœu est de voir la médecine traditionnelle et la médecine énergétique travailler conjointement au mieux-être, en dehors des chicanes de clochers et de territoires. Est-ce si eutopique ? Je ne crois pas car c’est vers cela que nous amène le futur proche.

En guise de conclusion j’ajoute ceci : à mes yeux une formation en médecine énergétique doit dispenser un contenu favorisant le développement de l’étudiant et l’exploration approfondie du champ d’exercice visé, tout en demeurant axé sur le respect, l’authenticité, le non attente. L’encadrement professionnel est essentiel, ainsi que la recherche et une collecte de données significatives pouvant appuyer celle-ci.

La crédibilité se construit avec le temps et l’apport d’un sérieux incontournable. Celle-ci apporte au programme et au formateur des opportunités d’aller de l’avant de par les résultats significatifs et au praticien, un terrain sécuritaire d’apprentissage et le maintien de formation continue. De plus, la mise en place d’outils assurant une qualité optimale de soins supportent les intervenants et diminue l’insécurité.

Titre : Tout bouge. Tout évolue… La médecine aussi!
Media Alchymed.com
Date : 22 08 2006


La manifestation.
Que signifie pour moi : la manifestation ?
Mon Notre Père

par Dolores Lamarre

Dans la prière Le Notre Père, il est dit que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. J’entends en ceci les paroles de Thot aussi appelé Hermès qui dit :Tout ce qui est en haut est en bas et vice versa.

Ces paroles renforcent dans ma conviction profonde, ma manière de concevoir le droit divin. En effet, la plus petite accès au potentiel est même un devoir pour moi que de chercher à développer mes facultés plus universelles pour mieux vivre mon individualité, mon unicité ici bas non séparée de la Source Mère.
La plus petite de mes cellules contient toute l’information dont j’ai besoin pour donner à mon tour la vie, à la manière d’un hologramme.

Il n’existe pas pour moi de hiérarchie mais plutôt des êtres, des mondes, qui vibrent à des fréquences différentes.
Malgré ceci, tous sans exception, présents dans le plus grand des univers, avons tout le bagage de la connaissance inscrit en nous. De plus nous sommes libres de l’utiliser de la façon que l’on souhaite. Dieu ne juge pas. Il observe et pas l’intermédiaire de sa divine puissance il accorde à chacun sa grâce et ses bénédictions. Nous en faisons ce que nous voulons !

Ainsi puisque, enfant du Père Créateur, je dispose en moi de son identité. Il est bénéfique de reconnaître aussi que par l’hérédité divine qui m’est accordée, je suis capable de créer. Dans ce constat, je peux choisir de créer dans l’amour ou le non amour.

Mon père m’accorde l’abondance d’amour inconditionnel. Il m’est possible, dans l’expérience terrestre,
d’apprendre aussi à développer cet essence d’amour infini, selon mes capacités d’en véhiculer en mon esprit, mon corps, sa fréquence et son rayonnement. M’aimant plus, j’attire l’amour Vrai.

Mon Père m’accorde l’abondance de bénédictions dont la santé. Si je suis malade, je n’ai pas à l’accuser de ne pas m’aimer ou de m’abandonner. La maladie enseigne l’amour. Parfois on en guérit, parfois non. Mais toujours elle porte son message à décoder. Elle soutient l’âme dans sa guérison et le corps physique.

Mon Père m’accorde l’abondance de paix. Il m’aide à éclairer mes dualités, mes désirs, mes illusions. Il me dévoile mes attentes et pansent mes blessures pour m’apaiser. Il brûle du feu kundalinique ma rage ou ma colère. Il jette sur mes épaules un manteau de lumière pour me protéger de la peur. Plus j’élève ma conscience en Lui, plus j’apprend à vivre tel un lac paisible, sans besoin d’y jeter des cailloux pour faire la vague. J’attire alors à moi la nature la plus calme, la plus en harmonie avec moi et en constante élévation dans l’amour.

Mon père m’accorde un corps physique et un environnement terrestre. Il dote mes yeux de Sa beauté, ma parole de l’expression dorée de Son langage. Il me donne des mains pour prendre et donner. Il me donne un cœur pour nourrir la vie en moi et aimer. Il installe en mon front Sa lanterne divine. Par celle-ci, Il me rappelle Son omniprésence, Sa paternité et Il me dit de jouer à grandir, pour au plus vite à nouveau me fondre dans Son amour.

Mon Père me donne des outils, des compagnons de vie. Il me dit de voir en chacun Son reflet car il en est créateur. Il me donne des animaux, des fleurs, du bois et de la pierre et Il me dit prends en soin car ce qu’ils sont, Je suis …

Mon Père me donne de la nourriture, du blé et du poisson. Il me donne de l’eau et du vin. Il me dit partage et enseigne ceci.

Mon Père me donne de l’argent . Des jarres de pièces d’or pleines à ras bord et qu’Il verse sur moi. Il me dit, par l’Alliance qui nous unit, je reconnais ton droit divin à tout ceci. Ton chemin est de le reconnaître aussi ! Sois béni !

Quel grand Notre Père. Père s’est révélé à moi avec simplicité. En quelques mots il a résumé mon héritage sacré. Et moi, me jugeant indigne, je n’avais pas acquiescé.

Un extrait de L’argent et l’abondance par droit divin, Dolores Lamarre . Tous droits réservés Editions Le Dauphin Blanc.

[email protected]
(450) 464-6781
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Pour en savoir plus sur l’auteure, nous vous invitons à visiter sa fiche sur Alchymed.

Ce texte est tiré du portail Alchymed.com.
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Tous droits réservés.
Titre : La manifestation.
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Date : 03 05 2006


Que signifie pour moi : la manifestation ?
Mon Notre Père par Dolores Lamarre

Dans la prière Le Notre Père, il est dit que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
J’entends en ceci les paroles de Thot aussi appelé Hermès qui dit :Tout ce qui est en haut est
en bas et vice versa.
Ces paroles renforcent dans ma conviction profonde, ma manière
de concevoir le droit divin. En effet, la plus petite
de mes cellules étant habitée de la Connaissance, étant un avec
l’univers, la création, j’ai le droit d’accès au potentiel
divin pour lui donner action sur terre. C’est même un devoir pour
moi que de chercher à développer mes facultés plus
universelles pour mieux vivre mon individualité, mon unicité ici
bas non séparée de la Source Mère.
La plus petite de mes cellules contient toute l’information dont
j’ai besoin pour donner à mon tour la vie, à la
manière d’un hologramme.
Il n’existe pas pour moi de hiérarchie mais plutôt des êtres, des mondes, qui vibrent à des
fréquences différentes.
Malgré ceci, tous sans exception, présents dans le plus grand des univers, avons tout le
bagage de la connaissance
inscrit en nous. De plus nous sommes libres de l’utiliser de la façon que l’on souhaite. Dieu ne
juge pas. Il observe et
pas l’intermédiaire de sa divine puissance il accorde à chacun sa grâce et ses bénédictions.
Nous en faisons ce que
nous voulons !
Ainsi puisque, enfant du Père Créateur, je dispose en moi de son identité. Il est bénéfique de
reconnaître aussi que
par l’hérédité divine qui m’est accordée, je suis capable de créer. Dans ce constat, je peux
choisir de créer dans
l’amour ou le non amour.
Mon père m’accorde l’abondance d’amour inconditionnel. Il m’est possible, dans l’expérience
terrestre,
d’apprendre aussi à développer cet essence d’amour infini, selon mes capacités d’en véhiculer
en mon esprit, mon
corps, sa fréquence et son rayonnement. M’aimant plus, j’attire l’amour Vrai.
https://www.alchymed.com/articles_impr.asp?id_article=2014 (1 of 3)5/3/2006 12:41:34 PM
Que signifie pour moi : la manifestation ?
Mon Père m’accorde l’abondance de bénédictions dont la santé. Si je suis malade, je n’ai pas à
l’accuser de ne pas
m’aimer ou de m’abandonner. La maladie enseigne l’amour. Parfois on en guérit, parfois non.
Mais toujours elle
porte son message à décoder. Elle soutient l’âme dans sa guérison et le corps physique.
Mon Père m’accorde l’abondance de paix. Il m’aide à éclairer mes dualités, mes désirs, mes
illusions. Il me dévoile
mes attentes et pansent mes blessures pour m’apaiser. Il brûle du feu kundalinique ma rage
ou ma colère. Il jette sur
mes épaules un manteau de lumière pour me protéger de la peur. Plus j’élève ma conscience
en Lui, plus j’apprend à
vivre tel un lac paisible, sans besoin d’y jeter des cailloux pour faire la vague. J’attire alors à
moi la nature la plus
calme, la plus en harmonie avec moi et en constante élévation dans l’amour.
Mon père m’accorde un corps physique et un environnement terrestre. Il dote mes yeux de Sa
beauté, ma parole de
l’expression dorée de Son langage. Il me donne des mains pour prendre et donner. Il me
donne un cœur pour nourrir
la vie en moi et aimer. Il installe en mon front Sa lanterne divine. Par celle-ci, Il me rappelle
Son omniprésence, Sa
paternité et Il me dit de jouer à grandir, pour au plus vite à nouveau me fondre dans Son
amour.
Mon Père me donne des outils, des compagnons de vie. Il me dit de voir en chacun Son reflet
car il en est créateur. Il
me donne des animaux, des fleurs, du bois et de la pierre et Il me dit prends en soin car ce
qu’ils sont, Je suis …
Mon Père me donne de la nourriture, du blé et du poisson. Il me donne de l’eau et du vin. Il
me dit partage et
enseigne ceci.

Mon Père me donne de l’argent . Des jarres de pièces d’or pleines à ras bord et qu’Il verse sur
moi. Il me dit, par Alliance qui nous unit, je reconnais ton droit divin à tout ceci. Ton chemin est de le
reconnaître aussi ! Sois béni !

Quel grand Notre Père. Père s’est révélé à moi avec simplicité. En quelques mots il a résumé
mon héritage sacré. Et avais pas acquiescé.

Un extrait de L’argent et l’abondance par droit divin, Dolores Lamarre . Tous droits
réservés Editions Le Dauphin Blanc.
[email protected]
450) 464-6781
Visitez : www.doloreslamarre.alchymed.com
https://www.alchymed.com/articles_impr.asp?id_article=2014 (2 of 3)5/3/2006 12:41:34 PM
Que signifie pour moi : la manifestation ?
Pour en savoir plus sur l’auteure, nous vous invitons à visiter sa fiche sur
Alchymed.
Ce texte est tiré du portail Alchymed.com.
Nous vous invitons à le faire circuler en mentionnant la source.
Copyright © 2002 Les Productions Alchymed inc.
Tous droits réservés.
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Titre : Que signifie pour moi : la manifestation ?
Media Portail Alchymed
Date : 03 05 2006


Chronique hebdomadaire: À la découverte de soi

Quelques extraits d’articles…

Titre : Chronique hebdomadaire: À la découverte de soi
Media Journal Le Radar, Iles-de-la-Madeleine
Date : 01 01 2006


Rimouski

Participation à une Table Ronde lors du Salon du Livre de Rimouski

Titre : Rimouski
Media Salon du Livre
Date : 04 11 2005

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Pourquoi choisir de vivre un voyage-atelier?

Il existe plusieurs façons d’améliorer notre qualité de vie, notre santé. Maintes approches sont connues déjà largement, que ce soit en médecine alternativee, en développement personnel et autres.
Les voyages sont aussi des outils intéressants…. Mais quel genre de voyage peut contribuer favorablement à notre quête de mieux-être?

Voici cet article:

Pourquoi choisir de vivre un voyage-atelier ?

Je considère le voyage-atelier comme un outil fort riche, contribuant au développement personnel. Plusieurs personnes me demandent souvent de leur parler du sens à donner au voyage-atelier. Je souhaite mes mots vous apporter une lumière sur cette activité, tout en ne m’arrêtant pas aux particularités logistiques, là n’étant point l’objectif de cet article.

Il existe maints outils pour servir l’évolution personnelle, dont participer à un voyage-atelier. De bien jolis mots, seriez-vous peut-être tenté de penser. Au fait, commençons par définir ce qu’est, à mes yeux, l’évolution personnelle et à quoi sert-elle ?

Tout est en mouvement dans notre univers. Notre belle planète aussi. Par appartenance holographique, tout bouge donc en nous, puisque chaque personne est une partie composante de l’univers. Entre le moment de notre conception et celui de notre mort, un passage nous permet de se transformer, de s’améliorer. Là est l’un des objectifs de notre présence sur la Terre. L’Homme n’aime généralement pas le changement. Devant l’inconnu ou le bousculement, il jugera et il tentera de contrôler, pour se sécuriser.

L’éducation familiale, sociale et culturelle contribue, entre autres, à nous donner des connaissances diverses. Ce bagage soutient le développement de notre intelligence, de notre corps et améliore, qu’en principe pour certains, notre relation avec notre esprit et nous-mêmes. Mais qu’en est-il vraiment ? Vivons-nous ou vivons-nous. Où commence et où s’arrêtent notre libre arbitre et notre liberté ?

Tout en conservant mon lien avec le thème traité, je souhaite toutefois errer en périphérie de celui-ci, pour mieux le supporter. Un brin philosophique mon discours, cependant d’actualité, avec tout ce qui se passe autour de nous, ne parlons par exemple que des guerres ou des ouragans, des enfants qui battent leur mère, des adolescents qui s’entre tuent, du clonage, du taxage chez les petits à l’école primaire….

La Terre semble aussi fatiguée de porter sur ses é-pôles notre soif de pouvoir et de contrôle. Tente-t-elle de nous dire qu’il est temps de sortir de notre individualisme, renforcé depuis la révolution tranquille, pour nous élever en conscience collective et mieux nous supporter les uns les autres. Jésus n’a-t-il pas dit (et je ne fais pas discours religieux ici) : aimez-vous les uns les autres. Son message a été oublié, noyé dans l’égoïsme et le pouvoir.

La plupart d’entre nous ont facilité à éjecter ces faits, à chasser de nos pensées la misère humaine. Certes, la vision de la souffrance nous rappelle inconsciemment qu’un jour nous mourrons aussi. Contrairement à certaines cultures, qui dès la naissance libèrent leur attachement pour vivre dans la clarté de l’instant présent, nous nous casons dans notre petit monde confortable, téléviseur, cellulaire et ordinateur jusqu’au jour ou, l’inconfort psychologique nous assaille, suite à des situations désagréables vécues dans l’une ou plusieurs sphères de notre vie. Tout à coup, nous vient le constat de la peur de perdre, de changer…

Y a-t-il un moyen de traverser nos difficultés avec plus d’équilibre et de clarté ?

Malheureusement nous sommes trop souvent robotisés et conditionnés. Nous ignorons ce qu’est l’être humain. Nous croyons en ce que nos sens nous racontent. Nous préférons demeurer encadrés dans le périmètre de savoir, transmis par les institutions de nos divers systèmes collectifs, assoiffés d’avoir raison. C’est ce que nous apprenons en bas âge et ce que nous enseignons à nos enfants. Ensuite nous crions alarmistes, en accusant celui ou celle qui tente de réagir positivement, en travaillant à nous éveiller de notre dormance, le plus souvent parce que nous avons peur de l’inconnu.

Sachons que le plus grand inconnu est celui qui habite en soi. Il est peur et il est amour. Il régit nos vies. Est-ce si quétaine, pour utiliser cette expression de couleur locale québécoise, que de chercher à le découvrir et à se connaître. Lorsque nous quitterons cette planète, nous n’apporterons pas notre maison, notre compte de banque, notre titre, notre enfant, ni la personne qui partage notre vie. Tous ces éléments ne sont que prêtés. Il est sage de vivre le non attachement face à ceux-ci, en savourant le moment présent pleinement, avec équilibre. Tout en ayant droit au bon et au beau, vivons lucidement !

Un jour, vous est-il peut-être arrivé de vous poser l’une ou plusieurs de ces questions : qu’est-ce que je fais ici ? Y a-t-il autre chose après la mort ? Viendrais-je d’ailleurs ? Nous nous empressons alors de sortir de ces moments interrogatifs, à l’écoute de soi, en pensant que nous sommes déréglés de notre programmation limitée et un peu fous. Nous avons peur et vite nous faisons tout pour entrer dans le rang. Surtout ne pas partager aux autres nos interrogations. Nous avons peur du rejet, peur du jugement, du ridicule et j’en passe.

Peut-être un matin, vous est-il arrivé de vous lever triste, sans en connaître le pourquoi. Pour éviter d’en identifier la cause, vous avez engourdi votre état sous des tonnes de raisons fausses et plusieurs onces de café. Vous avez remis votre masque d’illusion et vous êtes parti à la conquête de votre reconnaissance, espérant la recevoir de l’extérieur. Pour vous sentir reconnu, vous avez peut-être accepté de plier sous le poids de la tâche, fatigué, ne respectant pas ce que vous avez de plus précieux : vous et votre âme.

Certes, un être humain peut vivre non heureux, dans l’illusion de l’être, pendant parfois plusieurs années et même toute sa vie. S’il sent cette solitude qui le terrasse à l’occasion, il s’empresse alors de s’accrocher à renforcer son paraître, sa productivité. Il contrôle et se contrôle, pour éviter de perdre la face, l’argent, son titre, ses proches… ou pour éviter de pleurer en sentant sa faiblesse, sa vulnérabilité ou une baisse d’énergie l’envahir graduellement. Devant l’impuissance croissante en lui, il préfère s’autodétruire.

En effet, car la reconnaissance de soi, est un besoin pour chaque être humain. Trop souvent, malheureusement, celui-ci se l’attribue en fonction de celle qui lui est accordée par son environnement, ses proches. Il s’identifie à la réussite ou non de ses objectifs, à son titre ou à son emploi, créant pour résultante, qu’il peut se sentir menacé lorsque l’entreprise est en difficulté ou que celle-ci est dévalorisée, accusée de ci et de cela.

La vie de cette personne repose sur le faire et l’avoir. Là est une lacune immense, puisque être qui l’on est vraiment et s’aimez inconditionnellement, s’avèrent les bases solides véritables, pour bâtir chaque jour sa vie sereinement, une vraie joie nourrissant le coeur.

Parmi maintes activités de croissance personnelle, les voyages-ateliers prennent leur signification, en aidant des personnes souffrantes de blessures, telles la non reconnaissance, le rejet, l’insécurité, la dépendance, la peur …à s’en libérer. Ils contribuent à prévenir les déséquilibres et inconforts émotionnels.

Certes, ils comptent parmi les moyens de se ressourcer, de diminuer le stress croissant qui nous vide silencieusement. Ils sont principalement un temps d’arrêt pour se rencontrer en soi et apprendre à mieux se connaître, pour se reconnaître, brisant le cercle vicieux qu’engendrent les attentes, le contrôle, les patterns….

Sortant de l’égrégor de la routine et de l’environnement habituel, il favorise ainsi le participant à entrer plus rapidement en contact avec ses besoins véritables, ses choix, sa vérité intérieure. Il accélère donc le processus menant à son mieux-être et à son équilibre amélioré.

Différemment des voyages touristiques habituels, les voyages-ateliers aident les participants à se découvrir davantage dans leur essence unique et profonde. Bien entendu, ces voyages se veulent des opportunités de rencontrer la culture, les traditions et les us d’un peuple et d’utiliser les lieux énergétiques naturels en des terres, le plus souvent anciennes, pour potentialiser en la personne participante, une vision plus claire de sa vie.

De retour au pays, ceci facilite la transformation, s’il y a lieu, suite aux blessures rencontrées dans les inconforts du quotidien, précédant le voyage. Les prises de décision deviennent plus aisées et la respiration de meilleure amplitude. Ceci favorise un état de santé qui s’améliore graduellement. Si la maladie était au rendez-vous, il deviendra plus simple d’en décoder le sens dans sa vie et ainsi de se préparer avec respect et douceur à guérir ou à accepter de quitter avec paix.

C’est toujours le plus grand des voyages : celui au cœur de soi… Vivre un voyage-atelier, c’est traverser le désert de notre ignorance, pour s’abreuver à la joie d’être de mieux en mieux avec soi-même. Nous commençons à définir et saisir davantage notre rôle sur terre. Il devient plus facile de traverser nos tempêtes et d’aider les autres, en cessant de vouloir les sauver. Les attentes sont des prisons. Trop souvent elles demeurent les silencieuses responsables de nos états de victime et d’angoisse.

Bien sûr, les voyages-ateliers vous confronteront peut-être à dépasser vos insécurités et vos peurs. Ils s’ajustent, comme par magie, aux besoins que la personne a, de guérir quelque chose qui l’empêche d’avancer, de respirer pleinement, à cette période actuelle de sa vie.

Dès que vous sentez l’appel à vous inscrire à l’un de ces voyages, soyez bien observateur de ce qui se passe en vous. Déjà, vous ne serez pas parti et vous commencerez à recevoir des bénéfices, en apprenant de vous. Voici un exemple : une personne qui a une forte peur de perdre l’affection, la tendresse, l’amour, les biens matériels, l’argent…tout en ignorant celle-ci présente en elle, risque de rencontrer l’insécurité et la peur de ne pas avoir l’argent pour les frais du voyage ou autres… Celle qui a de la difficulté à se reconnaître, craindra peut-être que son congé ne lui soit pas accordé…

Durant ces voyages se créent des liens chaleureux empreints de respect. De plus, les gens ne se sentent plus seuls à vivre certaines difficultés. Cela encourage et donne des pistes intéressantes de solutions, en toute liberté de les appliquer ou non.

Depuis plusieurs années j’anime ce genre de voyages, dans les terres mayas, en Inde et en Egypte. J’ai assisté en de multiples occasions à la transformation du papillon. Quelle beauté !

Je suis disponible à répondre à vos interrogations complémentaires, par le biais de messages que vous voudriez me faire parvenir. Bonne route en vous. Peut-être un jour serez-vous de ceux qui choisiront ce moyen pour servir leur mieux-être et, par ricochet puisque Tout est interrelié, celui de la collectivité.

Dolores Lamarre
Le 21 septembre 2004.
www.doloreslamarre.alchymed.com
Courriel : [email protected]

Tous droits de reproduction intégrale ou partielle est interdite sans mon autorisation. Merci

Titre : Pourquoi choisir de vivre un voyage-atelier?
Media Article publié
Date : 21 09 2004

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Aider sans être sauveur

Cet article offre une vision intéressante afin de différencier, dans notre vie de tous les jours, les rôles de sauveur et d’aidant que nous jouons souvent sans nous douter de ce qui se cache derrière ces mots, risquant ainsi de nuire à soi et à autrui…alors que nous cherchons à apporter un soutien.

Voici cet article:

Aider sans être sauveur !

Il est tentant de laisser dominer l’aspect du sauveur en soi, particulièrement lorsque nous en ignorons la présence secrète. Recevoir ou donner du support place l’aidé et l’aidant en situation d’interaction.

Considérant que le contact humain, vécu dans une dimension de respect et d’équilibre, nourrit l’épanouissement personnel, il s’avère important de mieux comprendre comment nous jouons nos rôles dans le triangle relationnel sauveur, victime et bourreau, afin d’enrichir les échanges et d’en retirer un maximum de bénéfices.

Permettre à l’aspect sauveur en soi d’exercer, à notre insu, un contrôle sur nos pensées et nos gestes, affecte notre qualité de vie, risquant même de nuire à notre santé et de priver les autres d’expériences essentielles favorisant leur développement personnel.

Comment définir le sauveur ?

Certes, nous voyons le plus souvent l’image du sauveur en la capacité à apporter du secours, à fournir de l’aide pour améliorer, construire, assister… Disons que cela ne s’arrête pas là.

En chacun de nous vit un Saint-Bernard. Selon nos expériences et blessures passées, l’énergie du sauveur sera utilisée sainement ou pourra devenir une façon aliénante de se prouver que l’on vaut quelque chose. Se sentir utile peut aller, pour certains, jusqu’à générer un état de dépendance, pour recevoir de la reconnaissance ou se prouver qu’ils existent. La plupart du temps, des attentes silencieuses ou non sont aussi présentes.

Quelques caractéristiques du sauveur:

Difficulté à s’accepter dans sa vulnérabilité. Tendance à contrôler sa vie au lieu d’apprendre à la maîtriser. La majorité sont des personnes dévouées, sensibles qui peuvent porter des masques lourds, afin de cacher leurs blessures et leur fragilité.

Il est intéressant de constater que le sauveur est très souvent victime, se donnant inconsciemment une raison de continuer sa route et de fuir sa souffrance. Silencieux, dictateurs ou contrôlants, les sauveurs donnent temps, argent, matériel, amour généreusement et souvent en s’oubliant. Ils écoutent, trouvent des solutions, contrôlent en décidant «pour le mieux-être» de l’autre allant même à agir à leur place…

Quelques blessures du sauveur:

La personne qui a vécu du rejet, de l’abandon peut avoir comme croyance enfouie, qu’elle ne devait pas être aimable ou correcte pour que cela lui arrive. Inconsciemment, celle-ci cherchera à trouver amour, affection en se réfugiant dans le rôle de sauveur.

Il existe aussi les peurs : du jugement, de ne pas en faire assez, de ne pas être aimé, apprécié, reconnu. Le sauveur peut avoir de la difficulté à reconnaître ou accueillir en l’autre sa propre souffrance. Il tentera de l’effacer, en aidant l’autre, pour en enlever de sa vue le reflet douloureux.

L’individu sauveur potentialise, à long terme, un risque de se déséquilibrer personnellement des points de vue émotionnel, mental, physique. En effet, lorsque l’autre ne réagit pas favorablement à ses attentes ou que la reconnaissance ne vient pas, par exemple, une charge lourde s’installe et s’accumule au fil du temps, créant états de fatigue, insatisfaction, stress et maladie…

Aider sans sauver:

Il est de suggéré d’identifier en soi et ceci le plus objectivement possible, de quelle manière l’aspect du sauveur est présent dans notre vie. S’observer sans se juger et sans juger… Comment se manifeste l’aide que nous apportons à autrui ? À quelle fréquence ? Vers qui ? De quelle manière ? Y a-t-il espace pour prendre soins de soi ?

Apprendre à laisser aux autres ce qui leurs appartient. Travailler à augmenter l’estime et la confiance en soi. Accepter le passé, en libérer la charge. Pardonner et trancher les liens énergétiques maintenus par insécurité, rancœur, tristesse… Prendre du recul sur une situation avant de réagir. Se donner le droit d’exister, de choisir… Développer la capacité à utiliser le pouvoir personnel.

Il est bien agréable de sentir que nous faisons du bien, cependant s’apporter de l’aide pour guérir et s’épanouir dans une conscience nouvelle, ne peut qu’enrichir et renforcer l’amour en soi. Mieux éclairé, il sera plus simple d’être guide, car la lumière présente en soi, demeure la plus belle source à laquelle puiser, pour aider… sans sauver

Toutes reproductions, partielle ou totale est interdite sans l’autorisation de l’auteure. Merci

Titre : Aider sans être sauveur
Media Dossier Articles publiés
Date : 23 06 2004

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Guérir de sa dualité !

Guérir de sa dualité !

Le mot dualité vous dit-il quelque chose ? Qui n’a pas été, à un moment ou à un autre de sa vie, en dualité profonde devant une décision à prendre ? Être en dualité génère un large stress. Il s’avère donc important d’apprendre à régler au plus tôt les situations qui la nourrissent. Mais comment ?

C’est un exercice laborieux que de traiter en quelques lignes d’un sujet aussi vaste et révélateur. Je vous offre donc ici quelques clés, afin de faciliter la résolution de vos batailles intérieures. Bien entendu je vous laisse travailler plus en profondeur ces clés, espérant peut-être un jour avoir l’opportunité de vous aider à les découvrir davantage.

L’origine de notre dualité réside, entre autres :

– dans notre illusion et notre façon de se mentir à soi-même. Nous sommes malheureusement peu souvent authentiques envers nos vrais besoins par exemple. Nous avons tendance à vivre à l’extérieur de nous, au lieu de répondre à notre voie personnelle.

– dans notre manque de souplesse intérieure. Nous sommes accrochés à nos visions rigidifiées, au fil du temps. Nous avons de la difficulté à lâcher prise, à nous détacher de l’ancien et de plus, le changement nous effraie.

– Puis l’orgueil ! Combien celui-ci nous tient-il prisonnier, alimentant nos dualités ?

– De peur de perdre, par exemple, nous nous privons de cadeaux insoupçonnés. Lors de mon récent voyage-atelier en Inde, quelques uns des participants avaient vécu une grande dualité face à choisir ce voyage. L’un des cadeaux de leur lâcher prise, fut de vivre trois jours, inespérés, d’enseignements donnés par Sa Sainteté le Dalaï-Lama lui-même.

Devenir observateur de soi et choisir d’utiliser au quotidien ces clés, nous assurent un support aidant, afin de traverser sainement nos dualités. Plus détendu, notre corps bénéficiera d’une plus grande vitalité afin de répondre à ses besoins essentiels. Notre santé n’en sera que favorisée. Merci à la vie qui nous apprend à nous dépasser et merci à vous qui me lisez. Que le Meilleur vous soit donné.

Auteure : Dolores Lamarre
Le 31 mars 2005

Pour Alchymed, agenda de mai 2005

Titre : Guérir de sa dualité !
Media Agenda Alchymed
Date : 01 01 2004


Magazine VIVRE

Plusieurs articles furent publiés au sein de cette chronique sur une période d’environ deux ans.
Ils seront bientôt inscrit ici.

Titre : Magazine VIVRE
Media Chronique: La spiritualité au quotidien
Date : 01 01 2004


Capsule : Vis ta vitamine

Voir page web de Marie-Josée Tardif pour l’écoute audio de cette capsule.

Titre : Capsule : Vis ta vitamine
Media Radio Cité RockDetente
Date : 13 05 2003


Entrevues

Entrevue et ligne ouverte de (1.5 heure).

Animateur: Gabriel Sénécal à Les yeux du coeur.

********************
Invitée de Marilou Brosseau: 2004 et 2005

Titre : Entrevues
Media Radio-Ville Marie, FM Montréal
Date : 26 10 2000


Le temps de lâcher prise

Reçoit le Grand Prix du Livre de la Montérégie en 1999 pour la catégorie essai.

Une bourse de 1500$ lui fut remis par L’Association des auteurs de la Montérégie.

Titre : Le temps de lâcher prise
Media Grand Prix du Livre 1999
Date : 13 09 1999


Entrevue

Présenter mon livre Le temps de lâcher prise, ainsi que mon chemin de vie et mes activités.

Titre : Entrevue
Media Télévision communautaire De La Vallée du Richelieu
Date : 12 05 1999


Le suicide

Invitée ressource lors de cette émission et participation autre comme invitée dans la salle, afin de favoriser les échanges par ses questions et réponses.

Titre : Le suicide
Media Émission Claire Lamarche
Date : 28 01 1999


Entrevues

Invitée à présenter Le temps de lâcher prise
Aussi le 9 septembre 1999
Émission Claire Lamarche

Titre : Entrevues
Media CHAA FM Longueuil
Date : 06 01 1999


Dossier de presse

Un dossier de presse( 1998 – 2005), format papier, est disponible sur demande.

Titre : Dossier de presse
Media Pour information media
Date : 01 10 1998


A propos de l'auteur

Gaspésienne originaire de Cap-Chat au Québec, Canada, Dolores Lamarre est auteure, thérapeute et conférencière internationale. Sa simplicité laisse une note ensoleillée dans le cœur de ceux ...

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